Après qu'Auguste soit venu au village en portant l'étoile juive de Simon, les policiers ont débarqué dans la petite ferme et ont enlevé la vieille femme. Heureusement Simon était partit à ce moment là.
Il est ensuite recueillit chez le paysan qui se fait passé unijambiste, pour échapper au sto. Quand, lors d'une action contre les boches celui-ci meurt de la faute de Simon. Ce dernier est alors capturé et amené dans un camps de détention de juifs. Il se lie d'amitié avec une jeune fille, mais à leur arrivé au camp ils sont séparé dans deux camps différents. C'est alors là que Simon retrouve Tonino. Ils travaillent dur ensemble. Au bout de quelques jours Simon n'en peut plus : ils travaillent dur, sont mal nourrit et mal soignés.
Heureusement dans tout ces malheurs, Simon aura toujours la compagnie des oiseaux et de sa chouette.
Une suite toujours à la hauteur du premier tome, on l'on observe les conditions de vie des juifs durant la seconde guerre mondiale, tout à l'air tellement réaliste.
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Je vais complétement dénoter avec la majorité des avis, je suis d'ailleurs surprise de lire autant d'avis disant à quelle point cette série parle correctement de l'histoire alors que je trouve la série trop atténuée, je vais expliquer.
Simon est dans ce tome déporté à Auschwitz, déjà j'ai trouvé Simon très détaché de tout cela, il y'a eu des personnes très optimistes durant cette période malgré tout mais là j'ai pas l'impression que le personnage se rend compte de la gravité de sa situation, il est jeune certes mais voilà. Il y'a juste quelques scènes qui tentent quand même de montrer une gravité, la pendaison de son ami, quand ce même ami lui montre la fumée des chambres à gaz, mais un enfant ignorant la période ne serra pas ce que c'est, bon cela permet une discussion avec les parents si il demande. C'est louable, mais si l'enfant demande rien il comprendra pas.
L'idée poétique des oiseaux est agréable mais encore, Simon réussit à avoir un boulot avec des oiseaux, tranquille au sein de Auschwitz, là aussi le réalisme se perd, on ne faisait pas ce qu'on voulait là bas.
Le dessin ne me déplait pas, c'est pas mon préféré, mais on voit bien que le protagoniste maigrit par exemple.
La scène qui m'a le plus dérangée est son ami sort de sa "poche magique (?) du chocolat...dans Auschwitz ????!!!! encore que l'enfant soit un peu détaché, ok, que la gravité du camp est peu montrée et que le protagoniste est pas si mal traité bof mais...par contre ce passage ? C'est un grand non!
La BD a de bonnes idées, avec les oiseaux, le tome 1 n'était pas parfait, mais celui là se déroulant à Auschwitz ne m'a pas plu, les enfants de la résistance réussissait à nous montrer la gravité de l'enjeu sans violence, il y'a quelques passages qui le tente ici, mais c'est plutôt raté pour ma part.
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Le rythme s'accélère. Simon avec son oiseau de mauvaise augure va malheureusement entrainer la chute de ses sauveurs.. les uns après les autres.. le fait d'avoir une projection de Simon âgé est vraiment joli à voir et annonce une fin "heureuse", vivante tout simplement. le cycle se lit vite et je me dis que je me lirais bien le 2nd cycle ! Bon diptyque sur un contexte connu et douloureux.
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On retrouve Simon envoyé dans un camp de concentration. Sujet assez dûr mais traité de façon soft et convenant à un public relativement jeune. Il croise dans le transport pour le camp un jeune fille Ada. Avec ce tome on conclut le premier cycle.
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Suite et fin de ce diptyque où nous suivons la fuite et la survie de Simon à travers la France occupée. Dès le début de ce tome, l'histoire devient plus dramatique, les choses tournent mal et Simon est arrêté puis déporté.
Il avait pourtant de bonnes intentions, ce garçon, : recueilli par un résistant dans la montagne, il avait mis sa passion des oiseaux au service de la résistance et avait réussi à transmettre des messages grâce à des pigeons voyageurs.
Mais les mailles du filet ne cessent de se resserrer et SImon fera une action aussi grave que risquée qui le condamnera à la déportation. La seconde moitié de l'histoire se déroule dans le camp, où les oiseaux auront à nouveau, de manière assez surprenante, une grande importance.
Il s'agit d'une BD jeunesse donc l'horreur de la vie du camp, sans être édulcorée, est suggérée de manière à être comprise pour autant engendrer de traumatisme. Je trouve que le ton est juste et c'est une grande qualité. Les dessins sont très bien adaptés au propos, on voit bien la dégradation physique des prisonniers, et beaucoup d'émotions passent par les regards. J'aime bien aussi le parallèle avec les rapaces du chef de camp, un nazi mégalomane qui fait froid dans le dos, je trouve que c'est un symbole intéressant et très parlant pour les jeunes lecteurs.
Sans spoiler je voudrais tout de même préciser que, vu que le public visé est jeune, l'histoire se termine bien.
Niveau CM2-collège
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2ème opus : Notre petit Simon se trouve embarqué dans une centre de travail, il y retrouvera son ami Tonino qui encore une fois le prendra sous son aile pour lui rendre le centre le moins dur possible quitte à en pâtir ...
Cet opus est encore partager entre les personnages bienfaisants et ceux plus obscures. D'un côté, Tonino et une belle rencontre féminine Ada ; de l'autre, un personnage atroce, le directeur du camp.
Et au milieu de ces personnages, de nouveaux oiseaux, des autours et des faucons, qu'il apprivoisera.
Ce 2ème tome est dur dans l'évolution physique de Simon au cours de ces mois passés dans le centre, cet enfermement que l'on ressent, comme des oiseaux en cage.
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Je suis contente d'avoir emprunté toute la série d'un coup, je n'aurais pas pu attendre pour découvrir la suite des aventures de Simon.
Toujours une belle BD, où on apprend de l'intérieur beaucoup de choses qu'on est censé savoir, mais qu'on a ici l'impression de vivre.
Mais j'ai trouvé ce tome très dur, par les événements qui s'y passent, et parce qu'une grande partie se déroule en camp de concentration.
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