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EAN : 9782205161465
136 pages
Dargaud (31/10/2013)
4/5   274 notes
Résumé :
"Riche, pourquoi pas toi ?" est une enquête fiction sur l'argent signée Marion Montaigne.

L'auteur s'appuie sur les écrits de Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot, deux authentiques sociologues « spécialistes des riches »...

"Riche, pourquoi pas toi ?" est un one shot qui raconte l'histoire de Philippe Brocolis, heureux gagnant de la cagnotte du Loto. Avant, les choses étaient simples : pour Philippe, être riche, c'était ? eh oui !?... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (55) Voir plus Ajouter une critique
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Ben ouais, ça a l'air tellement facile… plus besoin d'avoir l'air de le mériter, depuis quelques années, la décadence médiatico-politique battant son plein, il semble que n'importe qui peut devenir riche. Un passage vite fait au Loft Story pour montrer ses seins, et on gagne assez de sous pour pouvoir se les refaire toute une vie à raison d'une fois par an.


Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot, deux sociologues « spécialistes des riches », se cachent dans les rayons de la Fnoc pour choper le prolétaire. Ils attrapent Philippe Brocolis, pauvre touriste égaré dans cette zone de non-droit culturel après une dure journée de boulot. Les voilà partis pour une conversation sociologique appliquée de toutes les notions intrigantes constituant la stratosphère du monde des fortunés. Qu'est-ce qu'un riche ? Qu'a-t-il de plus que les autres ? Est-il plus intelligent que Jésus-Christ ? Ou incarne-t-il le Diable ? En réalité, nous sommes loin de concepts aussi spirituels. du réalisme avant toute chose. En un chapitre, le riche semble avoir épuisé toutes ses possibilités d'émerveillement. Philippe Brocolis et sa famille retournent à leurs préoccupations comme si de rien n'était, un ticket à gratter dans la poche. Ticket gagnant ! C'est autre chose d'étudier la richesse une fois devenu riche à son tour…


Véritablement édifiante, cette bande dessinée amuse et divulgue au passage quelques informations qui ébahiront certainement toute personne n'appartenant pas à la lignée Wendel, par exemple. Progressivement, Pinçon & Pinçon nous font prendre conscience que le privilège de naissance existe encore et que la bonne vieille société médiévale de nos cours d'histoire pourrait aisément être transposée au monde contemporain. Si les riches semblent avoir toutefois appris une chose des derniers évènements historiques en leur défaveur, c'est la suivante : quand on est riche, il faut se taire et se planquer. Lorsque les prolos se la jouent individualistes et se lancent dans des compétitions forcenées dans l'espoir d'escalader un tantinet l'échelle sociale, les membres des grandes et riches dynasties –qui se reconnaissent par leur figuration dans le bottin mondain- se serrent les coudes, se filant des millions ou les postes les plus lucratifs. Allez, lève-toi pour bosser le jour de la Pentecôte, qu'on te dit !


Le prolétaire frousse les babines et grogne…pourtant, les Pinçons ne frappent pas sur le riche pour le plaisir de se défouler. En prenant concrètement appui sur la pensée de Bourdieu, ils montrent que les classes sociales non-privilégiées dépendent d'une hexis de classe de laquelle il leur serait difficile (et peut-être même inconfortable) de sortir. C'est pourquoi les gagnants au Loto suivent des cours pour placer leur argent, plus sûrement pour apprendre à bien le dépenser, que ce soit à Monaco ou aux enchères artistiques. Philippe Brocolis et sa famille, devenus riches, commencent à comprendre que le rêve glisse doucement vers le cauchemar…


Marion Montaigne excelle lorsqu'elle nous parle de sciences ou de cinéma, et se montre toujours aussi passionnante lorsqu'elle aborde les sciences sociales. Nous sommes loin du ton désespéré des moralisateurs ou du sérieux lénifiant des intellectuels. La bibliographie se trouve toutefois en fin d'ouvrage pour qui aimerait s'imbiber de la version formelle du sujet. On reconnaîtra les prolétaires au fait qu'ils se procureront l'ouvrage à la bibliothèque ou qu'ils le piqueront sur un étal mal surveillé. Les bourgeois iront à la Fnoc pour s'en accaparer et le ranger plus tard sur leurs étagères en signe ostentatoire de richesse. Et si vous êtes un héritier Wendel, il y a fort à parier que vous connaissez déjà tout le contenu de cet ouvrage…
Lien : http://colimasson.over-blog...
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- Ça vous dirait d'être riche, demandent Monique Pinçon-Charlot et Michel Pinçon à Philippe Brocolis ?
- Je veux mon neveu, répond Philippe, je pense bien être à la hauteur.
Pauvre naïf...

Ainsi commence la passionnante BD de Marion Montaigne, créatrice de l'inégalable professeur Moustache (Tu mourras moins bête). Ou comment la rencontre de 2 sociologues (mari et femme) et d'une artiste talentueuse donne un résultat formidable : sous une forme plaisante et accessible à tous, les auteurs nous présentent les principes de la sociologie des riches, c'est à dire des résultats des études que les 2 sociologues ont menées durant leur carrière.

Monique et Michel Pinçon-Charlot/Pinçon (M&M PC/P) ont travaillé à Neuilly auprès des familles les plus riches de la planète et on abouti à des conclusions intéressantes pour le plus grand nombre (pour les pauvres, nous quoi...) pourtant très peu médiatisées sur ces gens qui cultivent la discrétion (tu m'étonnes).
Nous apprenons donc que les riches forment une classe, alors que depuis des décennies on nous dit que les classes ont disparu. Qu'ils restent entre eux (par exemple à Neuilly, le ghetto du Gotha), qu'ils font preuve d'entraide alors qu'on nous vante l'individualisme et l'égoïsme de ceux qui ont réussi. Et aussi qu'il ne suffit pas d'être riche pour être accepté dans leur club, qu'il faut y être éduqué, introduit. Notre famille Brocolis, subitement riche, va s'en rendre compte.

À son habitude, Marion Montaigne fait preuve d'un second degré jubilatoire, enchaîne les anecdotes bien trouvées et les références à l'actualité pour servir le propos de M&M PC/P, qui eux sont représentés dans leur propre rôle et introduisent mine de rien les concepts de la sociologie à la Bourdieu. Sont expliquées également l'origine de la richesse de ses familles et la manière qu'elles ont de se perpétuer. On finit le volume sur les moyens d'agir (histoire de ne pas être totalement abattu).

Inclus aussi un questionnaire pour découvrir si vous êtes riche (je ne vous donnerai pas mon score).

En tant qu'auditeur de LBSJS, je connaissais déjà M&M PC/P. Ils ont pris leur retraite, après deux carrières à étudier les ultra-riches. Des études, des publications, des conférences, des reportages radio, et maintenant une BD de vulgarisation. de quoi faire naître des vocations pour prendre le relais ?
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Qui a dit que la sociologie était une discipline rébarbative et ennuyeuse ?
« Que nenni ! » Comme dirait la vieille aristocratie.
Car quand les Pinçon-Charlot, sociologues et spécialistes des riches s'invitent chez Marion Montaigne et ses dessins géniaux, c'est pour nous offrir un album hilarant sur une question de sciences humaines passionnante : qu'est-ce qu'être riche aujourd'hui ? Que vous ayez gagné au loto, que vous vous soyez enrichis grâce a votre activité professionnelle, ou que vous soyez issus de la très haute bourgeoisie, votre « richesse » n'aura pas la même signification. ISF, patrimoine, héritage, bling-bling, optimisation fiscale... tout, vous saurez tout sur l'argent des riches; mais surtout vous passerez un excellent moment (à Neuilly-la-coquette) en compagnie des croquis irrésistibles de Marion Montaigne et de son humour incisif.
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Bienvenue dans le monde des riches. D'ailleurs on se demande pourquoi on ne l'est pas tous, ça paraît si simple ! Marion Montaigne croque les riches avec les données de deux sociologues connus. Quelques exemples pour être riche : naître nanti, avoir son nom dans l'annuaire mondain, être sportif, faire de la tv réalité. Un constant qui laisse le lecteur amer qui rit plutôt jaune et qui est un peu trop long à mon goût.
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Très chère Marion,

C'est en groupie de la première heure, tout acquis à votre cause (vous permettez que je vous vouvoie ?), que je saisis la plume et mon indignation : mais qu'est-ce que c'est que ce binz !?

Quelle est cette dernière lubie ? En ces temps allègres, dispensant les chaussettes où noyer notre moral au rythme des jours de pluie et des périodes de crise, oser titiller ce sacro-saint tabou français : l'argent ? Et plus précisément, dans un pseudo plaidoyer de l'opulence, s'autoriser une visite guidée des ghettos du gotha, humaniser les grands bourgeois ou s'amuser des enjeux et des rites de la gente épicière, légitimant le self-made-man, à coeur d'apprivoiser les loups de Wall Street. Allons, allons Marion ! Si je vous sais gré de votre talentueuse et bidonnante démystification de l'empire des sciences, si votre patronyme suppose des prédispositions aux réflexions abstraites et compliquées, l'économie, la sociologie, on laisse ça aux gens sérieux ! À moins que…

Bien sûr, vous ne faites jamais rien comme tout le monde. Théoriser, terroriser par la bulle n'est pas votre rayon ! Loin du discours, vous préférez la méthode : illustrer par l'exemple, conjecturer par l'expérimentation en dénichant la bénédiction de sommités authentiques qui octroient le recul, la légitimité pour claquer les planches en autant de tubes à essai, réalistes, impayables, pertinentes et impertinentes. Deux sociologues reconnus donc, caricaturés en hilarants faire-valoir tendance monomaniaques et pendus aux basques empiriques d'un gugusse (Philippe pour les intimes) emprunté à la vie courante (et au rayon bd de la fnouc). Un petit tour de passe-passe pour influencer les voies hasardeuses du jeu ; vous faites plonger le héros dans un océan de fortune. Frais batelier sur les cours tumultueux de l'élite monétaire et découvreur explorant les finitudes de la richesse, apprenti corsaire initié aux joies décadentes du kidnappage de l'art puis aux traumatismes de la violence symbolique, armateur novice cultivant la disposition à spéculer sur le malheur ou sous-marinier hagard brutalement immergé dans les eaux sourdes d'un décorum auto protecteur, le culte de l'entre-soi… le rêve dénaturé en cauchemar charrie un flot d'interrogations existentielles, essentielles pour notre néo rupin qui va apprendre ce qu'il en coûte. Un farfouillage de tous les champs du possible, préoccupant, néanmoins très drôle, délicieusement illustré et habile jusqu'à ne plus faire douter que les moins nantis ignorent assurément leur bonheur (les pauvres !) ; remise en question rafraîchissante de la méritocratie ponctuée de grincements de dents et d'une conclusion politiques qui laisseront trahir un engagement, une certaine orientation idéologique. Mais chut, Marion, je crois bien que l'on nous observe…

L'exposé est séduisant. Et il n'est pas déraisonnable que l'on se questionne : alors riche, pourquoi pas moi ?

Dans un élan hypocrite, je rétorquerais : pour ne pas risquer de devenir ce sombre connard qui méprisera le monde. Si j'aspire à plus d'honnêteté, les voies s'ouvrant à moi se révèlent peu viables : se découvrir un subit et tendre penchant pour l'aristocratie helvète la plus agée restant à fiancer, faire cavalièrement joujou avec son pilou pilou, juste le temps imposé pour se voir olographié sur testament, et, ipso facto valider l'usufruit en préméditant un accident de vieillesse définitif, assurément regrettable, mais pécuniairement lénifiant. Non. Inconcevable (… de vivre en Suisse j'entends). Ou, peut-être, à l'instar de sieur Philippe, tenter de décrocher la timbale au Loto, au Keno ou à l'Eurocouillon, enfin n'importe quel vendeur d'espoir folklorique à la mode présumant le bonheur dans votre sagacité à coller le nombre adéquat de petites croix dans de trop nombreuses cases. J'ai testé : les boules !… Il ne resterait plus alors qu'à m'extraire les appendices palmaires du fondement pour turbiner plus, accessoirement palper plus, et (mais c'est hors de question !), dans cette naïveté collégiale grotesque, m'abaisser ainsi à sucer la couleuvre d'un intérimaire du 55 Faubourg-Saint-Honoré (je dérape…).

Bof… En définitive Marion, je m'en bats le découvert. Riche, je le suis tant. de fous rires, de la bonne humeur, du génie rare de clown pédagogue dont tu uses (finalement on se dit « tu » hein ?) pour me faire cogiter, me peindre en travers du visage cette drôle de grimace exhibant impudiquement mes plombages. Avant, pendant et après. Captivé par tes réflexions, régalé de mon nouveau kit « S.O.S. Socio pour les nuls » décapant, soudain contenté de ma classe sociale et prêt à tout avaler dans cette dure lutte (déjà je n'ai plus honte de prêter si sobrement l'esgourde aux tristesses de Chopin, en slip espadrilles, vautré comme un mollusque sur le canapé tout en me grattouillant mélodieusement les - tuuuuuut -, ou, lors des jours fêtards prodiguant le foie gras, à déployer cette noblesse, labélisée gros babouin, pour me bâfrer l'équivalent de trois plaques de marbre bourrées entre deux pitoyables tartines de pain rassis…). Serait-ce l'effet miraculeux de ton trait lâché, éloquent dans ses griffonnages mâtinés d'un je-m'en-foutisme si désopilant ?... Euh, sinon, tu as déjà pris des cours ?

Je châtie gentiment (mais si ! Je le kiffe ton dessin !), car j'aime. Vraiment ! du fond du coeur, des sens (du fond de la bourse aussi), je te remercie pour ces instants de plaisirs persistants. À jouer ainsi, virtuose, le pamphlet raisonnable, l'étude vulgarisée épargnée du vulgaire, distillée par la diablerie, l'ubiquité d'un humour ravageur, tu entres définitivement dans le panthéon de mes auteurs chéris. Et, par cette déclaration d'amour mal déguisée, pourrais-je me dédouaner de cette compulsion cafouilleuse à transcrire mon enthousiasme ? Pardonneras-tu les nombreuses bêtises d'un blabla claudiquant qui, je l'espère, ne fera pas sourire que moi ? (au cas où, je te joins une demande en épousailles et les copies de mes derniers bulletins de salaire…)

Bises

P.-S. Quand tu la croiseras, embrasse aussi la prof Moustache pour moi.
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critiques presse (3)
BoDoi
20 décembre 2013
Riche idée que celle de Marion Montaigne (Tu mourras moins bête), qui exerce ici ses talents pédagogiques avec clarté [...] Avec l’humour pour arme, son trait lâché exprime des idées captivantes.
Lire la critique sur le site : BoDoi
ActuaBD
25 novembre 2013
Fort d’une dimension pédagogique remarquable, l’album est extrêmement instructif et réussit, par ses inspirations comiques, à désamorcer l’ennui quand les explications techniques se font plus longues.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Bedeo
18 novembre 2013
Riche, Pourquoi pas Toi ? est un vrai docu-bd qui nous apprend plein de choses et nous fait nous poser de vraies questions.
Lire la critique sur le site : Bedeo
Citations et extraits (40) Voir plus Ajouter une citation
9 français sur 10 pensent que les riches sont utiles à la société. Ils assistent à l’enrichissement des plus riches tiraillés, indulgents, comme si cette richesse, au fond, profitait par « ruissellement » à tout le monde. En vérité, une toute petite partie est injectée au bénéfice de l’économie et donc du travail. Une autre partie, bien plus importante, tourne sur elle-même, s'auto-alimente, s’accumule. Quand cette spéculation se fait sur la dette (qui génère des politiques d’austérité), l’argent fait même plutôt le chemin inverse.
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Le bottin mondain est une sorte d’annuaire V.I.P. avec les adresses de gens de la haute société, des personnes d’influence, de pouvoir… rien à voir avec le vulgaire annuaire ! […] On trouve également des modèles de lettres afin d’écrire à de hauts dignitaires qui sont eux-mêmes parfois dans le bottin.
« Pour écrire au Pape, commencez la lettre ainsi : « [sic] Très cher Saint Père, Humblement prosterné aux pieds de Vôtre sainteté et implorant la faveur de la bénédiction apostolique… » »
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En fait, à la différence du seuil de pauvreté, il n'existe pas de seuil de richesse ....et finalement, on trouve toujours plus riche que soit.

Indien : 30 euros
Congolais : 240 euros
Smicard : 1100 euros
Employé : 1600 euros
Cadre Sup. : 4000 euros
Grand Patron (CAC 40) : 270 000 euros
Bernard Arnault : 342 000 euros

Salaires nets mensuels
Et là, on ne parle que des revenus du travail !
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Quand Bernard Arnault veut la double nationalité belge, ce n’est pas pour des problèmes de fin de mois, ce n’est pas non plus parce qu’il a une passion pour la frite ou la BD (hélas), c’est parce que les droits de succession y sont moindres qu’en France. Ainsi, la richesse passe de génération en génération au sein de la famille, de la dynastie, de la classe.
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Sauf qu’avant il y avait quelques riches pour beaucoup de pauvres, les seconds se consolant de ne pas faire partie des premiers comme ils le pouvaient :
- Heureux sois-tu petit pouilleux, parce qu’au paradis, ce sera la fête ! Youhou !
- Amen !
- Super !
Alors qu’aujourd’hui, on n’a jamais compté autant de riches : 1426 milliardaires dans le monde en 2013…
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