>
Critique de enzo92320
Ce qui caractérise une histoire « d'amour – haine » (comme mon lien avec la psychanalyse), c'est que c'est toujours au moment où on croit l'histoire finie qu'elle renait de ses cendres. Et dans mon cas personnel, je m'étais épuisé ces derniers temps à défendre ce que je trouvais « bon » chez Freud, Jung ou Balint, et la lecture du dernier livre (à charge) de van Rillaer, « Freud et Lacan, des charlatans ? » m'avait pour ainsi dire achevé.
A l'inverse le livre de Violaine de Montclos rappelle ce que la psychanalyse peut apporter, d'une part quand on la prend pour ce qu'elle est, un outil (et non, une religion absolue), et d'autre part quand elle est mise en oeuvre par un praticien humble, au service et à l'écoute de son patient, sans dogme ou conviction arrêtée.
Il y a beaucoup de très belles histoires, dont un cas d'autisme (faut-il rappeler le contexte sulfureux ?). Qui chacune nous rappelle que chaque humain est différent, avec son propre parcours. Même si nous sommes immergés dans une biologie, une histoire familiale, et un corps social et culturel qui, chacun, a ses lois aussi puissantes que mystérieuses.
A l'inverse le livre de Violaine de Montclos rappelle ce que la psychanalyse peut apporter, d'une part quand on la prend pour ce qu'elle est, un outil (et non, une religion absolue), et d'autre part quand elle est mise en oeuvre par un praticien humble, au service et à l'écoute de son patient, sans dogme ou conviction arrêtée.
Il y a beaucoup de très belles histoires, dont un cas d'autisme (faut-il rappeler le contexte sulfureux ?). Qui chacune nous rappelle que chaque humain est différent, avec son propre parcours. Même si nous sommes immergés dans une biologie, une histoire familiale, et un corps social et culturel qui, chacun, a ses lois aussi puissantes que mystérieuses.
