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"Promets-moi si tu me survis
D'être plus fort que jamais
Je serai toujours dans ta vie.
Près de toi, je te promets."
Immortelle Inès de Castro, la Reine morte!
Elle était la dame de compagnie de Constance de Castille, lors de son mariage avec Don Pedro du Portugal.


"Il y a tant de beautés dans La Reine morte ! "
Inès parle à Pedro de l'enfant qu'elle porte en elle ( ils se sont mariés en secret, et Ferrante , le roi du Portugal et père de Don Pedro, l'ignore)
-"Le jour, il ne me préoccupe pas trop. C'est la nuit… Il est au chaud de mon coeur, et je voudrais me faire plus chaude encore pour l'abriter mieux. Parfois il bouge, à peine, comme une barque sur une eau calme, puis soudain un mouvement plus vif me fait un peu mal.


-Ton nom prononcé dans ma solitude, prononcé dans mes rêves. Et voilà que je t'ai retrouvé. Et j'ai retrouvé l'odeur de tes vêtements… Quand je t'ai vu, mon coeur a éclaté.
Car j'accepterais de mourir, moi et ce que je porte en moi, oui, j'accepterais de mourir si la mort devait me fixer à jamais dans un moment tel que celui-ci.
Pedro est en prison, et le roi Ferrante a accepté qu'Inès reparte, saine et sauve... "


"N'oublie pas ce que je t'ai dit
L'amour est plus fort que tout
Ni l'enfer ni le paradis
Ne se mettront entre nous."


Mais, si le Roi Ferrante décide de faire tuer Inès, à la fin de la pièce, la raison d'État n'y est pour rien. le pape n'annulera pas le mariage d'Inès et de Don Pedro..." Ferrante est un peu hagard... Il se souvient avoir dit à Inès, à son arrivée:
- La cour est un lieu plein de ténèbres. Vous y auriez été une petite lumière…
- Oui, une petite lumière… Inès avait 26 ans!


Une petite lumière éblouissante de pureté qui révèle le côté obscur de l'âme du Roi (et lui fait prendre conscience de sa faiblesse, de ses échecs et de son fils Pedro qu'il n'a pas su aimer...)"


"Pense à moi, comme je t'aime
Et tu me délivreras
Tu briseras l'anathème
Qui me tient loin de tes bras". On se retrouvera, Francis Lalanne.


Devenu roi après la mort de son père, Don Pedro fera déterrer, puis couronner Inès. Il obligera ensuite tous les grands du royaume à baiser la main de la Reine morte...
Mortels, vous qui passez au Monastère d'Alcobaça, au nord de Lisbonne recueillez vous devant les tombeaux d'Inès et de Don Pedro...
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Théâtre, Montherlant, La Reine Morte... des mots qui peuvent faire peur à celui qui n'est pas tellement adepte des classiques ni du théâtre ni des choses un peu vieilles comme on croit en déceler à chaque fois qu'on entend parler de rois ou de reines de temps révolus et de contrées lointaines.
Je conçois qu'on ne soit pas forcément très sensible au cadre formel contraignant des pièces de théâtre et, ce faisant, qu'on s'avance toujours prudemment sur le terrain parfois lourd ou glissant de la prose si particulière à ce genre. Je conçois qu'on ressente toujours une certaine appréhension quand on se lance dans les bras d'un auteur qui nous est inconnu et dont la réputation forme comme une chape de plomb au-dessus de nos têtes.
Personnellement, je n'avais jamais rien lu De Montherlant avant d'aborder cette pièce et je peux seulement dire qu'elle m'a donné l'envie d'en lire d'autres.
Quelle ne fut pas ma surprise de trouver chez cet écrivain français du XXè des accents dignes de Lope de Vega et des intonations qui ne sont pas sans me rappeler un Shakespeare !
Un beau style, sobre mais travaillé et surtout, un propos, à mon sens, tout aussi philosophique que du Sartre ou du Camus qu'on monte aux nues. (Sans que je sache toujours bien pourquoi, mais ça, c'est une autre histoire.)
Ici, Henry de Montherlant nous emmène à la fois dans un autre pays (le Portugal) et une autre époque (une sorte d'Ancien Régime à la portugaise) afin probablement qu'on ne se focalise que sur le propos qui, lui, est intemporel et universel.
Le vieux roi (Ferrante) aimerait que son fils épousât l'Infante de Navarre pour des raisons politiques, peu importe qu'ils s'aimassent ou non, lui n'ayant aucune illusion, ni sur l'amour, ni sur l'humain en général.
Ce vieux roi désabusé et conscient de toutes formes de bassesses au sein de ses propres rangs est particulièrement attachant malgré les apparences.
Son fils n'a que faire du pouvoir et a bien compris que son bonheur personnel ne passait pas par les exigences du trône, c'est pourquoi il a de longue date préféré une belle bâtarde plutôt que l'Infante d'un quelconque royaume, aussi mirifique et bon pour le Portugal soit-il.
Évidemment, c'est un revers pour la politique royale, pour l'Infante bafouée et la vie de la dulcinée du Prince ne tient plus alors qu'à un fil, sachant que les conseillers du roi, qui eux n'ont aucun intérêt dans le bonheur du prince mais par contre en ont probablement dans les alliances intéressées poussent à la roue pour évincer la belle roturière...
Intérêt général contre intérêt personnel, que dit votre âme ?
En somme, une bien belle pièce, qui réussit le dépaysement qu'elle nous propose tout en ne lâchant rien sur la teneur du fond.
Chapeau bas Monsieur de Montherlant, en tout cas c'est mon avis, certes, ce n'est pas grand-chose.
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Montherlant fait partie de mes dramaturges préférés et je le préfère de loin dans ses pièces plutôt que dans ses romans ou ses essais. Comme quoi…

La reine morte met en scène un vieux roi portugais, Ferrante qui, sentant sa mort arriver, veut mettre en ordre son royaume. Il ordonne ainsi à son fils, le prince Don Pedro, d'épouser l'infante de Navarre, Dona Bianca. Il la fait venir en son royaume afin que les deux jeunes se rencontrent. Mais il y a un problème : le rejeton est amoureux de la belle Inès de Castro. Il ne se préoccupe donc pas de Bianca. Cette dernière, déçue, bafouée dans sa fierté, ne tarde pas à trouver le vieux roi afin de lui faire part de ses sentiments à ce sujet. Ferrante entre dans une colère noire. Il fait enfermer Inès et tente de la persuader qu'elle doit faire changer d'avis le prince afin qu'il épouse l'infante. Mais ce qu'il va apprendre à ce moment-là risque de le surprendre…

Cette pièce, parue en 1942, est inspirée par celle d'un autre écrivain, Luis Velez de Guevara, Régner après sa mort (1570). Montherlant s'est servi du fait réel qui avait donné lieu au texte, l'assassinat d'Inès de Castro par Alphonse IV) mais en a fait une oeuvre toute personnelle. Les personnages sont travaillés. Ainsi, le vieux roi Ferrante paraît complètement hermétique. Certaines réactions peuvent surprendre car il peut prôner la sagesse et faire preuve, pourtant, de haine et de sadisme. Viennent ensuite les femmes au caractère bien trempé. Quant à Pedro… la pauvre garçon fait bien pâle figure face à Bianca ou Inès. le jeune prince est un pleutre. le seul acte qui le fera remonter dans notre estime sera le dernier.

Quel talent ce Montherlant !
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Le titre de cette pièce nous indique quel sera le choix dicté par la raison d'état qui triomphe de l'amour. Deux femmes obstinées et monolitiques, et un prince falot, permettent de mieux comprendre les desseins d'un roi vieillissant, personnage complexe et véritable héros de cette pièce.
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Il m'en aura fallu du temps pour me lancer dans l'oeuvre De Montherlant! Ce dernier a longtemps eu pour moi, je crois, une image un peu faussée d'auteur inaccessible et un peu désuet.
Pour autant, il y a tout de même quelque temps que je lorgnais du côté de "La Reine Morte" en me disant que quitte à rencontrer Montherlant, autant le faire par l'entremise d'Inès de Castro.
C'est en effet l'argument de la pièce -grandiose drame en trois actes- qui m'a d'abord attiré chez l'auteur. le fait historique, authentique, dont il s'inspire avait tout pour attiser mes ardeurs et j'en ai conçu une durable fascination depuis ma lecture adolescente de "La Reine Crucifiée" de Gilbert Sinoué. Rien de plus fou, de plus inquiétant et de plus extrême que ce ténébreux prince du Portugal qui força, le jour de son couronnement, ses courtisans à s'incliner face au cadavre d'une épouse idolâtrée, assassinée quelques années plus tôt sur les ordres d'un roi qui voulait d'une autre belle-fille dont le sang coulerait bien bleu, plus bleu en tout cas que celui d'Ines qui éclaboussa sans doute les capes de ses meurtriers.
Quand on y pense, c'est assez surprenant que si peu d'auteurs -romanciers ou dramaturges- se soient emparés du sujet. Passé "Les Lusiades", il faudra attendre Victor Hugo et ses dix-sept ans (!) pour que la reine morte sorte de l'ombre. Un sujet pareil… Imaginez ce qu'aurait pu en faire un Corneille, lui qui se passionnait pour l'irréconciliable conflit entre la passion et la raison… Ce qu'en aurait fait aussi et surtout un William Shakespeare... Cet épilogue mortifère, glauque même, il en aurait fait de l'or, un sublime incendie.

Maurice Maeterlinck a dit: "Avoir écrit La Reine Morte suffit à justifier une vie", peut-être est-ce excessif, mais je me dis que l'avoir écrit excuse et efface les siècles de silence. En effet, si j'ai longtemps regretté que la fiction ne se soit pas davantage emparée de la passion tragique de Pedro et d'Inès, je dois confesser que ces regrets ont fini par fondre comme neige au soleil à la lecture de "La Reine Morte": les personnages, en définitive, pouvaient bien attendre Montherlant et 1942 pour revenir brûler les planches, parce que cette pièce est un somptueux écrin, un chef d'oeuvre qui les rend éternels et incroyablement vivants, humains.

Montherlant a donc su s'emparer de cette histoire avec brio, brillance. Au delà du plaisir que j'ai ressenti à l'idée de l'intrigue, j'ai été happée par sa langue que j'ai trouvé sublime: sobre, sans impuretés ni volutes inutiles mais profonde, travaillée, ciselée. Elle n'a pas été sans me rappeler les accents, la poésie un peu sombre et avec eux les angoisses et les obsessions d'un Shakespeare. A chaque scène, à chaque page, j'aurai voulu souligner une réplique, une phrase tant les mots sonnent justes et beaux, tant ils ont du sens, de la profondeur. Et une beauté confondante. Ce texte, il est beau à pleurer et à trembler.
Sous la plume du dramaturge, cette tragédie -fable d'amour et de mort, de pouvoir et de mensonges- d'un autre temps et d'un pays presque lointain devient intemporelle, universelle même. L'amour et l'intérêt personnel se cognent contre la raison d'état, le pouvoir et la corruption, entament un combat perdu d'avance qui les laisse exsangues. Au pays du roi Ferrante, les jeunes, les amoureux sont des naïfs, des rêveurs que le temps et la réalité finiront par corrompre ou piétiner tandis que les vieux ne se font plus d'illusions et nimbent leurs actes de leur désenchantement. C'est beau quoique désespéré et immensément pessimiste.

A cet égard, le personnage le plus réussi de la pièce n'est ni Pedro -"le veuf, le ténébreux, l'inconsolé"-, ni Inès, si douce, si émouvante. Ce n'est pas non plus l'Infante de Navarre, pourtant si grande, si singulière. Non.
C'est Ferrante, le roi, pour qui on ne peut s'empêcher d'éprouver de la compassion malgré la cruauté dont il fait preuve, malgré ses atermoiements et son hypocrisie, malgré enfin le dédain et la haine même que lui inspire son fils. On le prend en pitié, on s'y attache parce que lui sait.
Il sait la vanité du monde et ses mirages. Il sait que ce n'est qu'un théâtre où chacun avance masqué, que tout file et se corrompt, que rien ne demeure que l'amour le plus pur qu'un rien peut tuer, que le pouvoir est un nectar autant qu'un poison, qu'on se lasse de tout et qu'il vaut mieux souffrir de lassitude que mourir de vouloir vivre heureux.

Histoire d'amour tragique sublimée par la langue De Montherlant, "La Reine Morte" est aussi une pièce de théâtre magnifique sur l'absurdité de la condition humaine, sur les conflits de générations jaillis de la cruauté du temps qui passe.
J'espère tant pouvoir la voir sur scène un jour...
Quand on sait qu'elle fut créée en décembre 1942 à la Comédie Française, alors que le bruit des bottes résonnait sur le pavé parisien, ça laisse songeur quand même...



























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La Reine morte, créée en 1942 à la Comédie Française, est la première pièce de Henry de Montherlant. Il s'agit d'un drame en trois actes, qui se déroule à la cour du Portugal. le roi Ferrante décide de marier son fils à l'Infante d'Espagne, pour des raisons politiques. le prince n'est pas attiré par le pouvoir et encore moins par l'Infante, car il s'est marié en secret à Inès. Ferrante, roi rodé, n'entend pas accepter la situation car il veut un rapprochement avec l'Espagne et d'autre part ne souhaite pas de mésalliance. En Inès, femme de caractère et éduquée pour régner, il trouverait de plus une alliée. Pedro, le Prince et Inès, sont des rêveurs qui ne voient que bonté et amour. le roi est entouré de conseillers qui le poussent aussi à se montrer intraitable. Cet homme en fin de vie et de règne a été un souverain rude, pensant plus au royaume qu'au bien-être de ses sujets, même détaché de son propre fils, et il est fatigué de sa vie... La question se pose va-t-il être miséricordieux ou intransigeant? Il sait souffler le chaud et le froid, et sait aussi faire de la peur son alliée. Il ne se montre humain que lorsqu'il se confesse à Inès, mais ceci arrive trop tardivement pour le rendre sympathique, et la pièce reste ancrée dans la noirceur et le drame.
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Même si le titre de ce drame historique attire l'attention sur l'héroïne, le héros véritable est le vieux roi Ferrante dans ses conflits avec son fils. Tout les oppose, et en particulier, de façon irrémédiable, le Temps : Ferrante aimait son fils quand il n'était qu'un enfant, mais il se prend à le haïr quand il devient adolescent, homme, amoureux, voire sentimental, et inférieur à ses devoirs de futur roi. Par ce biais, Montherlant renouvelle le vieux conflit cornélien entre le coeur et la raison d'état. Il ancre ce conflit abstrait dans les dégoûts du vieux père pour son fils, jeune homme qui veut simplement être heureux et non être roi : on pourra comparer avec Mithridate de Racine rival de ses fils en amour et en politique, ou avec la grande figure, dans Rodogune de Corneille, de la mère atroce jouant ses fils l'un contre l'autre. Grand ressort tragique que les haines entre parents et enfants... Le souci de reconstitution historique fidèle (malgré les grandes libertés que prend l'auteur avec l'histoire du Portugal médiéval), héritage du Romantisme, n'alourdit pas la pièce, car les personnages sont forts, éloquents, bien campés et semblent vivre naturellement au milieu de ce décor. Comme Anouilh, et deux ans avant son Antigone de 1944, l'auteur dresse l'un contre l'autre le devoir d'état et l'exigence individuelle, en les incarnant dans deux personnages, au lieu de la conscience d'un seul comme chez les classiques. Il donne clairement raison à Ferrante, son vieux roi, contre le fils, le sentimental Dom Pedro, à la différence de l'ambigu Anouilh.
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Bon ! Comment l'expliquer ? Les pièces de théâtre, quelque soit l'époque, qui parlent de rois, de reines, de courtisans...me font flipper ! Un stress intense en souvenir des profs de francais qui prenaient la liste d'appel et nommaient un élève au hasard pour sortir au tableau réciter l'extrait qu'il fallait apprendre. J'en ai froid dans le dos.
C'est donc non sans courage que j'ai sorti La reine morte de ma bibliothèque, j'ai dû l'y enterrer depuis un moment.
Le texte est passionnant, puissant...j'ai beaucoup aimé.
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C'est ma première lecture De Montherlant, dont le nom résonnait dans mon esprit depuis plusieurs mois déjà. J'eus très peur en apprenant le thème central : la raison d'état contre l'amour. Pourtant, la pièce se lit sans faim et sans faim se lit. Je pensais lire une oeuvre tirée de la plume d'un misogyne sans vergogne, pourtant les personnages féminins sont grands, bien plus grands que leurs homologues masculins !
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Henry de Montherlant est né un peu avant l'aube du vingtième siècle, en 1895, époque industrielle un peu noire mais encore empreinte de ces rêves de modernisme, de grandeur et d'amélioration sociale. Il est ensuite mobilisé en 1916, à 21 ans. Il reviendra blessé et décoré, mais surtout meurtri et profondément marqué par la grande guerre. Puis vient la seconde guerre mondiale et l'occupation parisienne (sa ville natale) qu'il subit avec un peu moins de fougue et d'engagement que précédemment. D'aucuns lui reprocheront ses textes moins « vaillants ».
C'est dans ce contexte et fort de ses expériences qu'il écrit la Reine Morte en 1942. Tragédie en trois actes dans la plus pure tradition shakespearienne, ce drame est celui de tout monarque qui planifie des alliances et se voit contré !
Le roi Ferrante d'Espagne veut marier son fils à l'Infante de Navarre. Son fils refuse car il en aime une autre. Qu'à cela ne tienne ! Tu épouses l'Infante et tu fais de l'autre ta maîtresse (classique, voulu, demandé, légal, souhaité, applaudit… à l'époque). Euh, oui mais je suis déjà marié avec « l'autre » ! Zut de flûte, avec ce pape qui ne m'aime pas, ce ne sera pas évident de dissoudre ce mariage. Oui mais, je ne veux pas le dissoudre moi !
Je le résume de façon amusante, mais il n'en est rien dans ce texte ou de chaque page coule le sang versé par Ferrante dans sa course au pouvoir. Il est vieux, dans l'antichambre de la mort, mais il est encore fort et ne supporte pas la remise en question. ou alors, par faiblesse passagère. de longs dialogues ou monologues parsèment cette pièce dont la profondeur n'a d'égale que la noirceur. Mais, quelle verve !
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Il s'agit ici:

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