Il me semble que devenait nécessaire le rassemblement en un tout cohérent, dans une sorte d’inventaire général, le plus complet possible, des sites, environnements ou petits « musées » créés en plein air par des autodidactes, non professionnels de l’art quoique inventifs, appelés précédemment par certains auteurs « inspirés du bord des routes », « habitants-paysagistes », voire « bâtisseurs de l’imaginaire ».