Le dernier volume de la traduction de
Charles Mopsik, concernant les sections du Zohar consacrées à la fin de la Genèse, témoigne de toute une évolution de la part de ce savant, qui avait commencé à livrer un texte presque sans notes (tome I) et donc difficile d'accès, pour augmenter l'annotation et l'explication à mesure que son travail avançait. Cette initiative est bienvenue, car le exte du Zohar est entièrement codé, allégorique, volontairement symbolique et mystérieux, et le traducteur doit se transformer parfois en commentateur (sans jamais mélanger les deux activités, ce que Ch.
Mopsik se garde de faire.) Malheureusement, une mort prématurée a emporté ce grand savant, laissant son oeuvre inachevée.
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