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3,62

sur 121 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Gérard Mordillat est un auteur engagé, prenant fait et cause pour les petites gens. Si louable que soit son attention, "Xénia" est un roman qui enfile les stéréotypes avec une constante qui très vite devient pénible. Les traits sont gros pour ne pas dire plus, les personnages pas franchement attachant, quant à l'écriture ça frôle souvent le ridicule. La subtilité remisée au placard, on oublie vite ce roman malgré son sujet, lui malheureusement très actuel.
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Xenia ! Toute la misère sociale, c'est elle !
Tellement sombre, tellement noir que j'ai failli abandonner plusieurs fois.
Tout y passe dans cette banlieue sordide : les règlements de comptes, les emplois précaires, le racisme, les envies de suicide, les sans-papiers, les enfants à élever seules…….
C'est présenté comme des scènes de film qui se succèdent.
Alors il y a Xenia, avec son caractère bien trempé et tous ses malheurs, mais il y a aussi Gauvain, de l'autre côté de la barrière sociale, un banquier quitté par sa femme et qui a des scrupules à abuser ses clients et à exploiter ses employés.
J'ai eu du mal à adhérer à leur histoire d'amour, tellement peu plausible entre ces deux êtres que tout oppose.
Ce livre, c'est une satire sociale réaliste et impitoyable
C'est d'un style très aisé à lire, mais c'est très difficile à supporter, d'autant que tout cela existe réellement.
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Xénia a 23 ans, un petit bébé Ryan et galère..... le père de son fils est parti, emmenant le peu qu'elle avait, elle vit de petits boulots mal payés, se fait exploiter par des patrons profitant de la misère féminine.
Elle fait la connaissance de sa voisine Blandine, caissière dans une grande surface et mère de Samuel, adolescent vivant mal l'absence de son père, les contrôles policiers ciblés vers les noirs.
De leur rencontre va naître une belle amitié : à plusieurs on est plus fort et puis Xénia va rencontrer l'amour auprès d'un directeur d'agence bancaire, blasé et écoeuré du management humain.
Le récit fait la part belle aux revendications salariales, au système, aux banlieues, à la difficulté de boucler les fins de mois voir les mois entiers.
C'est une sorte de road movie dans une banlieue française, ou l'on se déteste ou l'on s'adore, ou l'on s'entraide ou l'on se tue, l'espoir et les désespoirs, l'amour, l'amitié et la haine, le racisme etc....
J'ai lu jusqu'au bout le récit, même si je me doutais de la fin mais je trouve tout celui-ci un peu "cousu de fil blanc". On devine très vite l'histoire, le prince qui vient au secours de la princesse, le happy end etc... Malheureusement cela ne finit pas toujours ainsi dans la vie... mais cela donne un peu d'espoir..... A plusieurs on est plus fort.
Découpage du roman en petits chapitres, découpage façon scènes de cinéma, rappelant que Gérard Mordillat est également cinéaste.
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Ayant beaucoup aimé "Les vivants et les morts" de Gérard MORDILLAT, je fais de tant en tant de nouvelles tentatives. Malheureusement, le charme n'opère plus. On retrouve encore une fois dans ce roman les mêmes thèmes et en particulier les méchants patrons qui s'acharnent sur les pauvres petits ouvriers, mais ces derniers vont bien évidemment se venger... Encore une fois déçue.
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Tout est dit dans la quatrième de couverture! Roman larmoyant et misérabiliste. Je l'ai abandonné à la 110ème page!
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Des bons sentiments mais aucun style, une avalanche de phrases toute faites. Un bon roman de gare mais il est préférable que les amateurs de littérature passent leur chemin.
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Comme d'habitude avec les romans sociaux, je n'ai pas accroché. Travaillant dans le secteur, j'ai trouvé plein de clichés et de stéréotypes habituels et ennuyants, pour ne pas dire grossiers. Je n'ai développé aucun attachement pour aucun personnage. Leur manque de crédibilité n'y arrangeant rien...
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