Anomie et désordres peuvent ils réellement devenir raison de société?
La question est posée et les éléments pris en analyse pour étude et compréhension de ce phénomène devenant sujet du quotidien.
Sans nécessairement vouloir apporter une solution, les hypothèses se positionnent et s'offrent à la réflexion de chacun(e).
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La délinquance, dans l'ordre hiérarchique d'une reconnaissance sociale, permet à certains nomades d'acquérir une sorte de prestige, un pouvoir symbolique au sein de la communauté.
Il est certain que la mobilité des nomades met en échec permanent les forces de police et de gendarmerie qui exercent toujours leur activité dans le cadre d'une compétence territoriale limitée.
Une politique gouvernementale prudente devrait, dans la lignée de ses positions antérieures face à la délinquance, s'en tenir à approuver quelques évolutions architecturales de bon sens mais rester plus réservée quant aux modes de projet urbain "sécuritaires".
Le dernier ensemble de solutions consiste à instaurer des dispositifs homothétiques entre l'intérieur et l'extérieur du territoire.
Les nomades subissent comme les autres populations les effets des changements de modèle social.