Lettres d'amour de 0 à 10

Ernest a dix ans, sa mère est morte en le mettant au monde, son père est parti trois jours après, il vit donc seul avec sa grand-mère. Un jour, une nouvelle arrive dans sa classe et ça change toute sa vie.

Au début, j'ai trouvé le livre lent et vide, j'ai pensé que j'allais l'abandonner. Pourquoi mettre un garçon terne comme héros ? Il ne parle pas, il ne connaît rien, il n'a même pas envie de sortir. Dès que la nouvelle arrive, j'ai commencé à moins m'ennuyer parce qu'il se passe enfin quelque chose. En fait, en lisant le livre, on a les sentiments d'Ernest : ennui au début, puis ça s'améliore. Ce n'est qu'à la fin qu'on comprend pourquoi l'auteur a choisi ce titre, c'est émouvant.

(défi lecture 5e)

Voici une histoire d'amour - amitié pleine de bons sentiments. C'est d'abord l'histoire d'Ernest, petit garçon de 10 ans qui porte tous les malheurs du monde sur ses frêles épaules: sa mère est morte en le mettant au monde, son père est parti trois jours plus tard, le voilà donc élevé par une grand-mère éternelle veuve éplorée qui refuse toute fantaisie et toute modernité.
Le quotidien d'Ernest se résume à manger des repas sans gras sans sucre sans produits artificiels, aller en classe où il écoute, travaille, apprend, reste à l'écart pour ne pas se blesser ni se salir, puis passer son temps libre à lire et à attendre que les secondes, les minutes, les heures, les jours passent...
Une vie bien morne que va venir révolutionner sa nouvelle camarde de classe, Victoire, issue d'une fratrie de quatorze enfants, dont il s'agit de la seule fille. Ernest découvre alors, à dix ans, le monde dans lequel il vit ("survit" serait plus adéquat). Il découvre le goût des petits pains au chocolat, le fumet de la daube et l'onctuosité de la crème glacée, mais aussi la télévision, le téléphone, le cinéma, et même les voyages en voiture!
Deux mondes s'entrechoquent.
Ce choc sera positif car de cette rencontre découlera enfin les conditions qui permettront à Ernest de découvrir ce qu'est le sourire...
Une jolie histoire, mais parfois un peu trop "guimauve américaine" à mon goût...

C'est de la plume légère, trop légère parfois, avec les situations qui vont avec. Tout ça parce qu'il s'agit de l'histoire d'un gamin qui découvre la joie de vivre par la biais d'une gamine et de ses treize frères. Exactement. Même qu'il y en a un caché dans son cartable.
Qu'est-ce qu'on retire de cette lecture au final, sinon la description aussi poussée qu'inutile d'un couscous, un père qui réapparaît comme par miracle à la fin du livre et une lettre de poilus parlant de chaussettes ? Sans doute l'enthousiasme de la petite Victoire et une ou deux farfeluteries moins ridicules que les autres.
Voilà, vous avez ma critique. À présent, moi aussi, je vous demande une chose : assommez-moi ceux qui ont mis "roman épistolaire" et "epistolaire" dans les étiquettes. Que des gens puissent se tromper dans la SFFF, je peux comprendre, on est tout le temps rabaissés par les lecteurs de livres soi-disant sérieux, mais là, ça prouve définitivement et irréfutablement que certains poseurs d'étiquettes s'amusent à se foutre du monde en ne lisant que les titres des bouquins. Ou bien alors, ils n'ont jamais compris qu'un livre, ça s'ouvre. J'en sais rien, il faudrait essayer des fois.

Élevé par sa grand-mère dans une atmosphère assez monotone et carrément triste, Ernest vit parce qu'il le faut bien sans même se douter qu'autre chose est possible. Jusqu'au jour où Victoire débarque dans sa vie. Lla jeune fille investit son quotidien sans vraiment lui demander son avis et avec toute une armée derrière elle. Parce que, contrairement à Ernest qui vit dans une grande solitude, Victoire a grandit très entourée : elle est la 13e enfant d'une famille qui en compte 14. C'est donc un véritable choc des cultures que décrit Susie Morgenstern avec humour et tendresse.
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C'est un bon livre, mettant en scène un petit garçon, le personnage principal, et sa grand-mère, une vieille femme aux principes non-évolués qui vont se voir être balayés. En effet, l'arrivée de Victoire, cette jeune fille pétillante et pleine de joie de vivre, ainsi que la venue d'Henriette vont tout bouleverser. Soudain, Ernest va découvrir que le monde dans lequel il vit n'est pas si vide, et Précieuse, sa grand-mère, va apprendre à sortir de ses habitudes révolues, et va re-découvrir la vie et ses merveilleuses couleurs.
Une touchante histoire entre petit-fils et grand-mère, avec une pointe d'énergie matérialisée par Victoire, cette courageuse fille issue d'une fratrie de 12 garçons.
Tout ça sur un fond de trame où sont mêlées tendresse, compassion et curiosité, avec l'espoir, pour le héros, de peut-être pouvoir un jour retrouver son père.

Alors, c'est très bien. Très très bien même. J'ai tout de suite pensé que j'aurais aimé le voir illustrer par le Tomi Ungerer première période (Crictor, Émile... celui des années 50, début 60) car le roman est dans le même style un peu désuet mais dont la désuétude flirte avec le kitsch, donc avec l'ironie, donc avec l'humour... parfait. Il paraît que c'est déjà un classique, étudié en classe et tout et tout. Très mérité. Alors pourquoi seulement trois étoiles ? Eh bien, parce que Lettres d'amour de 0 à 10 entre dans le champs des belles oeuvres qui vous laissent froid. Vous voyez ? Objectivement, c'est très bien mais subjectivement, on reste un peu en dehors. Moi en tout cas.

Lisez le si vous aimez les romans à l'eau de rose !!!

C est un petit garçon qui s appelle Ernest sa mère est morte et son père a
disparu.Il vit avec sa grand-mère. Ernest est un très bon élève, sa vie est un
peut lassante, mais un jour il découvre que son grand-père avait envoyé une
lettre indéchiffrable. Que va découvrir Ernest?


J'ai bien aimé ce livre, il est assez émouvant et original. Mais à certains moments ,il peut etre un peut ennuyeux car je trouve qu'il y a beaucoup de détails pas forcement utiles.

Lu pour l'école il y a environ 2 ans. Pas le meilleur je trouve...

Un petit roman simple, drôle, tendre, émouvant. L'histoire d'Ernest qui vit chez sa grand-mère, une petite vie bien tranquille, bien rangée, trop même. Et puis un jour, Victoire débarque dans sa vie. Victoire et ses douze frères, Victoire pleine de vie qui va faire découvrir à Ernest plein de petits plaisirs tous simples (un carré de chocolat, une séance cinéma...) auxquels le jeune garçon n'avait jamais goûté. Un roman à mettre entre toutes les mains.