Petits secrets, grands mensonges

Livre reçu en cadeau par mon amie Cécile que je remercie chaudement, je découvre l'univers de Liane Moriarty qui semble aimer les femmes plus que les hommes car ici, elles ont le premier rôle ces dames.

L'histoire démarre sur un meurtre lors d'une soirée quizz dans une petite cité d'Australie où tout le monde se connaît. On ignore qui est mort, comment et pourquoi. On suit l'histoire à rebours comme un puzzle afin de rentrer dans la vie de cette bourgade australienne.
En premier plan, nous avons la coquette Madeline, mère de trois enfants dont l'aînée lui en fait voir de toutes les couleurs avec ses idées d'aller vivre chez son père ou bien d'oeuvrer jusqu'à l'extrême pour Amnesty.
Jane, la pauvre demoiselle célibataire, mère d'un jeune garçon sans père et accusé très vite de bourreau auprès de ses petites copines d'école.
Céleste, en couple avec Perry, mère de deux jumeaux, elle se débat et survit tant bien que mal aux assaults de violence de son cher et tendre époux.

Un roman hyper féministe et très cliché en somme. Chacun traîne ses casseroles et ses secrets, on ment pour épargner les uns et les autres, on se ment à soi-même. Des personnages qui traversent la vie d'Odette-tout-le monde avec son lot de petites et grandes misères. Un roman de près de 600 pages tout de même où j'avais parfois envie de me dire « c'est pour du Zola ou du Victor Hugo que je tourne 600 pages et puis, je me suis laissée sagement entraînée dans ces vies imparfaites. Parce qu'il y a un peu de moi, un peu de vous dans ces vies et que cela fait du bien de yeuter comme de vilains voyeuristes ce qui cloche aussi chez les autres...

La vie de ces pauvres petites femmes riches australiennes est d'un ennui... abyssal !
Je les plains de tout coeur :-)

Un bon roman de détente qui se passe encore une fois dans un milieu petit bourgeois et essentiellement féminin, dans lequel chacun a un ou des secrets à cacher, chacun a son petit caractère et ses valises à traîner, chacun ses stéréotypes (c'est un peu ce que je reproche à cette auteure, c'est souvent de la peinture à gros traits, mais bon, le genre veut ça aussi).
Au final, c'est réussi, on n'a guère envie de lâcher le livre, l'écriture fluide, simple mais non maladroite aide à tourner les pages bien vite. Efficace roman de détente féminin.

Critique " à chaud"parce que : pas grand chose a ecrire et à retenir.
L'histoire se passe en Australie dans un quartier résidentiel très chic.En fin d'année, lors de la fête de l'école, quelqu'un a trouvé la mort en tombant d'un balcon.Qui est responsable ?.Liane Moriarty va remonter le temps pour nous présenter ce quartier chic au travers la vie quotidienne de 3 " copines" .Trois copines,je ne devrais pas écrire cela car trop vulgaire, disons 3 amies qui à leur réveil se creusent les méninges pour savoir à quoi leur journée va être occupée : si ce n'est se raconter tous les derniers petits potins de la résidence; beaucoup de clichés une histoire assez banale entre famille recomposée et décomposée , une femme battue ,une femme non pas violée mais abusée car sous l'emprise de l'alcool .En parlant d'alcool, lors de ces petites réunions j'ai remarqué que bien souvent le champagne coulait à flot ,ces " miss" boivent du champagne comme nous un verre d'eau ,en bref roman très détente à lire sur une plage l'été ,mais que je n'encenserai pas et que j'oublierai vite.⭐⭐

Autant j'avais aimé le secret du mari, autant j'ai failli abandonner à plusieurs reprises la lecture de ce livre.
Je me suis ennuyée, ça part dans tous les sens, c'est superficielle et je trouvais que certains passages étaient même hystériques. Seul le dernier quart du livre était un peu plus intéressant quand tous les secrets sont relevés.

Pour pouvoir changer d'avis sur ce livre, j'ai essayé de regarder la série télé issue de ce livre, mais je m'en suis vite lassée.

Pour ceux ou celles ayant déjà lu le secret du mari, on est exactement dans la même veine. Milieu assez bourgeois australien, trois femmes en personnages principales, beaucoup d'actions autour de l'école et des enfants, et surtout des secrets...
L'écriture est agréable, le récit est bien bâti, avec des chapitres courts qui permettent d'entretenir un rythme de lecture soutenu. Bref très bon bouquin pour occuper un trajet en train ou en avion ou un après-midi de pluie, mais pas non plus un inoubliable dans la série coup de coeur.

"Meurtre ou tragique accident ? À la fête de l'école, quelqu'un a trouvé la mort. Mais qui est vraiment responsable du drame ?
Trois femmes à la croisée des chemins, des ex-maris et leurs nouvelles épouses, des familles recomposées (ou décomposées), qui cachent tous ces redoutables petits mensonges que l'on se raconte à soi-même pour continuer de vivre…"

J'avais envie d'une lecture légère et distrayante et, en consultant ce résumé sur la 4eme de couverture, je n'ai pas hésité longtemps à emprunter ce livre à la bibliothèque. 

La construction de ce roman est assez originale : il débute en effet par la fin. Dès les premières pages, on apprend que quelqu'un est mort, sans savoir toutefois de qui il s'agit, ni les circonstances exactes du drame. Liliane Moriarty utilise un procédé d'intrigue habile, qui  laisse le lecteur dans l'attente de ce qu'il s'est réellement passé, grâce à un retour six mois avant les événements dès le 2ème chapitre.

Dans ce récit, la romancière donne une description très réaliste de la société actuelle et des vices humains. Elle y dépeint, dans ses bons et ses mauvais côtés, le quotidien de familles avec des enfants allant dans le même établissement scolaire, et en particulier celui de trois femmes qui vont nouer une amitié.
Chacun a ses secrets, plus ou moins graves et lourds à porter… que le lecteur va découvrir peu à peu. 

Les personnages sont bien campés, avec des caractères bien définis et des attitudes bien détaillées, ce qui les rend sympathiques et vraisemblables aux yeux du lecteur.

L'histoire est intelligemment mise en scène, entrecoupée par les réponses apportées par les témoins lors des interrogatoires de la police. Les chapitres sont ainsi rythmés et les pages se tournent avec facilité. Tout l'intérêt réside dans le fait que le lecteur essaie de démêler les indices et éléments distillés au fil des pages par l'auteure. On soupçonne vite que les apparences sont trompeuses et que des secrets bien cachés vont être révélés au grand jour....

En résumé, j'ai apprécié ce roman, qui n'est pas vraiment un polar mais en a l'efficacité, l'attrait, le rythme. Je l'ai trouvé distrayant et intrigant, sans être toutefois totalement prenant.

À la fête de l'école, quelqu'un a trouvé la mort ? Qui ? Pourquoi ?


On ne change rien au style de Liane Moriarty, des femmes mises en avant-première, des couples, des mensonges ... Oui, c'est cliché, c'est un livre d'été, mais quand on déjà lu des livres de cet auteur, on sait à quoi s'attendre.


Il faut trouver qui a tué qui pendant cette fête ? On remonte le temps ce qui m'a plut, on veut savoir qui a été tué même si on sent doute assez vite ... Mais aussi pourquoi ... Même si j'ai cru savoir ... C'est assez long et j'ai tourné les pages au début juste pour avoir mes réponses. le pourquoi est assez inattendu ... Cela ne m'était pas arrivé depuis un moment dans un livre, mais j'ai eu un coup de coeur pour Céleste ... Sinon je retiens de ce livre les dégâts d'une accusation non fondés, pas vérifiés et trop vite crus puis celle des rumeurs qui certes comme disait Jean Francois Revel : " Rumeur : le plus vieux média du monde", mais on oublie souvent à tout être humains, petits ou grands, qui en a, ou en subit ... Les conséquences sur leurs vies ...

Lecture recommandée par une amie, j'ai découvert cet auteur et ce roman au fil des pages et j'ai adoré !
Ambiance « Desperate Housewives » en Australie, on découvre lors du jour d'intégration des petits nouveaux à l'école maternelle les enfants et parents vivant dans cette petite ville si paradisiaque, près de la plage avec une école si parfaite, une maîtresse si attentive …
Petit à petit, on s'aperçoit que les apparences sont trompeuses puisqu'un meurtre a été commis. Liane Moriarty ne dévoile pas qui a été tué et c'est en apprenant à connaître ces couples que l'on comprend.
C'est une sorte de polar, plein de rebondissements, qui contient aussi des messages, des avertissements vis-à-vis du harcèlement scolaire, des difficultés vécues par les parents divorcés, la violence conjugale. « Ça peut arriver à n'importe qui »
Un bon moment de lecture.

Deuxième pioche dans ma PAL de 12/2017, je remercie Nadouch.
Cette lecture fût longue et laborieuse pour deux raisons.
La première : le style de narration utilisé. Il y a d'abord une partie de la fin qui nous est raconté, puis on revient plusieurs jours avant et à chaque fin de chapitre des personnages secondaires qui parlent de tout et de rien.
La seconde : le ressenti par rapport aux personnages, je ne me suis pas sentie proche ou attirée par aucun d'entre eux. Pire, ils m'ont énervé.
J'ai donc fini le dernier quart du livre en sautant des passages !
La fin de l'histoire rattrape un peu tout ces désagréments, mais ce n'est pas une auteure que je relirai. En plus ils en ont fait une série !