Je suis assez d'accord avec les questions que pose Chloé Morin par rapport à notre responsabilité individuelle et collective en lien avec ce que nous vivons, et que Boris Cyrulnik appelle plutôt une catastrophe qu'une crise.
La situation des hôpitaux et des EHPAD, la délocalisation de l'industrie, la situation des migrants, le désintérêt de la chose publique : tant d'éléments dont nous nous sommes tous désintéressés. Et après qu'en ferons-nous ?
Après avoir lu ce court texte, dans lequel Chloé Morin reconnaît sa part de responsabilité individuelle, j'ai cherché à savoir qui elle est. Elle a été "conseillère d'opinion" auprès de plusieurs premiers ministres. Je me demande si professionnellement elle n'a pas aussi participé à notre aveuglement collectif.
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