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Critique de JosephAlexianHeartfire
• « Arsène Lupin, tome 1 : le diadème de la princesse de Lamballe » de Takashi Morita, publié chez Kurokawa.
• J'ai commencer cette lecture à la suite du défi lecture de BD de Babelio d'Avril, cherchant une BD avec un personnage principal étant du mauvais côté de la loi, dans le but d'étendre ma "culture" BD.
• Je m'attaque aujourd'hui à un classique de la littérature française, semblant pourtant assez peu connu par les gens il y a encore quelques semaines, avec les aventures d'Arsène Lupin. Comme je suis en ce moment plutôt enclin à lire des bandes dessinées, je me suis porter sur une version différente des romans de Maurice Leblanc, avec son adaptation manga. C'est grâce à la récente série française adaptée des aventures du gentleman cambrioleur,diffusée par Netflix sur sa plateforme de vidéo en ligne, et à son énorme succès que l'oeuvre de Maurice Leblanc ressurgit au grand jour, amenant à de nouvelles éditions de ces livres.
• Pour ma part, j'ai connu Arsène Lupin il y a plusieurs années, dans mes années collèges. J'avais totalement accroché à l'histoire de ce cambrioleur charismatique, qui m'imposait comme une évidence étrange un certain respect, tant son éloquence et sa maitrise étaient incroyables. Je me rappel aussi, avec aujourd'hui beaucoup d'humour, que j'avais été choqué de découvrir l'un de ses adversaires en la personne de Herlock Sholmès, évidemment inspiré du célèbre personnage de Sherlock Holmes de Sir Arthur Conan Doyle. Cette apparition m'avait choquée car il me semblait à l'époque incroyable d'oser utiliser de façon aussi culotter un tel monument de la littérature sous couvert d'un nom légèrement déformé. Je sais depuis pour m'être renseigné le pourquoi du comment, et j'y repense avec un sourire en coin. En tout les cas, bien que j'ai peu eu l'occasion d'en lire les aventures, j'ai adoré le peu que j'ai pu en découvrir par le passé..
• Ce manga démarre son premier tome par une aventure de Arsène Lupin moins conventionnelle, l'histoire racontée ici étant celle écrite pour une pièce de théâtre, l'artiste derrière ce manga invoquant pour raison que c'était une bonne itération du gentleman pour résumé sa personnalité et son style. C'est une idée qui peut sembler saugrenue au départ, mais après l'avoir lue, je partage totalement cet avis.
• La mise en scène théâtrale se ressent énormément dans la mise en case de l'artiste. Même si au départ on ne s'en rend pas forcément compte, plus on avance dans la lecture en se souvenant de la préface de l'auteur, plus on y voit les similitudes avec ce genre de mise en scène. Personnages entrants et sortants, dialogues entres les personnages, le placement des différents protagonistes.. comme dans une pièce de théâtre, on a l'impression d'assister à un grand spectacle, mêlant mises en scènes pleines d'actions, coups de théâtre et vagues d'émotions diverses. Et oui, tout ce mélange grandiloquent résume totalement ce que j'ai pu retrouver dans une aventure d'Arsène Lupin et son anti-héro si unique.
• Tous les personnages de ce manga ont un certain charme. Ils sont tous utiles et servent le récit de part leurs remarques ou de part leurs actions. Les personnages qui se doivent d'être détestable le sont de la bonne façon, les personnages pour qui l'ont doit s'attacher sont parfait dans leur rôles également, les autres servant à installer l'intrigue et sa cohérence. J'ai beaucoup aimé Arsène Lupin et suivre son raisonnement, son cheminement de pensée si obtus, le narrateur lui donnant un passé destiné à nous attendrir et à nous faire comprendre le but de ses actions démesurées. le personnage de la bonne est intéressante mais légèrement trop naïve à mon goût. le commissaire est lui incroyablement charismatique, malgré son acharnement presque maladif à attraper le cambrioleur, l'amenant toujours à la perte de sa raison.
• L'histoire est très sympathique, pleines d'actions et de rebondissements en tout genres, jusqu'aux dernières cases de l'ouvrage. Un cocktail détonnant que l'ont suit avec avidité et qui nous fait nous questionner tout du long sur ce qui va bien pouvoir arriver dans les prochaines pages. Il y a tout de même quelques longueurs, quelques bémols également, notamment le côté trop nian-nian avec la femme de service qui parfois prendra trop le dessus sur le reste.. Et quelques-unes des explications seront également un peu trop tirées par les cheveux.
• le dessin est relativement attirant, avec un personnage principal aux traits de visages très fins et une silhouette affiné, qui contraste avec les autres personnages aux traits plus carrés ou ronds. le personnage principal reprend sur lui l'attrait qu'ont les japonais pour les visages masculins avec des similitudes de ceux des femmes, qu'ils trouvent d'une beauté exquise. J'ai repérer une scène légèrement plus étrange concernant un personnage féminin, avec une partie intime plus détaillées, détonnant en comparaison du reste si sage.. Mais cela reste plutôt subtil et ne se remarquera peut-être pas par la plupart des gens, tant les mangas en sont plus moins subtilement truffés.
• Un bon premier tome, qui perd en rythme dans sa moitié et qui offre un spectacle incroyable sur sa première et dernière partie. J'ai adoré assisté à ce jeu auquel se prête notre gentleman cambrioleur, et espère pouvoir en voir une suite au moins aussi bonne que ce premier essaie réussi.
• J'ai commencer cette lecture à la suite du défi lecture de BD de Babelio d'Avril, cherchant une BD avec un personnage principal étant du mauvais côté de la loi, dans le but d'étendre ma "culture" BD.
• Je m'attaque aujourd'hui à un classique de la littérature française, semblant pourtant assez peu connu par les gens il y a encore quelques semaines, avec les aventures d'Arsène Lupin. Comme je suis en ce moment plutôt enclin à lire des bandes dessinées, je me suis porter sur une version différente des romans de Maurice Leblanc, avec son adaptation manga. C'est grâce à la récente série française adaptée des aventures du gentleman cambrioleur,diffusée par Netflix sur sa plateforme de vidéo en ligne, et à son énorme succès que l'oeuvre de Maurice Leblanc ressurgit au grand jour, amenant à de nouvelles éditions de ces livres.
• Pour ma part, j'ai connu Arsène Lupin il y a plusieurs années, dans mes années collèges. J'avais totalement accroché à l'histoire de ce cambrioleur charismatique, qui m'imposait comme une évidence étrange un certain respect, tant son éloquence et sa maitrise étaient incroyables. Je me rappel aussi, avec aujourd'hui beaucoup d'humour, que j'avais été choqué de découvrir l'un de ses adversaires en la personne de Herlock Sholmès, évidemment inspiré du célèbre personnage de Sherlock Holmes de Sir Arthur Conan Doyle. Cette apparition m'avait choquée car il me semblait à l'époque incroyable d'oser utiliser de façon aussi culotter un tel monument de la littérature sous couvert d'un nom légèrement déformé. Je sais depuis pour m'être renseigné le pourquoi du comment, et j'y repense avec un sourire en coin. En tout les cas, bien que j'ai peu eu l'occasion d'en lire les aventures, j'ai adoré le peu que j'ai pu en découvrir par le passé..
• Ce manga démarre son premier tome par une aventure de Arsène Lupin moins conventionnelle, l'histoire racontée ici étant celle écrite pour une pièce de théâtre, l'artiste derrière ce manga invoquant pour raison que c'était une bonne itération du gentleman pour résumé sa personnalité et son style. C'est une idée qui peut sembler saugrenue au départ, mais après l'avoir lue, je partage totalement cet avis.
• La mise en scène théâtrale se ressent énormément dans la mise en case de l'artiste. Même si au départ on ne s'en rend pas forcément compte, plus on avance dans la lecture en se souvenant de la préface de l'auteur, plus on y voit les similitudes avec ce genre de mise en scène. Personnages entrants et sortants, dialogues entres les personnages, le placement des différents protagonistes.. comme dans une pièce de théâtre, on a l'impression d'assister à un grand spectacle, mêlant mises en scènes pleines d'actions, coups de théâtre et vagues d'émotions diverses. Et oui, tout ce mélange grandiloquent résume totalement ce que j'ai pu retrouver dans une aventure d'Arsène Lupin et son anti-héro si unique.
• Tous les personnages de ce manga ont un certain charme. Ils sont tous utiles et servent le récit de part leurs remarques ou de part leurs actions. Les personnages qui se doivent d'être détestable le sont de la bonne façon, les personnages pour qui l'ont doit s'attacher sont parfait dans leur rôles également, les autres servant à installer l'intrigue et sa cohérence. J'ai beaucoup aimé Arsène Lupin et suivre son raisonnement, son cheminement de pensée si obtus, le narrateur lui donnant un passé destiné à nous attendrir et à nous faire comprendre le but de ses actions démesurées. le personnage de la bonne est intéressante mais légèrement trop naïve à mon goût. le commissaire est lui incroyablement charismatique, malgré son acharnement presque maladif à attraper le cambrioleur, l'amenant toujours à la perte de sa raison.
• L'histoire est très sympathique, pleines d'actions et de rebondissements en tout genres, jusqu'aux dernières cases de l'ouvrage. Un cocktail détonnant que l'ont suit avec avidité et qui nous fait nous questionner tout du long sur ce qui va bien pouvoir arriver dans les prochaines pages. Il y a tout de même quelques longueurs, quelques bémols également, notamment le côté trop nian-nian avec la femme de service qui parfois prendra trop le dessus sur le reste.. Et quelques-unes des explications seront également un peu trop tirées par les cheveux.
• le dessin est relativement attirant, avec un personnage principal aux traits de visages très fins et une silhouette affiné, qui contraste avec les autres personnages aux traits plus carrés ou ronds. le personnage principal reprend sur lui l'attrait qu'ont les japonais pour les visages masculins avec des similitudes de ceux des femmes, qu'ils trouvent d'une beauté exquise. J'ai repérer une scène légèrement plus étrange concernant un personnage féminin, avec une partie intime plus détaillées, détonnant en comparaison du reste si sage.. Mais cela reste plutôt subtil et ne se remarquera peut-être pas par la plupart des gens, tant les mangas en sont plus moins subtilement truffés.
• Un bon premier tome, qui perd en rythme dans sa moitié et qui offre un spectacle incroyable sur sa première et dernière partie. J'ai adoré assisté à ce jeu auquel se prête notre gentleman cambrioleur, et espère pouvoir en voir une suite au moins aussi bonne que ce premier essaie réussi.
