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EAN : 9782364450851
352 pages
Pierre de Taillac (23/09/2016)
3.93/5   14 notes
Résumé :
Commando marine, Patrick Michel profite d'une période de remise en condition de son unité pour se ressourcer en Bretagne. Son cycle d'entrainement est brutalement interrompu lorsque son frère, capitaine de navire pétrolier opérant dans le golfe de Guinée, est kidnappé par des pirates nigérians. Ce kidnapping « ordinaire » dans cette région va bientôt se transformer, du fait de terribles interactions, en mission à haut risque. Inspirée par des faits réels, Mission Bu... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (13) Voir plus Ajouter une critique
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Au large du Nigeria, les plateformes pétrolières et leurs navires de soutien sont des cibles permanentes pour les autochtones persécutés par une dictature corrompue qui écrasa il y a un demi siècle la tentative d'indépendance du Biafra.
François Morissur y place l'intrigue de « mission Buthacus » et nous offre d'une part la procédure à suivre par toute entreprise victime d'un enlèvement au sein de son personnel en nous décrivant la prestation du consultant Mark Simpson et de son cabinet, et d'autre part nous dévoile le mode opératoire de notre marine et de ses commandos Penfentenyo, Montfort et Trépel.
Au Havre, aux cotés de l'armateur et de son équipe, à Lorient dans les coulisses de nos commandos marine, à Paris entre le Quai d'Orsay qui confond Niger et Nigéria, le MINDEF et l'Elysée, nous suivons heure par heure le calvaire enduré au Biafra par les otages (assassinat de l'un, tortures des autres) et le professionnalisme de nos états majors, aviateurs et commandos.
L'auteur, avec beaucoup d'émotion, nous fait partager les angoisses et les espoirs de femmes exceptionnelles, Usuevi jeune biafraise, et Marie, épouse d'un otage, et valorise les nombreux talents féminins de notre Royale.
Ce page turner se termine bien et une fois encore l'éditeur Pierre de Taillac nous offre un passionnant ouvrage (entaché par une erreur de titre au chapitre 18) qui par son authenticité apparait plus proche d'un reportage que d'une fiction. J'avais déjà apprécié chez ce jeune éditeur son « Clemenceau au front » et « la ville ultime champ de bataille », deux ouvrages de référence.
« Opération Buthacus » nous rappelle que si la majeure partie de la population vit en ville, la plus grande partie de la planète est maritime et que sans maitrise des mers, aucun état ne peut assurer la paix sur son territoire.
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Présenté comme un roman d'aventure, un « thriller », l'ouvrage de François Morizur est en fait la mise en récit d'une triple description, où l'auteur livre une expérience à la fois unique et diverse.
D'abord, l'industrie de l'extraction pétrolière au fond du golfe de Guinée. de Port-Gentil à Port-Harcourt, entre grands fonds et rivages, les compagnies majeures mettent en oeuvre des plateformes de forage et d'exploitation, via des sous-traitants spécialisés sur chacune des opérations. Au premier chef, le transport de toutes sortes d'organes, de sous-ensembles, de tubes de forage, de consommables et de personnels requiert des navires dédiés, aux mains d'armateurs et d'équipages spécialistes.
Escales, relèves, transits, opérations l'auteur montre la nature d'un métier très Hi-Tech, et le niveau requis d'état-majors et de marins qui communiquent dans le sabir de l'offshore, fait d'acronymes et de Pidgin English. Une dimension particulière est le risque né de l'instabilité sociale, tribale, frontalière, caractéristique des rivages du Nigeria et du Cameroun anglophone. le souci de sécurité face à la sauvagerie de bandes mi rebelles mi pirates, en mer comme à terre, impose des pratiques et des routines, des façons d'agir et de vivre très encadrées.
L'auteur décrit également le cadre, de la côte de Calabar aux pentes du mont Cameroun, la touffeur tropicale d'une des régions où il pleut le plus au monde, les villages de pêcheurs et les bases-vie, véritables isolats à l'écart du monde alentour. On sent combien le séjour en ces lieux a peu d'attraits.
L'auteur y montre d'abord une communauté de professionnels civils, marins à bord et à terre, confrontée à un acte de piraterie fortuite qui tourne au drame. La sociologie des équipages est faite de strates hiérarchiques et culturelles : matelots africains, maitres et techniciens d'Europe de l'est, états-majors occidentaux, surtout bretons pour les armements français ; ce sont des gens de mer partagés mois après mois entre leurs missions et leurs congés à la maison, deux mondes à tous égards aussi distants que le golfe de Bonny l'est de la baie de Douarnenez.
Les besoins de l'histoire le mènent à décrire également la vie misérable d'un groupe de pêcheurs, à terre et sur leurs pirogues Yamaha, et les moeurs cruelles d'une bande de sauvages armés comme l'actualité africaine en montre parfois, de guerres tribales en rébellions.
Le troisième groupe est celui des commandos marine, décrit sur deux études de cas. C'est très technique, là aussi. L'aspect documentaire est à peine coloré par des touches d'humanité chez les personnages, pourquoi pas ? le parti pris de l'auteur est de nous montrer une image idéale des capacités de nos forces spéciales en opération. L'occasion est rarement donnée au lecteur de côtoyer ces hommes in situ, et c'est très intéressant de découvrir comment eux-mêmes se voient dans l'appareil et la progression d'une action « nominale ».
Du Sahel à l'Asie Centrale, en passant par l'Océan Indien, on sait combien notre sort de nos jours peut dépendre de la qualité de ces hommes, de leur recrutement, de leur formation. Leur histoire a divergé de celle des fusiliers de notre Marine quand en Angleterre leur troupe s'est intégrée à la Special Service Brigade (ce qui leur vaut de porter encore le béret vert sur l'oreille droite, à l'inverse de l'usage chez nous), avant d'être les seuls Français à débarquer en Normandie le 6 juin 44.
Le livre de François Morizur nous les montre en pleine maîtrise de leur mode d'action, de leur matériel, de leurs liaisons, tels qu'ils s'identifient, au niveau de leur orgueil de soldats d'élite, de leurs efforts, de leur engagement, et des moyens qu'on leur donne. L'histoire est une mise en scène de ce beau portrait ; on aurait pu souhaiter un plus grand rôle à l'imprévu, on sait que souvent il faut y faire face dans la gestion de crise, et c'est là que leur vrai talent est attendu.
Un triple document donc, sur le métier de l'offshore pétrolier et ses hommes, sur l'histoire actuelle du fond du golfe de Guinée, toujours aussi douloureuse depuis les guerres tribales, la traite, la guerre du Biafra, après le passage des empires, anglais, allemand, français ; sur les commandos marine enfin, tels qu'eux-mêmes s'imaginent.
Un récit palpitant, bien écrit et prenant, un tableau pour captiver autant l'initié que le lecteur étranger à ces lieux, ces métiers et ces gens.

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Novembre 2011. Au creux du Golfe de Guinée, dans zone conflictuelle au large du Nigeria et du Cameroun, Yann effectue sa mission en tant que capitaine de l'Albatros. Entouré de navires de sécurité, il n'a pas de raisons de s'inquiéter outre-mesure : il sait que lorsqu'il aura rempli sa part du contrat, il pourra retourner en Bretagne, où sa femme l'attend, enceinte de quelques mois.

Tout près de là, sur la presqu'île de Bakassi (Cameroun), Bayo et Usuevie tentent de se relever de la tragédie qu'ils viennent de vivre. En effet, ce couple de pêcheurs vient de perdre leurs deux enfants atteints par la maladie. Ils sont au fond du gouffre comme on peut l'imaginer, épuisés et à sec puisqu'ils ont dépensé toutes leurs économies pour faire bénéficier leur fille et leur fils des meilleurs soins possibles. Après une période de dépression, Bayo tente de surmonter sa peine et sort en mer pour pêcher de quoi se nourrir. Malheureusement, les temps ont bien changé depuis son drame personnel : il n'a pas eu le temps de jeter son filet qu'il est vertement renvoyé vers son village par des militaires camerounais : désormais, la pêche et la circulation sont interdites à cet endroit, à cause des nombreux vols et actes de piraterie qui y ont été recensés dernièrement.

Décidément, le sort s'acharne sur Bayo et ses proches : s'il ne peut même plus pêcher... Il se résout alors à prendre une voie qu'il avait toujours eu à coeur d'éviter : celle de la piraterie. Accompagné de ses deux amis Obi et Onyinia, il se lance à l'assaut d'un bateau pris au hasard afin d'y dérober une partie de sa marchandise. En théorie, l'affaire ne doit prendre que quelques minutes, mais la réalité sera bien différente !

Les trois hommes ont à peine posé les pieds sur le pont de l'Albatros que les imprévus s'enchaînent. L'affaire tourne mal et, pour ne pas être pris à leur propre piège et capturés par les militaires postés près du bateau, ils prennent trois marins en otage : Yann, Piotr et Eric, trois marins qui n'ont pas froid aux yeux...

A des milliers de kilomètres de là, l'alerte est donnée : une cellule de gestion de kidnappings et autres conflits propres aux mers tumultueuses se met en route, conduite par Hervé, Pierre et Marc, des professionnels expérimentés. Mais, alors que la prise d'otage ressemble de plus en plus à l'acte de pauvres diables plus effrayés que réellement dangereux, et qu'on se dirige vers un dénouement à l'amiable, d'autres pirates entrent en jeu et entendent bien profiter de ce kidnapping improvisé et presque cocasse. Et ceux-là, ce ne sont pas des amateurs... Pour Yann, Piotr, Eric et Bayo, le cauchemar ne fait que commencer. L'histoire se complique brutalement, et à ce moment-là, parlementer ne suffit plus...


De son côté, le commando Patrick prépare ses hommes à une intervention d'envergure. Où et quand ? Peu importe, il faut être prêt à agir à chaque instant. La nouvelle de l'enlèvement de son frère Yann par des pirates lui fait l'effet d'un coup de poing, mais l'homme n'est pas du genre à garder les deux pieds dans le même sabot...


Voilà une lecture fort intéressante ! Passées les premières pages assez déroutantes tant elles contiennent de précisions techniques de lieux, de grades militaires et de matériel, on entre dans une histoire passionnante dont on veut absolument connaître l'issue. François Morizur a su maintenir une cadence soutenue en enchaînant des chapitres courts en alternant les "tableaux" : d'une part, le point de vue des otages nous est proposé, d'autre part, nous accompagnons la cellule de crise dans ses déplacements à l'aveuglette, plus ou moins inspirée par les informations dont elle dispose. A la fois précis, efficace mais sans fioritures, l'auteur nous fait entrer dans un univers inconnu de beaucoup de "civils", je pense, et qu'il arrive avec brio à nous rendre accessible. Et surtout, il nous offre un regard nouveau sur une zone géographique et une situation politique finalement peu médiatisées...

Lien : http://pulco-suivezlepapillo..
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Bonsoir et bienvenue pour une nouvelle chronique.
Votre serviteur est heureux de vous retrouver .
Aujourd'hui nous allons parler d'un ouvrage reçu dans le cadre de l'opération Masse Critique.
Votre serviteur tient à remercier içi les éditions Pierre de Taillac et Babelio.
Tout d'abord un mot sur l'objet livre en lui même .
Et deja un mauvais point : l'exemplaire est arrivé abîmé ...
Le coin enfonce, la couverture un peu abîmée...
Enfin bref ...
Fôrce est de constater que le papier n'est pas d'une qualite extraordinaire, que le format n'est guère pratique car assez encombrant ...
Pour un produit vendu en temps normal à un tarif si onéreux, c'est tres loin d'être satisfaisant ...
Venons en au texte lui meme ...

Qu'un ancien millitaire souhaite écrire un livre abordant ce sujet, pourquoi pas ?
Il y a des précédents de qualite dans ce style ..
Commençons par la qualite de l'histoire ...
Votre serviteur lisait ici meme ces jours ci un texte sur "Atlantis " de David Gibbins, texte qui en gros disait que l'histoire de ce livre etait mauvaise, incredible, ect ...
Votre serviteur encourage ce contributeur à lire ce present texte, pour avoir une idée de la maniere dont l'on détruit un postulat de base certes pas révolutionnaire, mais laissant augurer un résultat efficace ...
Pour votre serviteur, l'histoire de ce present texte s'avère tout simplement nulle ...
Pour prendre du plaisir à lire un livre, meme de genre, Il faut qu'il y ai un mînimum de travail sur l'histoire, que les personnages soient un mînimum élaborés, qu'il y ai un mînimum de structure narrative, pour que le lecteur puisse faire évoluer l'histoire dans son esprit, et içi, Il n'y a rien, mais rien de rien...
Les personnages sont affublés de prénoms grotesques, n'ont strictement aucune épaisseur, c'est un canevas de serie Z ici chers amis es ....
C'est tellement mauvais que l'on se croirait dans un scenario de Roger Corman, le pape de la serie Z à petit budget ...
Aucune tension du fâit du manque total de crédibilité de l'ensemble, on s'ennuie ferme...
Et l'on trouve meme un petit relent d'une ideologie très désagréable ...

Quand au "style " ...
OMG ... Votre serviteur n'a pas, et n'aura jamais la prétention de savoir écrire un roman, car cela demande quand même une certaine maîtrise dans le domaine de la structure de phrase, de la construction de chapitres, ect ...
En somme, l'on ne s'improvise pas ecrivain ...
Et au vu du niveau plus que moyen du style ici present, fôrce est de constater que l'auteur n'a pas du prendre beaucoup de leçons dans ce domaine ...
C'est plat, sans vie, pleins d'effets racoleurs....
Votre serviteur est sans doute passé au travers de ce livre, car quand l'on voit les autres chroniques içi présentes, l'on ne peut que se demander comment un livre aussi mauvais,raté , peut obtenir une moyenne pareille ...
En somme, il est triste que le 0 ne soit pas mis à la disposition des contributeurs içi, car ce livre l'aurait plus que merite ....
Portez vous bien et lisez des livres !
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J'ai mis un moment avant de me décider à écrire mon avis sur ce livre, ainsi que sur un autre du même auteur (ma chronique sera publiée demain). Je ne dirais pas que l'histoire en elle-même manque d'intérêt, ni que le rythme n'est pas présent. Je pense que ce qui a eu le don de me bloquer lors de mes lectures, ce fut malheureusement la plume de l'auteur. Attention que je ne dis pas que ce n'est pas bien écrit, sachant le travail qu'il y a derrière chaque livre, c'est bien une chose que je ne me permettrais pas de dire, mais comme pour tout les genres littéraires, on accroche ou pas à un roman ou à la plume qui se trouve derrière celui-ci. Malheureusement, ce n'est pas mon cas ici, malgré tout, j'ai laissé une chance à l'auteur de me convaincre avec le suivant, ce qui ne fut pas plus accrocheur de mon côté.

Si vous me suivez depuis un moment, vous savez que même si je n'adhère pas à une de mes lectures, je vais malgré tout tenté d'en sortir les points positifs, je ne suis pas du genre à vouloir descendre un livre, ni à dire que parce que moi je n'ai pas aimé, vous ne devez pas le lire ! Chaque lecteur est différent, nous pouvons aimer les mêmes genres de livres, mais avoir des ressentis totalement différents. Un livre qui ne m'a pas embarqué, le fera peut-être avec un autre lecteur, tout comme l'inverse est possible également. Alors, honnêtement, je ne comprends toujours pas pourquoi certaines blogueuses se permettent de dire que untel ou untel livre ne doit pas être lu, ou qu'elles ne conseillent pas de le lire en tout cas. Des livres auxquels je n'ai pas adhéré, je ne me permettrais franchement pas de ne pas les conseiller, pourquoi le ferais-je ? Je suis ici pour donner mon ressenti personnel (et j'insiste bien sur le côté personnel) sur une lecture, pas pour vous dire de ne pas acheter ce livre ou un autre. Après avoir lu mes avis, vous êtes totalement libres de vos choix, c'est vous qui prenez la décision de vous laisser tenter ou pas par un livre après tout.

Ce qui m'a posé problème, du moins c'est ce point qui m'a le plus freinée, c'est que j'avais plus l'impression de me retrouver dans un reportage que dans un véritable récit. Je m'explique. Lorsque je regarde des reportages, ou des documentaires, il y a ce côté très impersonnel qui nous éloigne du sujet, tout en nous faisant participer (même de loin) à ce que nous regardons. Il peut s'agir de la vie animale, comme de l'univers, ou encore de la vie réelle de certains quartiers par exemple, l'effet (sur moi) est le même à chaque fois. Je vois, mais ne me sens pas spécialement concernée, ni touchée comme je peux parfois l'être par un livre ou un film. C'est cela que j'ai ressenti ici durant ma lecture. Cet effet de ne pas me sentir, même un minimum, proche d'au moins un personnage, de me sentir presque indifférente à ce qui se déroulait sous mes yeux alors que je parcourais les chapitres.

Pas faute d'avoir un récit où le rythme est bon, ni même une intrigue qui me paraissait totalement cohérente. de plus, l'auteur est quand même connaisseur dans ce domaine, j'aurais dû, du moins je le pense réellement, ressentir ce côté de l'auteur qui sait de quoi il parle. Comme je le dis plus haut, il s'agit de mon ressenti lors de ma lecture, à aucun moment je ne vous dis de ne pas vous laisser tenter, que du contraire, je pense sincèrement que cette intrigue mérite d'avoir son lectorat. Je ne ferme pas la porte non plus, je sais que je le relirai un de ces jours, je veux voir si à un autre moment de ma vie je peux accrocher plus que ce fut le cas cette fois.

Donc, franchement, si vous êtes amateurs de thrillers, ne fermez surtout pas la porte à ce livre. Je prendrai le temps de le lire à nouveau pour ma part.
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Citations et extraits (2) Ajouter une citation
A l’instar de toutes les installations pétrolières au Nigeria, un navire de sécurité était chargé d’assurer la dissuasion, la surveillance et l’intervention à l’encontre d’éventuels pirates. Ce phénomène avait pris ici une ampleur considérable depuis quelques années au point de concurrencer le bassin somalien qui, cependant, faisait toujours la une des journaux et magazines.
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Bayo n’avait pas peur. Il était tourmenté par une seule chose : il allait faire quelque chose de malhonnête. Il cherchait toutes les raisons possibles pour excuser son forfait. Obi, lui, avait dit plusieurs fois que les marins ne s’apercevraient de leur présence. Il suffisait d’accoster le navire pendant la nuit, d’ouvrir un conteneur, de se servir, puis de repartir aussitôt. Ils resteraient à peine cinq minutes sur le pont.
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