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Marie-Lise Hieaux-Heitzmann (Traducteur)
EAN : 9782253052487
407 pages
Le Livre de Poche (01/02/1990)
3.87/5   35 notes
Résumé :
On l'appelle “l'homme aux yeux tristes''. Son nom : Edward Francis Eliot. Sa fonction : chef du contre-espionnage, CIA. Son rôle : former des jeunes gens à l'art de tuer. En faire de super-assassins. Béret vert et corde à piano. Radio-piège et close-combat. Un arsenal d'une très haute technicité.

De cette école, Saul et Chris, orphelins que l'infortune a unis comme frères de sang, deviennent rapidement l'élite, as parmi les as. Pour eux, Eliot est mi... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (5) Ajouter une critique
David Morell est devenu célèbre parce qu'un de ses romans, "First Blood", a été porté à l'écran avec Sylvester Stallone dans le rôle principal : Rambo. le film n'était pas mal, un bon film d'action avec pour arrière fond la condition faite par la société américaine aux anciens combattants du Viet-Nam. du coup, j'avais tenté ce roman d'espionnage, que je me souviens avoir trouvé pas mal sur le moment, sans qu'il ne m'en reste quoique ce soit aujourd'hui.
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Lire un thriller d'espionnage écrit dans les années 80 alors qu'on est au 21e siècle, c'est toujours un peu déroutant au début. Pas de téléphone portable, pas d'internet, pas de géolocalisation... C'est déroutant mais aussi rafraîchissant par certains côtés parce que l'intrigue peut rester "simple" et l'on peut rester plusieurs pages en compagnie d'un homme caché à quelques pas d'une propriété sans être dérangés par des snipers équipés de caméras infra-rouge et de capteurs thermiques hyper perfectionnés. Bref, les espions doivent faire jouer leur matière grise à défaut de faire chauffer la toile.

Avec la Fraternité de la Rose, David Morrell nous balade encore une fois du côté sombre de l'Amérique; dans les tréfonds secrets des stratégies mises en place pour s'allier de bons petits espions à la solde de l'Etat. Comme d'habitude, ses héros sont des hommes qu'on aime détester ou qu'on déteste aimer. Avec David Morrell, pas de quartier. Ca va vite, c'est course poursuite et compagnie, il y a des morts, du sang, des bombes, de la machination... Et on adore cela.
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David Morrell, dans cette Fraternité de la Rose, nous emmène visiter l'envers (ou plutôt l' enfer) du décor: celui où grenouillent les assassins au service d'un gouvernement aussi paranoïaque que cynique... Celui qui missionne un mentor aussi séduisant qu'impitoyable.
David Morrell possède la "manière" du thriller, et tient le lecteur dans un état aussi révulsé que captivé.
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Il y a cette citation en exergue :
"Enseignez-leur la politique et la guerre afin que leurs fils puissent étudier la médecine et les mathématiques. Ainsi pourront-ils donner à leurs enfants le droit d'étudier la peinture, la poésie, la musique et l'architecture."
John Adams (deuxième président des USA) ;
et après c'est un roman d'espionnage pas si retors que ça, lorgnant plus au total vers Ian Fleming que vers John le Carré. Il y a tout de même des velléités de se hisser au niveau le plus respecté du genre par des points de contact avec la grande Histoire (l'affaire Kim Phillby, un complot originel ourdi dans les coulisses des accords de Munich en 1938, etc.), ainsi qu'une théorie séduisante, il faut bien le dire, pour expliquer pourquoi toutes ces histoires de renseignements, vraies ou avérées, et aussi passionnantes soient-elles, me semblent obstinément s'annuler les unes les autres et constituer au final une agitation parfaitement vaine... Ça se laisse lire, il faut bien le dire, mais les faiblesses se voient quand même gros comme le nez au milieu de la figure. Je crois qu'à l'avenir je préférerais les vrais maîtres du genre à un nouveau David Morell.
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J'ai adoré
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Vidéo de David Morrell
Rambo I First Blood (1982), Réalisation : Ted Kotcheff Trailer
Dans la catégorie : Textes diversVoir plus
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