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Lucky Luke tome 4 sur 41
EAN : 9782884710251
48 pages
Lucky Luke (07/03/2002)
3.73/5   344 notes
Résumé :
Lucky Luke apprend la visite de Jessie James et sa bande aux habitants de Nothing Gulch. Cependant ces derniers craignent les bandits et ne veulent pas les contrarier.
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Critiques, Analyses et Avis (14) Voir plus Ajouter une critique
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Voici donc Jesse James, un voleur qui se veut animé de bons sentiments puisqu'il s'inspire de Robin des Bois pour justifier ses méfaits.
Évidemment, Lucky Luke va s'en meler, ce qui n'ira pas sans mal, car quand on n'a pas le soutien de la communauté et de la justice, cela peut s'avérer difficile...
Un épisode sympathique, qui fait des clins d'oeil à Hergé, et ses Dupont- Dupond , avec le duo de détectives Smith et Jones...Shakespeare est aussi de la partie, car le frère de Jesse, Frank est un inconditionnel du dramaturge et n'a de cesse de la prouver....
On découvre aussi un Jolly Jumper qui commence à avoir des trains de caractère de plus en plus humain....

3.5/5 en réalité
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Un bon cru, avec un Lucky Luke qui a encore le droit de fumer, un Jolly Jumper toujours plus malin et quelques idées géniales.
On a par exemple des citations loufoques (mais réelles) de Shakespeare tout au long de l'histoire comme par exemple :

- "Oui, oui." (Richard III, Acte I Scène IV)
-" Bonne nuit" (Othello, Acte II, Scène III)
-"Ah, ah, ah !" (Othello, Acte IV, Scène I)
- "Bon" (Othello, Acte II, Scène I)

Un petit clin d'oeil aux Dupont / Dupond avec les Smith.

Tout est donc fait pour l'humour.
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Il y a des tas d'incompréhension dans ma vie et on peut d'or et déjà ajouter le début de cet album où les auteurs nous exposent, en détail, toutes les qualités de Lucky Luke et de Jolly Jumper…

Qu'ils les ajoutent sur la page de garde, comme pour Astérix, ce serait bien pour ceux qui découvriraient la série sans la connaître, mais nous balancer deux pages de ce genre d'intro, je n'en vois pas la raison, si ce n'est que pour meubler.

Autant où les personnages de Billy The Kid, de Calamity Jane ou des Dalton, les vrais ou les cousins, étaient des portraits réussis, autant où celui de Jesse James est mince et ne provoque aucune empathie.

Monsieur voulait jouer à Robin des Bois, voler les pauvres pour donner aux riches, mais dès qu'il donnait l'argent au pauvre, celui-ci devenait riche et donc, Jesse James le braquait à son tour.

De toute façon, la réalité historique est que Jesse James était un voleur, point barre et la légende qui dit qu'il aurait donné de l'argent à une femme pour qu'elle sauve sa ferme de la banque, revolant ensuite cet argent au banquier, est fausse.

Il y avait du potentiel dans ce desperado et son frère qui nous cite Shakespeare à tous ses dialogues, même s'il ne dit que oui ou non. Il y avait du potentiel dans leur cousin, un gros balourd au cerveau léger. Mais on a loupé tout ça et le résultat donne un album mitigé où rien n'arrive à décoller vraiment.

Jesse James et sa bande vont jouer aux honnêtes gens comme le firent une fois les Dalton, mais en moins drôle, les gens de cette petite ville du Texas sont des couards, comme toujours, comme ceux de la ville où sévissait Billy The Kid, mais eux aussi en moins drôle et, comme tous les autres, ils auront un regain de fierté et trouveront leur courage, planqué aux fonds de leurs bottes.

Un album de Lucky Luke qui n'est guère brillant, où le potentiel de Jesse James est galvaudé et où les auteurs donnent l'impression de meubler des pages juste pour dire qu'ils ont rempli le quota nécessaire pour faire un album.

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Voici Lucky Luke aux prises avec une des légendes des États-Unis d'après la guerre de sécession.
Bien sûr, René Goscinny repeint allègrement le portrait de ce hors-la-loi magnifié par la légende... le résultat offre un récit drôle et enlevé, qui donne envie au lecteur de connaître la véritable histoire de Jesse James.
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C'est dingue la façon dont on peut oublier certaines choses alors qu'on les a lues et relues pendant des années... Il y a quelques temps, j'aurai été tentée de dire que je connaissais les Lucky Luke par coeur mais je me rends bien compte aujourd'hui que je suis loin du compte ! C'est histoire ont eu beau bercer une partie de mon enfance, j'ai l'impression de les découvrir aujourd'hui...

J'aime beaucoup l'esprit de Robin des Bois, alors, je comprends la fascination de Jesse James pour ce bandit hors du commun. Cela dit, je trouve toujours assez déroutant la façon dont les choses peuvent être détournées pour amener à des objectifs tout autres.... Jesse James n'a pourtant pas l'air d'un idiot mais il donne parfois l'impression d'être manipulé par son grand frère Franck.
Dans cette bande-dessinée, j'aime beaucoup les habitants du village de Nothing Gulch qui passent un peu par toutes les émotions. Je suis impressionnée par la façon dont ils "rattrapent" leur lâcheté.

Comme toujours, je suis également sensible aux petites touches d'humour que l'on retrouve par-ci, par-là et notamment à l'ironie. Certains passages m'ont vraiment amusée.
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Citations et extraits (8) Voir plus Ajouter une citation
Cet homme aux prétentions intellectuelles, c'est Franck James, le frère aîné de Jesse. Alors que Jesse lisait et relisait Robin Des Bois, Franck se passionnait pour l'œuvre de Shakespeare dont les citations émaillaient sa conversation.

FRANCK JAMES : Eh ! C'était lui (Richard III, Acte I, Scène III) voilà qui est parfait ! (Roméo Et Juliette, Acte II, Scène IV) Et : c'est bien ! (Hamlet, Acte IV, Scène III)
[...]
Bon ! (Othello, Acte II, Scène I)
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Le "Hourrah" était une tactique utilisée par Jesse James et sa bande qui consistait a faire une véritable Fantasia dans une ville afin de terroriser la population.
Tout le monde rentrait chez soi et les bandits pouvaient travailler tranquilles.
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[Frank James] Tu me donneras l'argent à moi qui suis pauvre et je te le rendrai à toi qui le sera devenu... Ainsi, tout le temps le riche donnera au pauvre, et ça ne sortira pas de la famille!"
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- Je suis le seul riche ! je ne veux pas vivre dans ce patelin de pauvres ! De nos jours, quand on est riche, il faut changer de quartier !
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- Excusez-moi, mais j'ai un train en panne devant ce saloon. Pourriez-vous me donner un coup de main pour le remettre sur la bonne voie ?
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