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Klaus tome 1 sur 2
EAN : 9782344024751
224 pages
Glénat Comics (07/11/2018)
4.18/5   58 notes
Résumé :
Dans un monde médiéval fantastique, un trappeur itinérant du nom de Klaus entre dans l’enceinte de Grimsvig. Mais la ville a bien changé depuis sa dernière visite... Celle qui respirait la joie de vivre est désormais dirigée d’une main de fer par le tyran Magnus, qui a enrôlé de force tous les hommes valides pour travailler aux mines de charbons de la région. Et ce n’est pas tout, ses soldats sèment la terreur, interdisant la cérémonie du solstice d’hiver et sa trad... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (20) Voir plus Ajouter une critique
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Ce tome contient une histoire complète indépendante de toute autre. Il comprend les épisodes 1 à 7, initialement parus en 2015/2016, écrits par Grant Morrison, dessinés et mis en couleurs par Dan Mora. Il comprend les couvertures originales de Dan Mora, ainsi que les couvertures variantes réalisées par Felipe Smith, Frazer Irving (extraordinaire), Chris Burnham, Cully Hamner, Vanesa R. del Rey, David Rubín. Les mêmes auteurs ont depuis réalisé d'autres aventures du personnage.

Il était une fois un pays enneigé, où un trappeur tirait son traîneau dans les bois en se dirigeant vers la ville de Grimsvig. Klaus se présente aux portes de la ville, où les 2 gardes en faction acceptent de le laisser rentrer dans l'enceinte, tout en lui indiquant qu'ils vont inspecter le contenu de son traîneau ultérieurement. Il se rend à la taverne pour demander une bière. Il s'enquiert auprès du tavernier de la raison pour laquelle les habitants ne respectent pas la trêve habituelle de la fête de Yule. Ce dernier lui répond que les hommes sont au travail à la mine parce que la ville a besoin de charbon. Les gardes arrivent sur ces entrefaites et indiquent à Klaus qu'ils ont inspecté son chargement. Ils lui apprennent qu'ils confisquent ses peaux de bête et qu'il est prié de quitter la ville. Pendant la discussion, un garde observe un enfant en train de jouer avec une pierre. Il lui rappelle que c'est interdit et lui porte un coup parce que le gamin ne déguerpit pas assez vite. Klaus se précipite pour protéger l'enfant ; il se fait ruer de coups par les gardes. Ils le conduisent avec les mains liées dans le dos aux portes de la ville, sans son chargement, sans son manteau.

Klaus avance vers le bois en marchant dans la neige. Il s'assoit à côté d'un rocher coupant et commence à y frotter les cordes qui attachent ses poignets. Un des gardes décoche une flèche depuis les remparts, qui vient se ficher dans l'épaule gauche de Klaus. Un groupe d'une demi-douzaine de soldats avancent sur Klaus qui est protégé in extremis par une énorme louve blanche surgissant de nulle part. Elle ronge ensuite les liens de Klaus, et le libère. Dans l'intérieur du château de Grimsvig, le baron Magnus se dirige vers la chambre de son fils Jonas. Ce dernier est en train de détruire un magnifique village miniature estimant que ces jeux sont sans aucun intérêt. Son père lui indique qu'il doit venir à table pour manger avec sa mère Dame Dagmar. Devant un repas de luxe, Jonas se plaint de ses jouets, Magnus explique ses difficultés avec l'intrus, Dagmar répond qu'il aurait pu le garder pour le faire travailler dans les mines. Pendant ce temps-là, uniquement armé d'un couteau, Klaus est en train de livrer un combat à main nue, contre un magnifique cerf, avec l'aide de Lilli.

En découvrant ce projet, le lecteur se dit qu'il y a plus de raisons pour qu'il passe son chemin, plutôt que d'en tenter la lecture. Pour commencer, Grant Morrison est un auteur cérébral et ambitieux, et il n'est pas sûr que le père noël soit un sujet adéquat. Ensuite, le principe même de la jeunesse du père noël semble aussi intrigante que celle d'une cafetière. Enfin, l'éditeur Boom Studios est spécialisé dans les récits tout public, avec de temps à autre des récits adultes, et l'enfance de ce Klaus ne semble intéressante ni dans une approche, ni dans l'autre. de séquence en séquence, le lecteur se rend compte que Grant Morrison a adopté une écriture tout public, à la fois pour la linéarité de l'intrigue, pour la simplicité des situations et des personnages, pour des dialogues accessibles à tous. Ensuite, le titre indique bien qu'il ne s'agit pas de l'histoire du père noël, mais de celle de Klaus, comme dans Santa Claus, c'est-à-dire l'appellation anglaise de Saint Nicolas. En fait, il ne s'agit pas du tout de l'histoire d'un saint de l'Église, mais beaucoup plus de celui d'un individu qui distribue des cadeaux à Noël, en les déposant par la cheminée.

À bien y regarder, Grant Morrison sait adroitement louvoyer entre les écueils liés à la religion. L'histoire ne se passe pas à Noël, mais à l'occasion de la fête de Yule, c'est-à-dire une fête du solstice d'hiver occidentale préchrétienne. En fait, l'histoire se déroule dans une époque évoquant le bas moyen-âge, et il y a bien une église au sein de l'enceinte de la ville de Grimsvig. le prêtre apparaît le temps de 2 pages dans l'épisode 3 et il est question de la cloche de l'église. Pour le reste, Klaus n'est aucunement lié à la religion catholique, le scénariste utilisant une croyance païenne, en tant que ressort narratif, sans aucune conviction spirituelle. du coup, le lecteur a l'impression de découvrir un nouveau personnage, plutôt que les origines secrètes du père noël. Bien sûr, il observe comment Klaus en arrive à distribuer des jouets par la cheminée, mais sans cette image de vieux barbu débonnaire, sans consumérisme, sans bons sentiments dégoulinant de mièvrerie. Enfin, l'auteur se contente de raconter un bon récit d'aventures, avec de l'action spectaculaire, un héros avec des valeurs morales, et un soupçon de merveilleux, soit une bonne histoire de Noël. En plus, il bénéficie d'un excellent dessinateur.

Dès la première page, Dan Mora emmène le lecteur dans les environs de cette ville sous la neige. Il voit progresser Klaus venant vers lui en marchant dans la neige, dans des cases de la largeur de la page. L'artiste dessine dans un registre descriptif et réaliste, et il utilise toute la largeur des cases pour intégrer des informations visuelles, ne se contentant pas d'une silhouette au centre de la case avançant dans le banc de la neige. Il réalise également la mise en couleurs de manière naturaliste, avec des légères variations dans les nuances d'une même teinte pour accentuer le relief de chaque surface. Il utilise les effets spéciaux de l'infographie avec parcimonie, uniquement pour la manifestation ponctuelle d'éléments surnaturels. Comme le montre la couverture, Mora a choisi une esthétique rappelant les superhéros ou Conan pour représenter Klaus : gros muscles, une épée très longue, des scènes de combats évoquant celles de superhéros dans leur dynamisme et la posture de Klaus. Ce dernier semble insensible au froid, portant des vêtements à manche courte, et ne semblant pas ressentir la morsure de la glace même quand il y est allongé et maintenu sur le dos. Il n'hésite pas à se lancer dans les affrontements physiques, à main nue. Mora et Morrison ironisent même de manière explicite sur le poids important d'une épée que le baron Magnus n'arrive à soulever et à manier faute d'assez de muscles.

Dan Mora représente les autres personnages avec plus de retenue, que ce soit les soldats, ou les civils. Il accentue un peu l'allure sinistre du baron Magnus, l'allure pure de Dame Dagmar, l'allure dépressive et colérique de Jonas, ou encore l'allure innocente des enfants de la ville. Il privilégie une direction d'acteur naturaliste, avec uniquement des gestes plus vifs pendant les scènes d'action. La progression initiale de Klaus dans la neige constitue un bon indicateur de l'implication de l'artiste. Tout du long des 7 épisodes, il s'investit de manière patente pour donner à voir Grimsvig et les différents environnements. Lorsque Klaus passe les portes de la ville, le lecteur peut admirer la grand-rue dans un dessin en double page, avec son pavage, ses façades de maison, les toits enneigés, les enseignes en bois, les fanions et les armoiries. Il peut ensuite admirer le gigantisme des pièces du château, et leur froideur. Mora ne s'attache pas à concevoir une architecture intérieure cohérente et rigoureuse, mais plutôt à transcrire l'impression qu'elle produit sur ses habitants. Lors de la présentation de la première fournée de jouets, le lecteur peut les observer un à un et voir qu'ils sont tous différents. Par la suite, il a l'occasion à plusieurs reprises d'admirer les toits de la ville, à nouveau avec des tuiles bien visibles et bien distinctes. Il est émerveillé par la dimension spectaculaire des acrobaties de Klaus pour passer de toit en toit. Il est subjugué par la beauté de l'apparition de la première fournée de jouets. Il reste béat lors de la première apparition du traîneau, et devant les suivantes également.

Dan Mora donne à voir dans le détail les environnements et les personnages, avec un sens du spectacle épatant, et un sens du merveilleux réjouissant. le lecteur est donc conquis par la viabilité du récit dès le premier épisode, et ravit de ces aventures. Pour son intrigue, Grant Morrison oppose donc le preux Klaus au baron Magnus qui opprime son peuple pour son intérêt personnel. Au fil des séquences, le scénariste introduit de manière organique les éléments attendus, les jouets, leur distribution par la cheminée, le traîneau. Il déroule son intrigue en révélant d'où le baron tire sa puissance, et l'histoire personnelle de Klaus dans cette ville de Grimsvig. Il est question de cette période de l'année qui devrait être propice aux réjouissances (l'esprit de Noël, même s'il n'est pas nommé), ainsi qu'aux cadeaux pour les enfants. le lecteur retrouve des thèmes très classiques comme l'oppression du peuple, la soif de puissance, l'égocentrisme, le courage, l'entraide. Il note les petits détails qui font que le récit est vraiment tout public, c'est-à-dire qu'il s'adresse aussi aux adultes : le travail dans la mine, la gouvernance déconnectée du peuple, le gavage des enfants, un écartèlement, tout en comprenant bien qu'il est dans un conte ce qui explique que les conséquences ne virent pas au gore ou au sadisme, et que la Famille Brillante derrière les lumières nordiques est un dispositif narratif bien pratique. Il prend petit à petit conscience que le thème principal est la défense de l'enfance, thème filé de manière adroite et élégante.

A priori, ce projet des origines du père noël a plus de quoi faire fuir pour son caractère artificiel, que d'attirer le lecteur, même le fan de Grant Morrison. À la lecture, il se trouve qu'il s'agit d'une bande dessinée bénéficiant d'un artiste sachant raconter les hauts faits de Klaus en pleine force de l'âge, avec une ville médiévale bien décrite, et des séquences spectaculaires, sans tomber dans la moquerie. Grant Morrison a décidé d'écrire une aventure au premier degré, sans intellectualisation, mais sans niaiserie, très divertissante pour elle-même, où il règne un esprit de noël de bon aloi, sans mièvrerie.
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Klaus est une réinterprétation totalement réussie de la bonne figure barbue du père Noël.
Dans une cité dirigée par un tyran, la population n'a que peu d'occasions de se réjouir, jusqu'à ce qu'un mystérieux étranger débarque et change les choses...
Selon moi, l'idée de base de cette BD est à la fois très intéressante et difficile à traiter. Quand on parle de mythes extrêmement répandus dans nos sociétés occidentales, les réarranger à sa sauce peut parfois produire de drôles de résultats.
Il en résulte ici un comics magnifique, touchant, et qui a des choses à dire. Tout ce qui tourne autour de Noël est évoqué, la joie, le partage, la famille, à travers une grande aventure épique. Les personnages sont nuancés, même si il demeure un certain manichéisme obligatoire en raison de la teneur de l'histoire. Klaus en particulier, que j'ai trouvé très bien écrit, malgré ses petites différences avec le vrai père Noël (à part si le barbu est devenu un dur à cuire qui aime distribuer des mandales aux démons voulant dévorer les enfants).
Le scénario est simple, mais avec plusieurs ramifications, et bénéficie d'une écriture soignée de la part du scénariste. Ce n'est pas vraiment enfantin, et le sang coule, il s'agit d'un conte de Noël sombre. Quand aux dessins, ils sont tout simplement splendides, c'est du bel ouvrage.
Pour prolonger un peu l'esprit de Noël, je conseille de se jeter sur cette belle bande dessinée (et on en a pour son argent, avec plus de deux cent pages).
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A travers un scénario original aux multiples influences, les auteurs nous proposent de redécouvrir la figure légendaire de Santa Klaus. C'est une belle réussite.

Remontons aux origines... Et si le Père Noël n'avait pas toujours été ce personnages ventripotent à la longue barbe blanche, à la voix joviale, tout vêtu de blanc et rouge ? Et s'il était un super-héros musclé, aussi beau-gosse et badass qu'attendrissant et généreux ?

Ce récit, aux allures de conte, prend place dans les contrées glacées du Nord. La ville de Grimsvig est sous l'influence maléfique de Magnus, qui défend à quiconque de célébrer Yule. La joie a déserté les rues, tout n'est que privation et tristesse. Les hommes sont contraints de travailler jusqu'à épuisement à la mine, les femmes et les enfants attendent leur retour en mourant de faim. Cette histoire a tout d'un Dickens. Jusqu'au jour où, non loin de là, Klaus, personnage solitaire et mystérieux, accompagné de sa loyale Lilli, va prendre conscience du désespoir qui règne dans la ville. En noble défenseur des opprimés, et en guerrier de l'ombre, il va essayer d'insuffler à nouveau la joie et l'espoir dans les coeurs, grâce à une magie ancestrale.

Les auteurs, nous offrent leur version très personnelle du mythe, et reviennent même sur tous les symboles qui l'entourent. Pourquoi le blanc et le rouge, pourquoi les cadeaux, pourquoi cet aspect solitaire.. et bien d'autres. Les explications données sont non seulement recherchées, mais peuvent totalement s'ancrer dans la légende.

Ce comics, oui car il s'agit quand même d'un comics, (le côté bourrin inséré par touche, le coup de crayon quelques fois moins soigné et la colorisation , nous le rappellent très bien) développe de multiples aspects. le monde médiéval de la cité rappelle la Fantasy, tandis qu'à l'extérieur de la ville, on se croirait plutôt dans le grand nord, et d'ailleurs, certaines scènes rappellent les transes chamaniques des Amérindiens. le paganisme nordique est bien présent, non seulement dans le visuel (symboles runiques dessinés par Klaus) mais aussi dans le scénario. En effet, le solstice de Yule est à l'origine de la fête chrétienne Noël. Preuve qu'une imagination débordante peut aussi cohabiter avec la véracité historique. Malgré le côté brut de décoffrage de Klaus, cette histoire est romanesque et emplie de poésie. La fin est très belle, et ce premier tome se suffit à lui-même. Cette première lecture de 2019 est une belle découverte.
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Klaus, un trappeur, arrive dans la ville de Grimsvig vendre ses prises.
Mais les lieux ont bien changé depuis sa dernière visite, le baron a durci les lois et toute joie est réprimée.

Inadmissible, surtout en cette période de Yule. Klaus va donc prendre le parti du peuple et se faire un devoir de répandre à nouveau la joie dans les foyers car son passé est lié à cet endroit mais pas seulement... Pour la population il devient alors "le santa".

Plus vraiment friand de comics, j'ai néanmoins été attiré par celui-ci, avec son résumé alléchant et sa couverture qui claque.
Bien m'en a pris, ces origines du père noël revisitées à la sauce fantasy se lisent d'une traite. Aucun temps mort, on accroche de suite, on a envie de savoir qui est vraiment Klaus et comment il va mettre un terme aux agissements du baron.
Graphiquement parlant, même constat, c'est prenant grâce à un découpage très dynamique et des dessins taillés à coups de serpe. Les couleurs ne sont pas trop prononcées, juste ce qu'il faut, dans le ton.

Une très bonne lecture découverte au pied du sapin, c'était de circonstance.
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Un comics sur les origines du Père Noël. Admettons. Mais maintenant imaginez que ce n'est pas du grand-père ventripotent de chez Coca-Cola dont on va vous parler, mais bien des origines du Santa Klaus. de la version Grant Morrison. D'un homme des bois. Un trappeur. Un solitaire. Un mec bad-ass qui vient apporter l'espoir dans une petite bourgade où la joie a préféré déserter tellement l'oppression est grande. du Père Noël en version héroic-fantasy, c'est forcément génial. Honnêtement. Et personnellement, il ne m'en a pas fallu plus pour craquer...

L'histoire est prenante. Elle n'est pas forcément complexe, mais elle est efficace et fluide. L'auteur dévoile des bribes du passé de Klaus et ne s'y attarde pas des pages et des pages. C'est des flashbacks (ou analepses pour les puristes) brefs, mais compréhensibles. On en apprend donc toujours un peu plus sur le personnage, sans pour autant que le rythme soit cassé, et ça, j'ai vraiment apprécié. Par contre j'ai eu l'impression que l'histoire s'est conclue un peu rapidement. J'aurais peut-être voulu voir encore plus de scènes épiques... Raaah c'était tellement bien !
Les dessins, quant à eux, son superbes et se fondent parfaitement avec l'histoire. Dan Mora a fait un excellent travail, absolument délicieux ! Rien à redire de ce côté là.

Par contre au niveau de cette édition collector, j'avoue ne pas tout avoir compris... Tantôt des pages en noir-blanc avec des ombres en hachuré, tantôt des pages couleurs mises en noir-blanc, ou même des cases juste avec les contours en noir. J'avoue que, si cohérence et harmonie il y avait, j'ai pas saisi. M'enfin, peut-être était-ce voulu après tout... Attention, cela n'empêche absolument pas de profiter du travail de l'artiste qui, à nouveau, est juste génial.

Je recommande donc vivement cet album (en noir-blanc ou en couleur), qui vaut le détour. Un Père Noël bad-ass, allooons... Rien que pour ça, ne résistez pas et laissez-vous transporter !
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critiques presse (4)
SciFiUniverse
27 décembre 2018
Le dessin de Dan Mora, juste superbe, met en valeur l'action et le côté badass de Klaus. Le découpage est hyper dynamique, les couleurs éclatantes.
Lire la critique sur le site : SciFiUniverse
BDGest
18 décembre 2018
À part pour profiter du talent du dessinateur costaricain, ce conte ne se révèle pas féerique. Il y a des êtres qui gagnent à rester mystérieux.
Lire la critique sur le site : BDGest
Sceneario
04 décembre 2018
Alors oui, cela reste très prenant, mais ça aurait pu l'être beaucoup plus ! Surtout au vu du palmarès du scénariste qui nous a habitué à plus de fond, plus d'audace ! En contre partie, graphiquement c'est une bonne découverte. Dan Mora explose dans chaque page, avec une vraie science du cadrage, des décors et de l'expressivité.
Lire la critique sur le site : Sceneario
ActuaBD
04 décembre 2018
L’idée initiale de ce récit s’avère franchement formidable, inventer de la sorte un récit des origines à la figure mythique du Père Noël constitue bien une trouvaille et le travail autour des motifs attendus - cadre enneigé et jouets distribués - apparaît plus que convaincant.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Citations et extraits (3) Ajouter une citation
Il était une fois.
Il était un endroit.
Il était un homme.
Aujourd'hui, tout le monde connait son nom, mais rares sont ceux qui savent qui il est vraiment... ou comment tout a débuté.
Ceci est la plus grande histoire jamais conté.
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[Klaus]
Those poor children --
They don't deserve to have their yuletime canceled.
Stil --

[Lilli]
RRRR

[Klaus]
It's not our concern, I know, I know.
There is nothing we can do.
Let's play a tune for shining family.
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I’ve seen spirits out on the ice, when the northern lights, the merry dancers, are in the sky… Some nights you can see them shining among the trees… I expect there are bad spirits too, in the dark, in the hearts of men.
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