J'ai bien aimé le côté informatif de ce roman : l'auteur donne de nombreuses pistes pour mieux comprendre la psychologie des serial killers et des psychopathes, et j'ai trouvé ça très instructif.
Par contre, j'ai retrouvé chez
Helen Morrison un truc qui m'agace profondément dans la série "Kay
Scarpetta" de
Patricia Cornwell : le côté "je suis une femme donc personne ne me prend au sérieux" ou encore "je suis tellement intelligente que tout le monde me déteste". Il y a d'ailleurs longtemps que je n'ai plus lu les
Scarpetta (que j'adorais il y a 3 ou 4 ans) à cause de ce côté geignard de l'héroïne...
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