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Critique de voltra
Merci tout d'abord à Babelio et aux éditions Calmann-Lévy pour m'avoir fait découvrir ce livre.
En ce qui concerne mon opinion là dessus je suis un peu partagée.
La première chose qui me vient c'est que ce livre regorge d'informations sur la nutritions au fil des années. On apprend en gros comment les fabricants avec des objectifs plus ou moins louables au début tombent très vite dans la facilité et l'esprit de consommation. le "faire bien" devient rapidement "faire le premier peu importe les moyens". Toutes ces infos sont intéressantes et même si je pense que l'on en a déjà tous conscience (surtout par la recrudescence de tous ces cancers et autres maladies que l'on voyait peu avant), on nous donne vraiment n'importe quoi à manger. Encore et toujours cette société de consommation. C'est un peu le serpent qui se mord la queue : on aime et achète des cochonneries, les producteurs en font donc toujours plus puisque il n'y a que ça qui se vend.
C'était la partie que j'appréciais du livre. Maintenant le gros point d'exclamation est qu'à chaque fois qu'on s'y plonge, on a l'impression de lire une encyclopédie (en tout cas c'est ce que j'ai ressenti pour ma part). Trop d'information tue l'information. Vraiment trop de détails, de noms, de lieux, de marques et ce qui n'aide vraiment pas et que tout cela se situe en grande partie aux États-Unis avec justement des marques que l'on ne connait pas forcément, des statistiques souvent associés aux américains. On est souvent un peu perdu et l'on a du mal parfois à s'identifier à toutes ces choses qui ne sont pas vraiment de notre culture ou qui n'appartiennent pas à notre passé.
Donc en conclusion je dirais que c'est un livre avec beaucoup d'informations intéressantes mais un gros tri à faire pour les trouver. Je pense qu'un américain appréciera plus ce livre et en comprendra mieux plusieurs parties qui nous ne nous intéresse pas forcément ou qui sont tout simplement propres à leur mode de vie.
En ce qui concerne mon opinion là dessus je suis un peu partagée.
La première chose qui me vient c'est que ce livre regorge d'informations sur la nutritions au fil des années. On apprend en gros comment les fabricants avec des objectifs plus ou moins louables au début tombent très vite dans la facilité et l'esprit de consommation. le "faire bien" devient rapidement "faire le premier peu importe les moyens". Toutes ces infos sont intéressantes et même si je pense que l'on en a déjà tous conscience (surtout par la recrudescence de tous ces cancers et autres maladies que l'on voyait peu avant), on nous donne vraiment n'importe quoi à manger. Encore et toujours cette société de consommation. C'est un peu le serpent qui se mord la queue : on aime et achète des cochonneries, les producteurs en font donc toujours plus puisque il n'y a que ça qui se vend.
C'était la partie que j'appréciais du livre. Maintenant le gros point d'exclamation est qu'à chaque fois qu'on s'y plonge, on a l'impression de lire une encyclopédie (en tout cas c'est ce que j'ai ressenti pour ma part). Trop d'information tue l'information. Vraiment trop de détails, de noms, de lieux, de marques et ce qui n'aide vraiment pas et que tout cela se situe en grande partie aux États-Unis avec justement des marques que l'on ne connait pas forcément, des statistiques souvent associés aux américains. On est souvent un peu perdu et l'on a du mal parfois à s'identifier à toutes ces choses qui ne sont pas vraiment de notre culture ou qui n'appartiennent pas à notre passé.
Donc en conclusion je dirais que c'est un livre avec beaucoup d'informations intéressantes mais un gros tri à faire pour les trouver. Je pense qu'un américain appréciera plus ce livre et en comprendra mieux plusieurs parties qui nous ne nous intéresse pas forcément ou qui sont tout simplement propres à leur mode de vie.
