En ce dimanche glacé de février 2010, il a poussé parce que le rugby c'est comme la vie, sa vie : ne pas plier. Alors Tony Moggio a "mis la tête" pour défendre son maillot jaune et bleu. Mais ce jour-là, il n'y a pas eu de troisième mi-temps. L'hélicoptère l'a emporté, brisé. Son corps meurtri ne s'est jamais tout à fait remis, mais Tony est toujours présent sur le terrain d'une autre vie, parce qu'il a dû renaître. Il a son maillot dans la tête, le ballon dans le c... >Voir plus