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De la part de la princesse morte" est un livre qui m'a fascinée.
De la vie ottomane, aux histoires de femmes et de leur fonctionnement dans le harem, j'ai découvert que les enjeux et stratégies étaient dans leurs mains.
Ces belles femmes prisonnières, devenues communicantes, multilingues par la force des choses, misant tout sur leur rôle éducatif de leur progéniture, une nécessité car la concurrence y est grande, ont un sens du positionnement impressionnant ! qui démontrent l'importance politique dirigée par elles-mêmes au sein du harem et pourquoi elles furent parmi les premières femmes à voter !...
J'ai réalisé que l'importance de la civilisation de l'Empire Ottoman était bien sous-évaluée dans l'enseignement de nos livres d'Histoire, et qu'elle n'avait jamais été aussi bien mise en valeur que dans ce roman déclencheur de mon intérêt par la suite.
J'ai apprécié les belles descriptions du Liban, devenue voyageuse, goûtant aux parfums Méditerranéens, jusqu'aux Indes, en passant par des ambiances qui m'ont bercées aux portes de l'Orient.
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