L'homme qui levait les pierres

Conte moral ? Poétique ? Philosophique ? Un peu tout cela à la fois.
Pourtant si l'histoire est intéressante, notamment la chute, je n'ai pas totalement accroché à cette histoire de caillou...

Il est cependant question de réussir sa vie, de trouver son chemin...

Donc une lecture pour réfléchir plus que pour le plaisir.

Encore un petit Thiérry Magnier réussi ! Une belle histoire signée par le grand Jean-Claude Mourlevat (j'adore).

Un homme soulève des énorme pierres devant tout le village il est admiré et pourtant il est triste. Lorsqu'un jeune garçon pas taillé pour soulever des pierres veut devenir son apprenti une grande leçon de vie commence.
Lien : http://latetedelart2.blogspo..

Un peu dans la lignée de " Milarepa" et du "sumo qui ne voulait pas grossir " d' Eric Emmanuel Schmitt ; un petit garçon Peio va se confronter un Homme presque un Géant qui soulève une pierre nommée Ruper Oaza. Ce conte initiatique narre avec intelligence l'apprentissage de quelques valeurs fondamentales : la patience,la volonté, la sagesse... un conte universel pour les grands et les petits !

Une pépite de plus dans la collection "petite poche", mais quand l'auteur s'appelle Jean-Claude Mourlevat, c'est presque normal.
Ce roman s'apparente à un conte de sagesse, où l'élève doit passer par des leçons incompréhensibles à ses yeux, pour finalement se révéler, découvrir une capacité encore plus incroyable. L'homme le plus fort du monde est aussi un homme d'une grande sagesse, puisqu'il va permettre à Peio, être chétif, en tentant d'utiliser son art de la force, de "s'élever", au sens propre comme au figuré.
Un petit bijou qui enchantera les lecteurs, petits ou grands.

J'ai lu d'une traite ce très court texte de Mourlevat.
L'histoire d'un homme très fort qui soulève des pierres comme une bête de foire et d'un petit garçon qui rêve de devenir comme lui. Ruper l'accepte comme apprenti et à force d'entraînement et de discipline...

Avec ce livre, je finis un cycle Mourlevat, car je crois bien que c'était le dernier livre de cet auteur que je n'avais pas lu dans la merveilleuse collection Petite poche de Thierry Magnier, des livres courts pour lecteurs peu aguerris, mais avec des histoires pour des enfants de 10 à 12 ans. On allie contenu pour grand et relative facilité de lecture, ce qui est peu habituel et très adapté pour certains lecteurs. C'est donc une collection que je recommande les yeux fermés dès que j'en ai l'occasion.
Et ce titre ne déroge pas à la règle de cette merveilleuse collection. de plus, Mourlevat est peut-être mon auteur jeunesse préféré, si bien que je ne pouvais pas me tromper. Cet homme qui levait les pierres est une histoire très originale, dont la chute est tout à fait inattendue, mais absolument délicieuse. Il est question des aspirations et des rêves, de la transmission et de l'émerveillement.
J'ai lu à mes élèves tous les autres Mourlevat, sauf L'Homme à l'oreille coupée, que nous sommes en train d'étudier (et ils attendent la semaine prochaine avec impatience pour avoir le fin mot de l'histoire…). Ils commencent à s'habituer au style et surtout aux textes qui ont des fins ouvertes, et c'est un plaisir de les voir prendre le pouvoir sur l'histoire, en devant des lecteurs de plus en plus acteurs de l'histoire qu'ils lisent et non plus seulement consommateurs de l'histoire. Merci Monsieur Mourlevat pour ces petites pépites que sont chacun de vos textes courts, merci Monsieur Magnier pour votre travail d'éditeur. A quand les prochains textes de Mourlevat dans cette collection, je les attends avec impatience !

Ruper Oaza est l'homme le plus fort du monde. Chaque dimanche, sur la place du village, il soulève une énorme pierre devant la foule rassemblée. Petit et malingre, Peio est fasciné par la force de Ruper Oaza et rêve de le remplacer un jour. Ruper accepte de lui donner des leçons... sans pourtant lui faire jamais toucher la moindre pierre !
=> Une belle histoire mais qui ne m'a pas autant enchantée que "L'homme à l'oreille coupée" (du même auteur).

C'est un tout petit livre. Il parle d'un village où régulièrement un homme fait une représentation où il soulève une très grosse pierre. Un jeune garçon souhaite y arriver aussi. Il demande au “héros” de le prendre en apprentissage. le problème est que le garçon est petit et maigre. Mais l'”homme accepte. Pourtant il lui demande autre chose que de soulever des pierres…
C'est un petit conte avec une morale, je l'ai trouvé très bien
Elias 5ème

Encore un joli petit livre de la collection Petite poche chez Thierry Magnier, pour les enfants qui n'aiment pas trop lire ou qui sont effrayés par les gros ouvrages. Une histoire pleine de sagesse, véritable ode à la patience et à la transmission, à rapprocher de "Cinq, six bonheurs" de Mathis, dans la meme collection.