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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Un livre coup de poing, un livre magistral ! Dans le premier chapitre titré : New York City, le 12 septembre 2001, John LaLiberté découpe, au chalumeau, les poutres d'acier pour dégager des passages pour les pompiers et les policiers à la recherche des victimes. Tout de suite plongée dans la terrible réalité de l'attentat du 11 septembre des Twin Towers, je ne peux retenir mes larmes. Michel Moutot raconte comment la légende qui prétend que les ironworkers n'éprouvent pas le vertige est née en juin 1886 lors de la construction d'un pont métallique qui enjambe le Saint-Laurent. Dans Ciel d'acier, Michel Moutot m'a baladée d'une époque à l'autre, les titres des chapitres révèlent le lieu et le mois pendant lesquels se déroulent les actions, plus précisément l'on passe de 2001 à 1886 ensuite 1968, 2001, 1886, 1970, 2001, 1885, 1970, 2001, 1907, 2001, 1907, 2011, 2001, 1908, 2011, 2001, 2001, 2002, 2002, 2003, 2005 et pour terminer le 1er septembre 2012. Ciel d'acier c'est autant une saga familiale, la famille LaLiberté, que l'histoire de la tribu des Mohawks, indiens canadiens, dont les ironworkes sont les plus réputés. Le fait de passer d'une époque à l'autre m'a permis de gérer mes émotions. John LaLiberté est présent dès le premier jour de l'attentat jusqu'à la construction du One World Trade Center, la Liberty Tower ; son père, Jack dit Tool, le seul ironworker décédé pendant la construction du World Trade Center, au sommet duquel il a été frappé par la foudre avait, un jour, emmené John, adolescent, au sommet des Tours jumelles.
Michel Moutot a reçu le prix Louis-Hachette pour sa couverture des attentats du 11 septembre ; ce roman rend hommage aux victimes et à tous ceux qui ont travaillé sans relâche à la recherche de celles-ci. Belle écriture.

Challenge Atout prix 2017 – Prix Gironde, nouvelles écritures 2015
Grand Prix 2016 – Meilleur Roman des lecteurs de Points
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"Déjeuner au sommet d'un gratte ciel" (Lunch atop a skyscraper) de Charles C. Ebbets

...une des photos les plus vendues au monde.
Je vous invite à la chercher sur internet, si besoin, car elle met le lecteur immédiatement en orbite, dans cet excellent livre de docu-fiction . Elle fait partie d'une série de clichés prise pendant la construction du Rockefeller Center en 1932, pour un reportage de presse rendant hommage au travail des ironworkers, tout en stigmatisant les conditions de sécurité.

Michel Moutot est journaliste et a couvert les évènements du 11septembre au plus près du terrain. Dans ce premier roman fort réussi, il choisit de raconter le parcours des indiens canadiens de la tribu mohawks dans leurs talents de constructeurs dans les nuages et sur poutrelles d'acier, avec le décor de la skyline de New York.


Des ponts sur le Saint Laurent au début du 20ème siècle à la construction des Twin Towers, de l'abominable déblaiement du WoldTradeCenter jusqu'à l'inauguration de la One World Trade Center, nouvelle vigie de Manhattan, c'est un voyage dans les airs pour qui ne craint pas le vertige.

Par la fiction et des personnages charismatiques, l'auteur nous fait passer intelligemment par tous les stades de la construction et de la déconstrution de ponts ou de gratte-ciels.
C'est une épopée, passionnante de bout en bout, suffisamment romanesque pour ne pas perdre le lecteur en route, très documentée historiquement et architecturalement et qui griffe au passage les travers américains en terme d'héroïsme.

Vertigineux!
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Au top ! Ou un chat sur une poutre brûlante !

Michel Moutot, l'auteur, a été correspondant à New York, notamment au moment des attentats du 11 septembre 2001. La même année, il reçoit le prix Louis-Hachette pour sa couverture de ces attentats.

Il a exploité son expérience et de ses reportages afin d'écrire ce livre, entre témoignages et histoire.

Il a été correspondant de guerre et ses descriptions transpirent la réalité, sa pratique et ses connaissances. !

Ce livre narre l'histoire des Indiens mohawks, canadiens ou américains, descendus de leurs réserves près de Montréal ; du XIXe siècle au XXIe siècle, leur travail, leur tribu, leurs coutumes, leurs peines, leurs aventures, leurs pères et leurs amis.

Constructeurs de longues maisons, ils deviennent charpentiers sur les ponts, puis ironworkers - monteurs d'acier - dans les gratte-ciel à New-York. Armés de leur pince à mâchoire à la ceinture, comme un tomawak, que les pères transmettent à leurs fils, ils assemblent les structures en acier entre elles, boulonnent les barres de fer afin de construire les gratte-ciel, jusqu'au topping-out, la cérémonie d'achèvement du squelette de l'immeuble.

La légende veut qu'ils n'aient pas le vertige, c'est pourquoi, ils grimpent si haut, les pieds sur des barres de fer de 30 cm : légende infondée...

Une histoire, à plusieurs temporalités, superbe, rédigée dans un style très masculin, brut, sans fioritures, et sans disgressions ; mais remplie de sentiments, de frayeurs et de passions !

L'histoire de John Laliberté, et de ses ancêtres, surnommé "Cat" le Chat !

Un livre hommage à ces hommes qui aidèrent les sauveteurs lors de l'effondrement des Twin-Towers en 2001 en découpant les poutrelles pour trouver des passages et des survivants, au risque de leurs vies et de leur santé !

Un vrai coup de coeur inattendu !
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Ne cherchez plus ! Je sais que nous ne sommes qu'au mois d'avril, mais vous tenez votre bouquin de l'été - enfin, l'un de vos bouquins -, de ces sagas qui se lisent d'une traite et vous emportent d'emblée dans leur univers sans possibilité de retour !

Connaissez-vous les ironworkers ?
Il s'agit de ces ouvriers spécialisés dans le travail de l'acier, dont les compétences sont très recherchées pour la construction des gratte-ciel notamment. Personnellement, je ne m'étais jamais posé la question de savoir comment ni surtout par qui sont bâtis ces buildings qui font la fierté et la renommée des Etats-Unis... Et pourtant, quelle passionnante histoire ! Une véritable odyssée qui dessine le visage de ce grand pays et que nous conte Michel Moutot avec un talent hors pair.

Le récit s'ouvre sur la scène apocalyptique du 11 septembre 2001. Michel Moutot nous plonge dans le chaos. Poussière, fumées toxiques, odeurs suffocantes, chaleur insupportable... rien ne nous est épargné. Moutot, qui était alors sur place en tant que correspondant pour l'agence France Presse, est bien placé pour trouver les mots qui retranscrivent l'atmosphère infernale.

Au milieu de ce champ de ruines, John LaLiberté, indien mohawk, découpe les poutres d'acier pour tenter de dégager des survivants. Dès qu'il a su ce qui s'était passé, il s'est précipité : ces tours jumelles, son père les avait construites. Chez les LaLiberté comme chez de nombreux Indiens, on est ironworker de père en fils.
Car construire - ou déconstruire - des buildings est bien une spécialité des Indiens mohawks. La légende prétend qu'ils ne connaissent pas le vertige, ce qui en fait une main-d'oeuvre particulièrement recherchée. Les Indiens laissent dire. Ils ne trouveront jamais meilleur gagne-pain que celui-ci, qui exige une très grande adresse, une bonne dose d'audace... et qui paye bien.
Echafaudant judicieusement son récit autour de trois moments-clef, Moutot nous explique comment ce peuple s'est forgé une réputation d'habileté sans égale. Passant alternativement des années 1880, au moment de la construction d'un pont révolutionnaire enjambant le Saint-Laurent aux abords de la réserve mohawk, aux années 1970 qui virent l'édification du World Trade Center et, donc, au 11 septembre, nous suivons les destinées de quelques-uns de ses représentants sur plusieurs générations.
Nous les accompagnons sur leurs poutres d'aciers, à des centaines de mètres au-dessus du sol, et frémissons de les imaginer évoluer ainsi dans les airs, sans aucun harnais ni le moindre système de sécurité. Et c'est bien cela qui est effarant. Il fallut attendre les années 1980 pour que des mesures soient prises et rendues obligatoires, faisant ainsi considérablement chuter - si je puis dire ! - la tolérance en matière de perte des effectifs sur un chantier.

Ce qui est passionnant dans ce livre, c'est que derrière cette fresque extrêmement vivante se cache une enquête ultradocumentée qui nous en dit énormément sur l'Amérique et son histoire. Vraiment, je vous encourage à le lire ! Quand une lecture procure un tel plaisir tout en nous ouvrant les yeux sur le monde, ce serait dommage de passer à côté !


Un grand merci à la librairie L'Arbre à lettres Bastille, l'une de mes deux librairies de référence, de l'avoir porté à l'attention des lecteurs et donc de la mienne ! Comme quoi, rien ne remplacera jamais les libraires...
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GROS COUP DE COEUR !!!!!
Un roman plein d'émotions.
Un sujet original qui m' a passionné : les Ironworkers. Une profession que je ne connaissais pas et que j'ai découvert à travers ce roman.
Une profession ........Non plutôt une vocation, une passion pour Manick, Jack, John........une raison de vivre.
Sous forme de roman, l'auteur rend un vibrant hommage à ces hommes qui ont construit tous ces édifices qui font la fierté de l'Amérique.
Ces hommes qui ont répondu présents dés les premières minutes des attentats du 11 septembre.
Un roman fort, très bien écrit.
JE CONSEILLE VIVEMENT LA LECTURE DE CE ROMAN.
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Ils ont construit les buildings qui font la fierté des USA ; Les indiens Mohawks appartiennent à une des six nations iroquoises, basés au Québec, en Ontario, et dans le nord-est des USA. A l'origine, parce que soi-disant insensibles au vertige, ils ont été chargés des constructions métalliques de grande ampleur, et dangereuses, comme les ponts de chemins de fer à l'heure de l'essor du rail en Amérique du nord. Viendra au 20ème siècle l'essor des gratte-ciels sur lesquels ils ont travaillé, et pour beaucoup d'entre eux perdu la vie. Ainsi, leurs descendant ont également érigé les tours jumelles de New-York.
C'est l'épopée de ce peuple autochtone dur à la tâche que Michel Moutot retrace dans ce roman entre la fin du 19ème siècle, quand les premiers bâtisseurs de ponts disparaissaient par centaine sous le poids des poutres d'acier s'écroulant comme un château de cartes, jusqu'à touche finale à la superbe One world qui remplacera en durant les années 2010 les twins tombées 10 ans lus tôt. Bâtisseurs, les Mohawks ont aussi été les artisans sur les décombres de ces dernières, chalumeau à la main, seuls capables du déblaiement.
Sans aucune linéarité, le propos de Michel Moutot alterne les époques avec pour seule constante, six générations d'ironworker, que l'on retrouve tantôt à riveter minutieusement ponts et viaducs, tours toujours plus hautes, ou découper ce que leurs pères, parfois morts en service, avaient fièrement élevées 30 ans plus tôt.
Roman à plusieurs voix, Ciel d'acier relate un siècle de labeur, de lutte pour la sécurité de ces hommes, de courage, et de fierté d'un peuple pas tout à fait comme les autres qui a su ou pu gagner une place particulière dans l'univers des Blancs.
Particulièrement documenté, cet opus est passionnant d'un bout à l'autre, idéalement construit, vivant, entrainant.

Lien : https://leblogdemimipinson.b..
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Avis de Grybouille (Chroniqueur sur le blog Léa Touch Book) :

Trois grandes époques, deux dynasties les Rochelle et les LaLiberté, que vous suivrez en lisant ce roman à la gloire des indiens Mohawks qui ont, par leur investissement, participé à la réalisation des constructions majeures de l'Amérique du nord.

De pilotes de bois flotté en passant par capitaine de bateau à aube sur le Saint Laurent, « Mon steamboat, c'est un gros canoë », à bâtisseurs de building comme « ironworker » six générations d'indiens qui loin de leurs réserves ont tout donné.

11 septembre 2001, les Twin Towers s'écroulent, « Qui peut nous haïr à ce point ? ».
Témoin parmi la foule, John LaLiberté, 43 ans, encore plus sensible à ce qui se passe car son père Jack a participé à la construction de ces tours jumelles.
John est de la 6ème génération de « skywalkers », ces indiens que l'on dit insensibles au vertige. Son vrai nom indien ? « O-ron-ia-le-te » ce qui veut dire « il porte le ciel », le hasard n'existe pas, il sera le digne héritier de ses anciens.

John fera partie avec Andy, son meilleur ami, des ouvriers mohawks qui vont travailler sur la « pile », cette montagne, cette prison d'acier que sont devenus les Twin Towers. Au milieu de l'horreur, de l'enchevêtrement de poutres, des incendies qui propagent des vapeurs toxiques, du premier jour jusqu'à la fin du chantier ils vont vivre leur aventure humaine. Poignant…

Mais ce livre ce n'est pas que cela c'est aussi, un bon dans le temps :

1881,
les rives du Saint Laurent, le réserve de « Kahnawake », les Mohawks, le « peuple du silex » des bâtisseurs, Angus Rochelle a 46 ans, la première génération qui va sortir de la réserve et qui va faire éclater au grand jour les capacités de son peuple…
Ils vont se retrouver dans la grande histoire, pilote sur le fleuve, artiste dans le grand show de « Buffalo Bill », navigants pour la mission de sauvetage de Khartoum au Soudan, constructeur de pont, « skywalkers » dans le ciel de Manhattan, du nord au sud, de l'ouest à l'est, ils vont devenir des spécialistes incontournables.

1968,
à New-York, Jack LaLiberté, 42 ans, son surnom « Tool », il est embauché sur le chantier du siècle, 22 millions de dollars, 500 mètres de haut, 200.000 tonnes d'acier, les tours jumelles de Manhattan.
« Manhattan, c'est l'île des montagnes construites par l'homme.»
Louise son épouse est restée dans la réserve, elle élève John 12 ans et Robert 8 ans.
« Ici, nous écrivons l'histoire, vous pouvez être fiers ! » dit Bill le chef du chantier.


La liaison est faite, de date en date nous suivons les personnages, 439 pages de bonheur livresque…

Le style,

Du meilleur acier dont on bâtit les réputations.
C'est documenté, passionnant, un roman, que dis-je une fresque, un hommage à des hommes courageux, pas un moment faible.

A ne pas douter, nous allons rapidement retrouver Michel Moutot et ce sera pour notre plus grand plaisir.

Des passages,

Les images sont fortes, la chaleur, la poussière et puis « On en a sorti un ! Un flic ! Il est vivant ! Il est vivant ! »

« Ces tours, nos pères les ont bâties, elles sont à nous. »

« …au grand air, au-dessus de la foule, fiers de bâtir et d'être bien payés. Ils ont de belles maisons, de grosses voitures, des motos, des skydoos, des hors-bords. » Les Ironworkers.

A partir de 12 ans, apprentissage par le jeu : « …respecter sa peur, dialoguer avec elle, peu à peu l'amadouer, apprendre à la connaitre pour l'apprivoiser. »

Un bain, trois feuilles de tabac pour se laver des horreurs de la journée.

« Les Twin Towers sont à nous. C'est nous qui les avons construites. A vous de les mettre en terre. Et de marcher dans le ciel… » Wild Bill Cooper, ami de Jack, le père de John.


Pour le p'tit Duc, c'est un hymne à cette âme indienne qui a nourri et nourri encore les terres américaines, superbe. C'est aussi un voyage dans la culture amérindienne, les croyances, les codes dans la vie des tribus, l'histoire tout simplement…

Ah, oui ! En parlant de voyage, dès 1885, les participants à cette « croisade » au Soudan ont pu visiter le pays grâce à… l'agence de voyages Thomas Cook, incroyable la longévité de cette société encore présente de nos jours…

Je ne peux que vous conseiller de découvrir cet auteur qui ravira le plus grand nombre, parole du p'tit plumier…
Lien : http://leatouchbook.blogspot..
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Une grande épopée attends le lecteur dés les premières pages de ce livre passionnant. Un vent de courage, de traditions, de fierté, souffle au travers des poutres d'acier que le peuple Mohawk assemble, de génération en génération à travers l'Amérique du nord.

Plusieurs périodes de l'histoire des "Ironworkers" défilent sous nos yeux.
Le début des années 1900, quand les Mohaws, habiles pilotes sur les eaux tumultueuses des fleuves et rivières canadiens, vont peu à peu quitter pour devenir "monteurs d'acier" et "marcheurs du ciel". Là naît la légende des hommes sans vertige, mais leur réputation de travailleurs acharnés et courageux ne sera jamais usurpée.
Les années 70, lors de la construction des twin towers. Et au moment de l'effondrement de ces mêmes tours le 11 septembre 2001.
Nous suivons plus particulièrement une famille de Mohaws, les Laliberté où les hommes, de père en fils, deviennent "Ironworkers". Des décennies de drames, de joies, d'amitié, de larmes, racontés par Michel Moutot, sans, à aucun moment, lasser le lecteur.

Un premier livre d'une totale réussite, et nos yeux brillent longtemps après avoir refermé ses pages, nos pensées s'envolent avec eux, "les skywalkers", "les Ironworkers", dans le ciel, avec les aigles.
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Un roman qui s'ouvre sur un moment dramatique de l'histoire des Etats-Unis : les attentats du 11 septembre 2001, mais pour une fois, il n'est pas questions des attentats à proprement parlé, mais de la recherche des personnes qui pourraient être encore vivante, et surtout ensuite de la gestion des débris des tours. Ensuite, Michel Moutot nous balade à travers l'histoire des Etats-Unis en nous faisant traverser différentes époques. Ne prenez pas peur, en vous disant que vous allez vous perdre entre les différentes dates, car le titre de chacun des chapitres nous indique le lieu et l'année où se situe l'action.  Une grande saga sur l'histoire d'un peuple indien des Etats-Unis que l'on ne connaît pas vraiment : les Mohawks.
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Roman qui commence par l'attentat qui détruit les Twin Towers. Au péril de sa vie, un homme, un Indien, un ouvrier, se dévoue pour extraire les dépouilles, les débris, des ruines. Sa motivation provient du fait que sa famille est intimement liée au destin de cette construction. de génération en génération, les hommes de sa famille et de son origine, ont bâti l'Amérique et ses tours. Roman qui décrit l'art des bâtisseurs avec une précision et une poésie enthousiasmante. le mythe se mêle à L Histoire. Les personnages apportent chacun une part de l'humanité cosmopolite des grandes civilisations. Mais ce qui sublime tout cela, c'est la magie de l'outil et de l'assemblage des matériaux. Original et poignant. Enfin un ouvrage qui célèbre les ouvriers et les travailleurs manuels avec justesse et sensibilité!
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