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EAN : 9782811218911
576 pages
Milady (17/02/2017)
  Existe en édition audio
3.59/5   527 notes
Résumé :
Toutes les maisons de famille ont une histoire...

Lorsque son mari meut prématurément, laissant derrière lui une montagne de dettes, Isabel doit radicalement changer de train de vie. Elle n'a d'autres choix que de quitter Londres pour s'installer à la campagne avec ses deux enfants, dans une maison de famille délabrée dont elle hérite de façon inattendue. Elle espère pouvoir pouvoir compter sur le soutien de ses voisins, mais sa présence au village ne... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (109) Voir plus Ajouter une critique
3,59

sur 527 notes
Un roman sympathique à lire, pas de prise de tête, pas de message caché, juste une histoire à lire.
Le personnage d'Isabel ne m'a pas vraiment convaincu. J'aurai aimé plus de développement autour de Byron, de Kitty et des "cousins".
Pas convaincue, pas trop déçue non plus. Mais je pense que j'oublierai vite cette histoire...
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Isabel Delancey vient de perdre son mari dans un accident de voiture.
Elle se retrouve seule avec ses deux enfants et couverte de dettes.
Elle exerçait le métier de premier violon dans un orchestre symphonique.
Elle hérite cependant d'une maison léguée par son grand-oncle.
Complètement perdue, soutenue par ses deux enfants, pourtant bien jeunes, elle quitte Londres pour emménager dans cette maison laissée dans un état pitoyable.
Dans ce petit village, elle rencontrera l'amitié chez les deux épiciers mais aussi la méchanceté car cette demeure était convoitée par les voisins qui croyaient en hériter.
Elle fera réparer la maison par le voisin, malfaisant, entrepreneur et entreprenant.
J'ai beaucoup apprécié le caractère d'Isabel détachée des faits matériels et très attachée à la musique, allant à la rencontre de ses enfants.
L'auteure utilise un style très agréable où elle entrecoupe ses chapitres d'actions et de personnages différents. Loin d'être gênante, cette façon de procéder évite les longueurs.
Jojo Moyes et la traductrice Emmanuelle Ghez nous offrent une écriture très agréable à lire.
Le roman nous présente deux mariages avec des trahisons et des difficultés et évite de tomber dans des clichés faciles.
Une belle imagination vient nourrir les faits ainsi qu'une grande variété de personnages attachants et d'autres pas du tout mais leurs failles sont très bien analysées.
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Je crois que ce qui me séduit le plus chez Jojo Moyes, c'est qu'elle est capable, par une simple romance bien construite, de redonner de la couleur à un dimanche pluvieux et froid, le genre de dimanche qui ne me ferait pas mettre mon museau dehors. Par des mots simples et grâce à des personnages bien campés, cette auteure a le don de m'offrir à chaque lecture une vraie parenthèse d'évasion, ce que j'attends finalement le plus d'un roman.

Avec "Sous le même toit", le charme a encore agi. Moitié romance, moitié feel-goog book, cette histoire de nouveau départ à la campagne pour Isabel, la Londonienne, musicienne professionnelle et mère de deux enfants, m'a séduite par son mélange d'authenticité et d'irréalité qui en fait à la fois un joli conte pour adultes et un bon scénario de comédie sentimentale. le plaisir de ne penser à rien, de se laisser guider par des personnages attachants, parfois drôles, de s'accorder le droit de rêver...

Jojo Moyes sait conter de jolies histoires mêlant des situations dans lesquelles chacun peut s'identifier : deuil, envie de changement, amitié, amour, famille, et mettant à l'honneur des valeurs qui peuvent paraître désuètes mais auxquelles je suis profondément attachée : sincérité, honnêteté, fidélité, authenticité.

Jojo Moyes écrit bien. Elle a un style que je qualifierais d'attachant et d'accessible tout en étant très réconfortant. Et bien que les éléments du dénouement se laissent deviner au fil des pages, elle sait maintenir chez son lecteur l'envie de l'accompagner jusqu'au mot "Fin", ne cherchant pas à générer du suspense mais de l'empathie. C'est son talent : elle aime ses personnages et veut nous les faire aimer, dans un esprit réellement familial.


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Inutile de tergiverser, j'ai détesté cette histoire. Oui, je sais, j'ai mis quatre étoiles parce que je n'ai pas lâché le livre avant la dernière page.

Isabel brillante violoniste ne vit que pour son art qui est aussi son métier. Son mari a tout pris en charge : les enfants, la maison et les finances. Quand ce dernier meurt, Kitty, adolescente de 15 ans essaie de persuader sa mère d'ouvrir le courrier, surtout des factures, et de faire face, en vain. Il est trop tard quand Isabel s'aperçoit qu'elle croule sous les dettes laissées par son mari. Elle vend la maison et part vivre dans une maison héritée au bon moment. le déni et le deuil étaient assez difficiles à lire et l'envie de secouer cette femme ne me quittait pas. Ce n'était rien. La famille arrive, ou ce qu'il en reste, dans une maison délabrée, jamais entretenue, et pourtant convoitée par certains voisins peu scrupuleux. La descente aux enfers peut commencer. Kitty adolescente dégourdie allège le fardeau de sa mère, Thierry petit garçon au lourd secret décide de ne plus parler. L'inconséquence et la crédulité d'Isabel vont influencer gravement sa vie et celles de ses enfants.

J'ai espéré tout du long que leur situation s'améliore parce que bon avoir la poisse à ce point relève de l'inexplicable, mais la descente n'avait pas de fin.

Résultat : je finis le week-end stressée et cette histoire me trotte dans la tête. C'est très bien écrit : assez pour ferrer le lecteur. Quoi ? L'épilogue ? Vous ne croyez quand même pas que je vais vous le révéler ?
Lien : http://pyrouette.canalblog.c..
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Jojo Moyes m'a encore eue ! Encore une fois ...
Et pourtant , je n'ai pas aimé les premières pages de ce roman .

Isabel , après la perte de son mari , se rend compte qu'il l'a laissé avec une montagne de dettes . Pour s'en sortir , il va falloir changer de vie .
Commencer par donner congé à la nounou qui s'occupe de ses enfants depuis toujours . Oui, parce qu'Isabel, ne FAIT RIEN d'autre que jouer du violon car il lui faut protéger ses mains qui sont aussi son outil de travail .
Il va lui falloir déménager et ça tombe bien car elle hérite d'une vieille maison qui tombe en ruine , dans la campagne au bord d'un lac .
Et si ses enfants ne sont pas enchantés au début , ils prendront peu à peu goût à cette vie ; même Isabel va changer , abandonner son coté éthéré et s'inscrire plus dans la "real life" ...
Non les problèmes viendront d'ailleurs ... cette maison (et son fort potentiel ) , est convoitée par plusieurs personnes .
La morale de l'histoire , c'est qu'il ne faut pas s'attacher trop au matériel , l'important étant d'avoir un toit et des personnes à aimer ...

Les débuts ne sont pas très crédibles, l 'héritage tombe à pic.
La caricature de l'artiste complétement larguée dans sa vie quotidienne au point de négliger ses enfants m'a énervée . Mais malgré tout ça , Jojo Moyes , étant une formidable conteuse, embarque les lectrices dans son monde . Et son monde , il est chaleureux , généreux . Alors les défauts, du début , on les oublie et l'on passe un bon moment .
Un bon moment pas inoubliable mais un chouette moment !

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Citations et extraits (41) Voir plus Ajouter une citation
C'était ainsi depuis neuf mois : le manque la frappait sans prévenir, sans prendre de gants. Il n'y avait rien de doux dans le chagrin. Il se fracassait sur vous comme une vague puissante sur la rive, vous inondait, menaçait de vous engloutir. Comment ces mains avaient-elles pu cesser d'exister ?
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Il se rendit compte qu'il avait envie de frapper son père, de le frapper vraiment très fort. Les mots sortirent de sa bouche avant qu'il n'ait pu y réfléchir.
- On pourrait le quitter.
Sa mère écarquilla les yeux.
- Je veux dire, ne reste pas à cause de moi. Je ne serais pas dévasté si on partait.
- Mais, Anthony, c'est ton père...
Le garçon haussa les épaules et saisit son sac à dos à côté du canapé, sachant que rien de ce qu'il dirait ne changerait quoi que ce soit.
- Ca ne suffit pas à en faire quelqu'un de bien.
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C'est pour ça que Matt ne me trouve pas plus attirante. Parce que je n'ai jamais pu m'abandonner complètement à la passion. Je serai toujours celle qui se préoccupe des contingences matérielles, qui s'inquiète de savoir si le chien a été nourri.
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Nous n’avons jamais trouvé notre place dans la maison espagnole.
Techniquement, nous en étions les propriétaires, mais la propriété suppose un certain contrôle, et personne autour de nous n’aurait pu prétendre que nous en avons eu le moindre sur les événements dont elle a été le théâtre. Les documents écrits avaient beau attester le contraire, nous n’avons jamais eu le sentiment d’être réellement chez nous. Dès le début, ce lieu nous a paru bien trop encombré. Cette maison était habitée par les rêves d’autres que nous, les murs imprégnés de jalousie, de méfiance, de convoitise. Son histoire n’était pas la nôtre. Rien, pas même nos propres aspirations, ne nous liait à cette demeure.
Petite, je pensais qu’une maison n’était qu’une maison, et rien de plus.
Un endroit dans lequel on mangeait et jouait, dans lequel on discutait et
dormait, quatre murs entre lesquels on se contentait de poursuivre le cours de son existence. J’y accordais peu d’importance. Bien plus tard, j’ai appris
qu’une propriété pouvait représenter bien plus que cela, et devenir, aux yeux de celui qui la convoitait, le but ultime, une projection de lui-même ou de l’image qu’il cherchait à renvoyer. J’ai appris qu’elle pouvait inspirer aux
gens des comportements honteux ou déshonorants, que même un minuscule lopin de terre pouvait se transformer en obsession.

Lorsque je quitterai la maison, je serai locataire.
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Elle aperçut les points de repère à présent familiers, église et maisons, vit la grand-rue apparaître entre les arbres, les bordures et les haies vives verdoyants, et se demanda ce qu'il fallait pour se sentir chez soi quelque part.
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