(...) J'ai remarqué en entrant que Fouad avait installé des tables et des bancs supplémentaires. La fumée du kif saturait l'air. La salle était pleine de garçons et de filles marocains. On se serait cru dans une maison de fous. Ils hurlaient de rire en essayant tous de parler en même temps, mais leurs phrases paraissaient privées de bras, de jambes et de têtes.
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En langue arabe, sous-titré en allemand