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Kinra girls tome 1 sur 27
EAN : 9782809646078
144 pages
Play Bac (14/09/2011)
3.95/5   155 notes
Résumé :
LA RENCONTRE DES KINRA GIRLS


C'est le jour de la rentrée à l'Académie internationale Bergström ! Cinq jeunes filles talentueuses venues des quatre coins du monde ont quitté leur pays pour y faire leurs premiers pas.
Loin de chez elles, elles vont découvrir leurs différentes cultures, et devenir amies pour la vie...

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Critiques, Analyses et Avis (36) Voir plus Ajouter une critique
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Lors de la dernière masse critique jeunesse, j'ai été attiré par ce joli petit livre jeunesse très girly.
Pour moi qui est une maman de deux grands garçons, j'ai plutôt été habituée aux chevaliers du Zodiaque ou Dragon Ball, mais là depuis j'ai deux petites filles qui sont arrivés, et le style change complètement. Elles sont encore très jeunes, mais le temps passe vite et je regarde attentivement à présent les lectures petites filles.
Et bien j'ai été agréablement surprise par les Kinra girls, on se retrouve avec cinq jeunes amies qui font connaissance à leur arrivée dans l'école internationale de Bergström qui forme des élèves douées pour les arts comme la danse, le chant, le cirque, l'équitation ainsi que la peinture.
Kumiko la japonaise, Idalina l'espagnole, Naïma l'américaine, Rajani l'indienne et Alexa l'australienne forment à elles cinq le groupe KINRA.
Premier tome qui entame d'après ce que j'ai pu voir une jolie petite série pour les 9/11 ans. le livre est très coloré, les textes sont faciles à lire, au milieu de très jolies illustrations d'Anne Cresci. Les valeurs de l'amitié, de l'acceptation de toutes les cultures sont mis en avant.
Tout pour donner le goût de la lecture aux enfants et avec un 23ème tome à paraître, elles n'auront pas le temps de s'ennuyer...
Merci à Babelio et aux éditions PlayBac pour m'avoir permis de découvrir ce premier tome de la série les Kinra Girls.
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La saga des Kinra Girls fait partie d'une des séries littéraires ayant bercé mon enfance... Au milieu des Ballerines Magiques, du Club des Baby-sitter et des Princesses du Royaume de la Fantasy, il y a eu les Kinra Girls.
Je ne me souviens plus comment avais-je découvert ces livres, j'ai dû les lire de mes huit ans à mes dix ans, quelque chose dans le genre. Malgré le fait que ça se lit très vite et que j'étais souvent frustrée de les dévorer si rapidement, comment dire que j'avais directement accroché à l'histoire et aux personnages ? J'étais complètement fan des intrigues et de nos cinq héroïnes aux personnalités bien définies...!
Je n'ai pas lu les derniers tomes car j'ai arrêté de lire les Kinra Girls, mais cela restera toujours une série jeunesse que j'ai adorée, et je vous la conseille vivement ! :) J'ignore si le style plutôt enfantin peut plaire tout de même à tout le monde, mais en tout cas je suis certaine qu'il pourra plaire à une majorité d'enfants ! ^^
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Je feuilletais ce livre quand deux amies d'une dizaine d'années sont arrivées, cherchant le tome 3. La plus délurée des deux m'a convaincue de craquer pour cette série, me vantant l'histoire amusante, pleine de rebondissements et « très moderne ». « Si c'est pour votre fille, elle va adorer. » m'a-t-elle assuré. Comment résister ?

Ce roman, premier d'une série écrite par Moka - que l'on ne présente plus - et joliment illustré par Anne Gresci, est drôle et intelligent. L'histoire n'est pas sans rappeler « Fame » : académie réputée où les élèves doivent donner le meilleur d'eux-mêmes, cours mêlant l'art, sous toutes ses formes, et les bases élémentaires, amitié et inimitié, rêves et jalousie… mais elle met en scène presqu'uniquement des jeunes filles.

Différentes mais aux talents exceptionnels, les cinq héroïnes sont inséparables. Ouvertes sur le monde, elles partagent les richesses de leur culture respective et apprennent à respecter les différences.
Le roman est émaillé de mots et d'expressions en espagnol, anglais, sanskrit, tamoul, japonais… repris, intelligemment, dans un index en fin de livre. de même, les thèmes culturels abordés dans l'histoire font l'objet d'un appendice où ils sont présentés de manière plus complète.
Cette série à tout pour plaire aux filles. Il y est question d'un groupe d'inséparables, formant un club avec son langage codé (le mullee-mullee), ses règles, son lieu de rendez-vous secret… Tout ce que l'on a toujours rêvé d'avoir quand nous étions enfants. le livre est, en soi, un objet magnifique, à la couverture et aux dessins attrayants et colorés. Mais le petit plus unique, selon moi, c'est l'élégant marque-page, fixé à un ruban rouge, qui accompagne chaque tome et est à chaque fois différent. On voudrait s'offrir la série entière rien que pour eux.
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J'ai lu quelques tomes de cette série sur les conseils d'une amie (la même qui m'a conseillé de lire "Harry Potter", il FAUT que j'arrête de l'écouter), alors je vais faire une critique générale de la saga.

Pour commencer, ce principe du pensionnat m'insupporte, il restreint les possibilités d'histoire. Mais peut-être aurais-je un jour une bonne surprise qui me fera changer d'avis. Ensuite, on nous dit que l'académie Bergström est une école d'art...mais Alexa fait de l'équitation, ce qui n'est pas comptabilisé dans les arts.

Les relations entre les personnages sont juste SURRÉALISTES. Les gamines se connaissent depuis une semaine et se déclarent déjà meilleures amies pour la vie, avec un code secret pour contrer "les pestes". Mais à part, les pestes, tout le monde est gentil. Les caractères des personnages sont calqués sur les stéréotypes concernant leur peuple :
-Idalina est espagnole et européenne, donc elle est romantique, fragile et tourte. C'est sûr qu'en France, en Italie et en Espagne, on passe son temps à jouer de la mandoline en contemplant la tour Eiffel. Dans ces pays, ce sont tous des obsédés sexuels (bah oui, ils sont pas puritains), qui déguisent leurs cochonneries derrière du romantisme !
-Alexa est australienne, donc aventureuse et moderne. Elle passe son temps à se mettre en danger et à commandailler les autres. Quelle leadeuse ! Ah, et aussi, elle maîtrise les techniques de pistage aborigène, tout en étant bien blanche et bien blonde (et bien chrétienne ?).
-Naïma est afro-américaine (mais pas descendantes d'esclaves, attention : son père est américain blanc et sa mère est née en Afrique), donc hé ben, elle est douée pour le cirque ! Vive le racisme !
-Rajani vient d'Inde, fait de la danse et, évidemment, est la petite-nièce d'un maradjah régnant. L'auteur remercie Fritz Lang dont les films "Le tigre du Bengale" et "Le tombeau hindou" lui ont fourni toute sa documentation sur le sous-continent indien.
-Kumiko est une chinoise japonaise qui dessine bien, parce que l'auteur a entendu parler des estampes que faisaient ces bridés communistes shintoïstes.
-Le Brésilien dont j'ai oublié le nom est un séducteur armé d'une guitare.
-L'Amérindien de service est gardien de nuit (qu'est-ce qu'un sauvage pouvait être d'autre ?), attribue des totems aux héroïnes et parle par énigmes.

Et l'intrigue, dans tout ça ? Ma foi, il n'y en a guère. Les histoires secondaires et les pseudos-découvertes des autres cultures sont tellement nombreuses qu'on oublie totalement quel est le fil rouge de la série. Même mon amie, qui a lu tous les tomes je crois, n'est pas capable de me restituer l'intrigue principale en entier et clairement, c'est dire ! D'après ce que j'ai compris, il y a une histoire de cheval maltraité (houlà, la SPA a fait du lobbying ?) et de lion d'or laissé par les propriétaires du château qui aurait inspiré un automate de Léonard de Vinci. Et il y a un rôdeur qu'on arrive jamais à démasquer.

Sérieusement, l'intrigue avance au mieux à pas d'escargots et au pire pas du tout. On enchaîne les clichés sur les peuples et les cultures non-américains du nord et non-australiens, on enchaîne les histoires inintéressantes et cousues de fil blanc, on enchaîne les morales débiles et on enchaîne les phrases mal tournées.

C'est plat, c'est mal écrit, c'est vaguement sexiste, c'est carrément raciste...c'est...c'est...c'est nul, même si cette appréciation n'est pas très constructive.
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𝐊𝐢𝐧𝐫𝐚 𝐠𝐢𝐫𝐥𝐬, 𝐭𝐨𝐦𝐞 𝟏 : 𝐋𝐚 𝐫𝐞𝐧𝐜𝐨𝐧𝐭𝐫𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐊𝐢𝐧𝐫𝐚

Je ne sais pas pourquoi j'ai emprunté ce livre, pourquoi je l'ai lu, pourquoi l'autrice l'a écrit, pourquoi l'éditeur l'a édité, bref, pourquoi ce livre existe !
Commençons par les premières phrases du roman. D'emblée apparaissent des dizaines de noms propres : Rajani Bergström, Indira, Karisma, Iqbal Shankar, Miss Daisy, Kumiko, et ça en trois pages !

Et puis très vite, on prend conscience que les personnages sont cliché au possible. On a droit, entre autres, à :
- Une Européenne sensible, romantique, fragile et belle qui ne sait pas vivre sans sa "Maman" et qui fait de la guitare et du chant, comme elle est espagnole !
-Une Japonaise artiste, geek, fan de manga et qui organise bien sa chambre, car, c'est connu, c'est ce que font tous les Japonais !
-Une Indienne qui adore danser en joignant les mains, qui fait de la médecine ayurvédique et qui a une grand-mère sage, . Et devinez ce qu'elle porte ! Un sari, bien sûr !
-Une Afro-américaine qui est surexcitée, hyperactive, joyeuse et avenante, et qui vient d'un milieu pauvre.
-Et bien sûr une Australienne moderne, une véritable commandante, courageuse et qui en connait un rayon en coutumes aborigènes.
Coté pestes nous rencontrons Ruby, une jeune blonde au régime, riche et fan de mode, qui, bien évidemment , n'a aucune raison d'être méchante, mais bon, il faut bien un antagoniste !
Les filles dites "belles" sont Occidentales et blondes ou rousses.
Alexa est dans une école d'art mais fait de l'équitation... étrange.
L'intrigue, et bien il n'y en a pas. On est sûr du "Oh une nouvelle amie",
"Oh une nouvelle amie", "Oh une nouvelle amie", "Oh une nouvelle amie"
Le style d'écriture est pauvre , comme le vocabulaire.
Je me suis demandé pourquoi les éditions "PlayBac" avaient édité ce livre, avant de comprendre que Elvire Murail était la soeur de Marie-Aude Murail...
Tout s'explique !!
Enfin voilà. Un livre qui est carrément nul, il n'y a pas d'autre mot !
Sur ce, bonne lecture !


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Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
J'adore cette série : Les Kinras Girls c trop bien :)
Je suis à Qui a peur des fantômes et je suis trop fan :)
Alors je suivrais la serie jusqu'au bout :)
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Vous ne devez votre présence ici qu'à votre travail, à votre détermination et à votre talent. La chance n'y est pour rien.
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sur la liste du vocabulaire mullee mullee, inscrivit : avoir des amies , c'est riche.
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Une bande de fille qui découvre de jour en jour des mistéres :)
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Avoir des amis, c'est être riche.
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