J'avoue avoir avancé très laborieusement dans cette oeuvre fondatrice de la littérature japonaise. J'étais pourtant déterminée à m'en imprégner, tant j'avais lu de références et d'hommages à la poétesse qui en est l'auteure. Je commets probablement un blasphème, mais quel ennui ! Tant pis, j'assume ma condition de jeune fille moderne qu'on n'enferme plus derrière des paravents et qui s'émeut difficilement des déshonneurs infinis et des romances coupables dès lors qu'un échange de poèmes a été commis.
Commenter  J’apprécie         121