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L'Implacable tome 22 sur 128

France-Marie Watkins (Traducteur)
EAN : 9782744313172
219 pages
Vauvenargues (06/07/2006)
2.75/5   2 notes
Résumé :
Je vous en ai réservé quatre, bien gros,_ sectionnés à le moelle. A vous de jouer ! fit Gordon's.
Épuisé, le docteur Caldwell appuya lourdement sa main gauche sur un coin de la table du labo. Oups ! Un cerveau.
Pas de mal, les lobes gluants résistaient bien.
Plus tard, Chiun contemplait les cadavres, quatre au moins si l'on rassemblait tous les membres. Sans les têtes.
— Qu'est-ce que c'est que ce trafic? s'indigna-t-il.
— Cervelle... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (2) Ajouter une critique
Cette série de Gérard de Villiers, "L'implacable" m'intriguait à la fin des années 70 début 80, car beaucoup de voyageurs des transports en commun la lisait... Curieuse, et en ayant déniché un, j'ai pensé "pourquoi pas?". Et je dois avouer que je m'attendais à pire, à bien pire, compte-tenu de la couverture sur laquelle est dessinée une pin-up nue. Il y a erreur sur l'illustration car il n'y a ici rien de chaud, ni de spécialement érotique, par contre il y a de la violence et du sang, et il est difficile je trouve de progresser dans la lecture et de découvrir le but de l'auteur. Cette série est-elle encore lue? Je ne sais pas... Peu importe, elle avait le mérite de faire s'évader, dans un univers très particulier, des gens qui rentraient chez eux, dans des trains de banlieues, après une longue journée de travail. Pas un chef d'oeuvre naturellement, mais j'ai déjà lu bien plus mauvais. En matière de lecture, il ne faut rien s'interdire.
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Cette série de Gérard de Villiers, "L'implacable" m'intriguait à la fin des années 70 début 80, car beaucoup de voyageurs des transports en commun la lisait... Curieuse, et en ayant déniché un, j'ai pensé "pourquoi pas?". Et je dois avouer que je m'attendais à pire, à bien pire, compte-tenu de la couverture sur laquelle est dessinée une pin-up nue. Il y a erreur sur l'illustration car il n'y a ici rien de chaud, ni de spécialement érotique, par contre il y a de la violence et du sang, et il est difficile je trouve de progresser dans la lecture et de découvrir le but de l'auteur. Cette série est-elle encore lue? Je ne sais pas... Peu importe, elle avait le mérite de faire s'évader, dans un univers très particulier, des gens qui rentraient chez eux, dans des trains de banlieues, après une longue journée de travail. Pas un chef d'oeuvre naturellement, mais j'ai déjà lu bien plus mauvais. En matière de lecture, il ne faut rien s'interdire.
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Citations et extraits (4) Ajouter une citation
Remo raccrocha et commanda au barman un verre d'eau de source. Un motard aux bras velus de gorille, coiffé d'un vieux casque allemand orné d'une croix gammée vint lui offrir quelque chose de plus fort.
- Je ne bois pas, répondit Remo. Je ne bois pas, je ne fume pas, je ne mange pas de viande et je ne nourris pas de pensées ambivalentes ou hostiles.
- Alors qu'est-ce que tu fais, pédale? demanda le motard en riant.
Il se tourna vers ses copains qui rigolèrent avec lui. Ils en tenaient un bon. Le dos du blouson portait en lettres roses et blanches "Crânes de Rats".
- Je suis chirurgien manuel, répondit poliment Remo.
- Ouais? Qu'est-ce que c'est, un chirurgien manuel?
- J'améliore les physionomies avec mes mains.
- Sans blague? Améliore un peu la mienne, pédé!
- Je peux? Merci de l'invitation, répondit Remo en quittant le comptoir pour aller à la table des autres Crânes de Rats.
- Eh bien, Messieurs, je vais vous montrer comment je peux cueillir un nez dans ma main, dit Remo.
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La porte tout juste passée, un jeune agent dit adieu à son petit déjeuner "café noir - cigarettes" sur tout le devant de son uniforme bleu, et le fit suivre de quelques nourritures solides de la veille. Il ne pouvait pas entrer dans cette pièce en sous-sol de Greenwich Village. Un inspecteur de la police de New York l'aida à remonter par l'escalier de fer jusqu'à la rue.
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La porte tout juste passée, un jeune agent dit adieu à son petit déjeuner "café noir - cigarettes" sur tout le devant de son uniforme bleu, et le fit suivre de quelques nourritures solides de la veille. Il ne pouvait pas entrer dans cette pièce en sous-sol de Greenwich Village. Un inspecteur de la police de New York l'aida à remonter par l'escalier de fer jusqu'à la rue.
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Remo éprouva de la compassion et de l'admiration pour Smith. Le pauvre homme avait failli être tué dans une explosion; il vivait maintenant à l'intérieur d'une bombe qui pouvait être déclenchée par Dieu savait quoi, et sa seule plainte était qu'il devait retourner à son bureau pour faire son travail.
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Video de Richard Sapir (1) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Richard Sapir
Rémo, sans arme et dangereux - 1985, adapté de "Implacablement vôtre'
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