Toute ma vie, les gens ont fait des commentaires sur mon corps, et si jai appris quelque chose en vivant dans ma propre peau, c'est que nul n'a le droit de juger un corps qui ne lui appartient pas. Gros, maigre, grand, petit- peu importe.
Mais « grosse », le mot qui me désigne le mieux, fait grimacer les gens et les fait palir. Pourtant, c'est ce que je suis: grosse. Ce n'est pas un mot vulgaire, et encore moins une insulte. Du moins, pas quand C'est moi qui le dis. Alors, tant qu'à faire, pourquoi ne pas commencer par là, histoire de pouvoir passer rapidement à autre chose ?
Le mot «grosse » met les gens mal à laise. Mais quand vous me voyez, la première chose que vous remarquez, c'est le volume de mon corps, de la même façon que la première chose que je remarque chez certaines filles c'est qu'elles ont de gros seins, des cheveux brillants ou des genoux cagneux.
Je crois que c’est là que j’ai décidé que ce n’était pas parce qu’on était doué pour quelque chose qu’on devait absolument le faire. Ce n’est pas parce que c’est facile que c’est bien.
Très bon roman de fiction qui colle à la réalité : de l'adolescence, de la culture américaine, de la culture texane. On s'attache à ce personnage atypique qui nous en fait découvrir d'autres. La lecture est facile et intéressante.
Parce que la vie n'est pas une rivière et qu'on ne coule pas tous dans la même direction.
Les détails, c'est ce qui fait toute la différence entre une victoire et un échec.
_Je vous rappelle le thème de cette année : "Le Texas, c'est trop sensass."
_Ouais, marmonne Hannah, parce que la grammaire c'est pour les faibles.
Il n'est pas de lien plus puissant qu'un adversaire commun.
Toutes les meilleures choses dans ma vie ont commencé par une chanson Dolly Parton.