*RÉFÉRENCE BIBLIOGRAPHIQUE* :
« La confession d'un enfant du siècle », _in_ _Oeuvres de Alfred de Musset,_ ornées de dessins de M. Bida, Paris, Charpentier, 1867, p. 432.
#AlfredDeMusset #LaConfessionDUnEnfantDuSiècle #LittératureFrançaise
Alfred de Musset/5
2 notes
Résumé :
La Nuit d’octobreAlfred de Musset, poète et un dramaturge français (1810-1857)Ce livre numérique présente «La Nuit d’octobre», de Alfred de Musset, édité en texte intégral. Une table des matières dynamique permet d'accéder directement aux différentes sections.Table des Matières-01- Présentation-02- La Nuit d’octobre
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Critiques, Analyses et Avis (1)
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"La nuit d'octobre" est le dernier poème du recueil des "Nuits" et il est magnifique.
Musset conte ici comment la tristesse et la mélancolie est compensée par la joie qui transcende ladite mélancolie, et c'est magnifique.
Dans cette petite pépite, on trouve conté tout le combat entre l'ennui et la joie de vivre, dans toute sa beauté, avec un lyrisme, une force poétique unique. Dans ce poème magnifique, unique, magique, profond, romantique, émouvant, Musset a mis un art rare.
Musset conte ici comment la tristesse et la mélancolie est compensée par la joie qui transcende ladite mélancolie, et c'est magnifique.
Dans cette petite pépite, on trouve conté tout le combat entre l'ennui et la joie de vivre, dans toute sa beauté, avec un lyrisme, une force poétique unique. Dans ce poème magnifique, unique, magique, profond, romantique, émouvant, Musset a mis un art rare.
Citations et extraits (3)
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Epargne-toi le tourment de la haine ; à défaut de pardon laisse venir l'oubli.
C'était un mal vulgaire et bien connu des hommes ;
Mais, lorsque nous avons quelque ennui dans le coeur,
Nous nous imaginons, pauvres fous que nous sommes,
Que personne avant nous n'a senti la douleur.
Mais, lorsque nous avons quelque ennui dans le coeur,
Nous nous imaginons, pauvres fous que nous sommes,
Que personne avant nous n'a senti la douleur.
"Te conter mes ennuis, mes rêves, mon délire,
Et t’en dire le temps, l’heure et l’occasion.
C’était, il m’en souvient, par une nuit d’automne,
Triste et froide, à peu près semblable à celle-ci ;
Le murmure du vent, de son bruit monotone,
Dans mon cerveau lassé berçait mon noir souci.
J’étais à la fenêtre, attendant ma maîtresse ;
Et, tout en écoutant dans cette obscurité,
Je me sentais dans l’âme une telle détresse
Qu’il me vint le soupçon d’une infidélité."
Et t’en dire le temps, l’heure et l’occasion.
C’était, il m’en souvient, par une nuit d’automne,
Triste et froide, à peu près semblable à celle-ci ;
Le murmure du vent, de son bruit monotone,
Dans mon cerveau lassé berçait mon noir souci.
J’étais à la fenêtre, attendant ma maîtresse ;
Et, tout en écoutant dans cette obscurité,
Je me sentais dans l’âme une telle détresse
Qu’il me vint le soupçon d’une infidélité."
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