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Citations sur Le Chandelier (6)

Je jure devant Dieu, Guillaume, qu'en présence de Jacqueline je n'ai jamais levé les yeux. Pas même en songe, je n'oserais l'aimer. Je l'ai rencontré au bal une fois : ma main n'a pas touché la sienne, ses lèvres ne m'ont jamais parlé. De ce qu'elle fait ou de ce qu'elle pense, je n'en ai de ma vie rien su, sinon qu'elle se promène ici l'après-midi, et que j'ai soufflé sur nos vitres pour la voir marcher dans l'allée.
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C'est M. Guillaume, un honnête garçon, bien rangé ; mes ses cheveux ne frisent guère, et ça fait pitié, le dimanche, quand il veut se mettre à danser.
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CLAVAROCHE, ajustant son uniforme.
Bah ! ce sont les grands parents et les juges de paix qui disent que tout se sait. Ils ont pour cela une bonne raison, c’est que tout ce qui ne se sait pas s’ignore, et par conséquent n’existe pas. J’ai l’air de dire une bêtise ; réfléchissez, vous verrez que c’est vrai.
Acte I, scène 1.
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Holà ! ma femme ! hé ! Jacqueline ! hé ! holà ! Jacqueline ! ma femme ! La peste soit de l’endormie ! Hé ! hé ! ma femme ! éveillez-vous ! Holà ! holà ! levez-vous, Jacqueline ! – Comme elle dort ! Holà, holà, holà ! hé, hé, hé ! ma femme, ma femme, ma femme ! c’est moi, André, votre mari, qui ai à vous parler de choses sérieuses. Hé, hé ! pstt, pstt ! hem ! brum, brum ! pstt ! Jacqueline, êtes-vous morte ? Si vous ne vous éveillez tout à l’heure, je vous coiffe du pot à l’eau.
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Fortunio :
L’étoile qui brille à l’horizon ne connaît pas les yeux qui la regardent ; mais elle est connue du moindre pâtre qui chemine sur le coteau.
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Quand je vous dis que je vous aime, vous croyez donc que je n'en sens rien ? Quand je parle de deux ans de souffrance, vous croyez donc que je fais comme vous ? Eh quoi ! vous me brisez le cœur, vous prétendez vous en repentir, et c'est ainsi que vous me quittez ! La nécessité, dites-vous, vous a fait commettre une faute, et vous en avez du regret ; vous rougissez, vous détournez la tête ; ce que je souffre vous fait pitié ; vous me voyez, vous comprenez votre œuvre ; et la blessure que vous m'avez faite, voilà comme vous la guérissez !
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