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3,63

sur 876 notes
Quelle femme extraordinaire que cette Marianne!
Un personnage qui m’attendris à chaque fois que je lis et relis le passage sur la condition de la femme commençant ainsi :"Qu’est-ce après tout qu’une femme ? L’occupation d’un moment, une coupe fragile qui renferme une goutte de rosée, qu’on porte à ses lèvres et qu’on jette par-dessus son épaule. Une femme ! c’est une partie de plaisir !
Ne pourrait-on pas dire, quand on en rencontre une : voilà une belle nuit qui passe ? Et ne serait-ce pas un grand écolier en de telles matières que
celui qui baisserait les yeux devant elle, qui se dirait tout bas : «
Voilà peut-être le bonheur d’une vie entière », et qui la laisserait passer ?".

Une féministe avant l'heure,si lucide sur sa condition,qui se rebelle contre toutes les normes sociales en vigueur à son époque.

Que d'esprit,que de raffinement dans ce petit bout de femme qui fait fi de toutes les contraintes pour être elle-même dans toute sa splendeur.
Elle s'affirme,s'affiche telle qu'elle est au plus profond d'elle-même et se moque de ce que les autres peuvent penser d'elle car elle ne souffre pas,elle n'est pas triste des projections que les autres peuvent avoir sur elle..C'est une splendeur d’authenticité qui vibre et livre des messages qui ne peuvent que toucher ma sensibilité de femme.
"Les caprices de Marianne" me transporte dans un univers de liberté assumée et délicate.
Un bijou de littérature dont je ne me lasse pas.
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Je m'attendais d'autant moins à apprécier cette pièce que je m'étais ennuyée à la lecture de "On ne badine pas avec l'amour". C'est donc une bonne surprise qui m'attendait.

On le sait, il n'est pas évident de lire du théâtre, mieux vaut le voir jouer, c'est son essence même. Je pense avoir trouvé un bon compromis avec le remarquable travail de mise en scène audio des donneurs de voix du site référence litteratureaudio.com #pagedepub dont je vous mets le lien ci-après. Grâce à leur talent, l'heure de repassage hebdomadaire n'est plus une galère !

Concernant la pièce - car vous êtes quand même là pour ça - il s'agit d'un romantique trio amoureux, romantique au sens littéraire bien sûr. Ce qui m'a le plus frappée, c'est qu'on oscille constamment entre comédie et tragédie avec un excellent équilibre entre ces deux dimensions opposées. Je me suis prise au jeu sentimental de Marianne, Octave et Coelio avec grand plaisir.


Challenge MULTI-DÉFIS 2020
Challenge XIXème siècle 2020
Challenge SOLIDAIRE 2020
Lien : http://www.litteratureaudio...
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Dommage, la fin est trop abrupte et plutôt ratée, mais sinon c'est une pièce agréable à lire, qui ne manque pas de charmes. Octave est un personnage séduisant, il y a de la finesse, de l'élégance dans la joie mélancolique de ce beau parleur qui aime la vie libre et joyeuse au pied du Vésuve, le vin de Chypre, les bruyants repas - qui fuit l'amour s'il n'a pas l'ivresse passagère d'un songe. Et Marianne a quelques belles répliques sur la condition de la femme.
Le mélange de légèreté et de cruauté ne serait pas fait pour me déplaire, mais le basculement de la comédie dans le drame est assez cahoteuse, ça ne fonctionne pas vraiment bien je trouve, ça aurait demandé à être plus travaillé, l'oeuvre aurait gagné à être étoffée.
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Pour la première fois que j'ai lu cette pièce je n'ai pas pu aller plus loin je trouvais l'intrigue trop banale. Mais j'ai eu la volonté de lire à nouveau la pièce, je me suis rendu compte de mon impatience lors de sa première lecture.

C'est une pièce de théâtre bien écrite, les phrases font tellement voyager qu'on prend gout à l'histoire et on se laisse emporter par la philosophie de chaque personnage. Les personnages ici sont plus convaincants que ceux de la nuit vénitienne. On se rattache à eux un peu plus facilement, chaque pas est exploitation de nouvel horizon, aussi l'apparition brève de la mère de Coelio qui lui raconte son histoire d'amour de jeunesse dans laquelle un amoureux s'est donné la mort pour elle....

C'est alors que Coelio décide d'abandonner sa quête envers la capricieuse Marianne dont il est très épris. Mais est-il que l'histoire peut-être vengeresse contre sa mère va le rattraper, si bien que cela coûtera à sa vie...

Une petite pièce de théâtre bien intime, l'auteur ne s'y prend pas la tête, le lecteur aussi bien sûr!
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Deux pièces de Musset cette année, deux pièces qui m'ont plutôt gonflée. Soit c'est pas de chance, soit il s'avère que, finalement, je n'aime pas le théâtre de Musset, soit je n'aime pas Musset du tout. Il faudra donc que je relise les pièces auxquelles je n'ai pas touché depuis bien des années et quelques autres œuvres pour en avoir le cœur net. L'avantage des Caprices de Marianne, c'est que ça se lit vite. le défaut, c'est que ça se lit vite.

Musset s'y amuse à reprendre une situation bien connue au théâtre : un jeune idiot, Coelio, se dit amoureux d'une jeune femme, Marianne, mariée à un vieil imbécile. Or, contrairement à ce qu'on peut voir en général dans le théâtre des XVIème et XVIIème, Marianne, bien que n'aimant pas son mari, n'a aucunement l'intention de tomber dans les bras d'un inconnu qui ne lui a même jamais adressé la parole. Coelio, lui, compte sur divers autres personnages pour jouer les intermédiaires, dont essentiellement son ami Octave, un jeune idiot cynique. Et contrairement à ce dont on a l'habitude dans ce genre de pièce, tout ça finit soudainement mal, de façon très emphatique.

Marianne est-elle une prude, une hypocrite, ou bien plus que cela ? On ne le saura pas, son personnage est peu développé. Si Musset met dans sa bouche des répliques cinglantes et un plaidoyer pour les femmes, que les hommes ne prennent que pour des objets de désir ou de mépris - selon qu'elles cèdent à leurs avances ou pas -, le titre laisse à penser qu'elle est inconstante, légère, versatile, etc, etc. Or ce n'est pas l'impression que donne le personnage, sinon par la faute De Musset qui la précipite dans une situation un peu vite amenée (elle décide de prendre un amant sur un coup de colère). Situation qui, d'ailleurs, n'induit pas un caprice pour autant. Quant au pluriel de "caprice", on se demande bien ce qu'il fait là.

En revanche, ça aurait clairement pu s'appeler Les Caprices de Coelio et Octave, tellement l'un se plaît à jouer - j'insiste que le terme "jouer" - les amoureux transis, malheureux, las de vivre, au point de se jeter dans les bras d'un funeste destin volontairement, de façon absurde et grotesque (ce qui colle assez bien avec l'étiquette de "comédie" qu'avait d'abord assignée Musset à la pièce), et tellement l'autre joue à la perfection les jeunes sots indolents et insolents revenus de tout. On notera que la situation de départ que j'ai exposée fonctionne très bien chez Molière et chez bien d'autres, parce que c'est une convention théâtrale communément acceptée. Ici, le mécanisme est (volontairement, je pense) grippé : Coelio n'ose même pas adresser la parole à Marianne, il n'est pas amoureux d'elle (mais il veut bien coucher avec elle), il se contente de jouer un rôle ; or, ce rôle, personne n'en veut. Ni Octave, qui s'en fiche pendant un long moment et qui prend la chose comme un jeu, ni, surtout, Marianne.

On a tellement insisté sur le fait que Musset avait clamé être à la fois Octave et Coelio que je ne reviendrai pas là-dessus. Mais, à regarder la pièce de près, j'imagine qu'il avait bien en tête, en l'écrivant, de faire de Coelio une caricature (du jeune homme romantique, de lui-même), tout en lui opposant un autre personnage tout aussi caricatural dans sa posture. Or, cette lecture que je pourrais faire de la pièce ne colle plus du tout avec la fin, très, mais vraiment très très précipitée, et notamment avec la toute dernière scène, où la posture ridicule de Coelio devient soudainement tragique et où Octave se met tout aussi soudainement à prendre au sérieux les soi-disant sentiments de son ami. C'est d'une grandiloquence que, d'abord, je déteste, et qui ensuite me paraît enlever toute cohérence à la pièce. Et puis cette fin m'a en sus un air de vite emballé qui sent le travail bâclé. Mais qu'a bien pu voulu faire Musset avec Les Caprices de Marianne ?

En somme, en sortant de ma lecture, j'avais la désagréable impression que Musset avait cherché, lui aussi, à jouer son rôle d'auteur romantique avec un peu trop d'application. Mais allez, comme je suis dhumeur indulgente aujourd'hui, je mets ça sur le compte de l'âge : Musset n'avait après tout en 1833 que 23 ans.



Challenge Théâtre 2018-2019
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Une pièce qui délivre ses charmes au fur et à mesure de la lecture.
On passe du pastiche des comédies classiques, plutôt réussi d'ailleurs avec quelques outrances, mais plutôt bien géré... A quelque chose de beaucoup plus fin et engagé sur l'image de la femme et sa liberté dans une société d'hommes... La pièce continue ensuite à évoluer mais je preserverais les lecteurs qui ne l'ont pas encore découvert de toute révélation...

C'est MON point de reproche et il ne concerne que l'éditeur. C'est un peu un de mes chevaux de bataille sur ce site... S'il vous plaît, arrêtez de croire, vous éditeurs de classique, que tout le monde connaît forcément l'intrigue de ces oeuvres... C'est terrible de tout faire pour ne rien savoir de l'histoire avant la lecture (en évitant par exemple soigneusement de lire ce satané quatrième de couverture pourtant si visible) ... Et de se voir dévoiler la fin par la quatrième note de bas de page ! Oui je revendique le droit de recevoir des informations sur le sens du texte par ces notes sans pour autant tout apprendre de l'histoire alors qu'un auteur s'est donné du mal à construire une progression dramatique... A bon éditeur, salut !
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Je me suis régalé, dans cette période de retour au théâtre, en revenant encore à ce sacro-saint XIXe siècle, et avec un auteur que j'oublie beaucoup trop souvent, dans ma foi aveugle et obsessionnelle pour Hugo, Baudelaire et Rostand (et à l'étranger, Pouchkine, Goethe...). J'avais adoré On ne badine pas avec l'amour, bien apprécié Lorenzaccio, mais Musset tend à s'effacer souvent dans mon esprit parmi mes références, et j'ai pris une leçon et piqûre de rappel dont j'avais besoin.

Le principe est très simple : Coelio est amoureux fou de Marianne mais ne fait qu'essuyer refus et indifférence, puisqu'elle est de toute façon mariée à Claudio. Coelio dépêche Octave pour porter à Marianne le message de l'amour, mais Octave, débauché et fou shakespearien, sans le vouloir, provoquera l'amour de Marianne pour sa propre personne, et les aléas multiples du coeur de Marianne causeront la fin funeste de Coelio, d'où le titre. Ce triangle improbable avait un peu des allures du Cyrano de Rostand soixante ans avant, à quelques différences près. La quatrième de couverture qui explique cela m'a instantanément rappelé le badinage fatal d'On ne badine pas avec l'amour, avec cette simplicité du dispositif théâtral autour de trois personnages, ce début dans la comédie et cette fin dans la tragédie. Je trouve que les deux pièces peuvent se rapprocher pour cette raison, mais beaucoup d'autres choses m'ont frappé avec Les Caprices de Marianne. Musset est un fan de Shakespeare, comme Hugo l'était, mais l'oeuvre De Musset rend beaucoup plus hommage au grand William par une parenté de leurs théâtres, de leurs univers, et un hommage constant, appuyé, de la part De Musset.

La pièce est qualifiée de "comédie" en première page, mais elle est comédie au sens qu'elle est jeu théâtral, bien plus qu'elle ne serait farce ou vaudeville, même si l'on s'amuse au départ. Lorenzaccio permettait les comparaisons avec Hamlet ou Jules César, cette fois, ça va encore plus loin : Il y a des mentions d'une Rosalinde (Comme il vous plaira) d'un Malvolio (en contraste avec Benvolio de Roméo et Juliette) et même le style De Musset, poétique, fou, parfois même un peu vague, notamment dans les répliques d'Octave, rappelait bien souvent celui que nous prêtons au grand William, via les traductions. L'obsession du double chez Musset est ici extrêmement présente. Tous les personnages peuvent être des doubles ou des miroirs inversés de l'un et l'autre, pas seulement Octave et Coelio, c'est fascinant. Il y a même mention d'une réversibilité des genres pour Octave, ce qui est très shakespearien.

On trouve des allusions et métaphores salaces osées, dont une fut censurée à l'époque. le personnage secondaire d'Hermia est très intéressant et à mon sens sous-utilisé. C'est la mère de Coelio, et le récit de son passé préfigure ce qu'il va arriver à son fils, comme pour rappeler la présence du Destin qui veille, le sort et le temps qui se répètent, mais surtout, la relation Hermia/Coelio est des plus ambigues et malsaines. Je ne peux pas ne pas mentionner l'échange savoureux entre Octave et Claudio digne des duels verbaux d'un Cyrano. Marianne, dans certains passages, par ses répliques, satisfera les plus progressistes parmi nous, de par l'indépendance qu'elle proclame, même si ses changements peuvent aussi être lus dans l'autre sens.

En somme, ce fut vraiment un plaisir comme il y avait longtemps. Je suis vraiment fana du XIXe romantique jusqu'à tomber dans l'auto-caricature, et cette pièce m'a rappelé mon enthousiasme perpétuellement renouvelé pour cette période, avec un auteur que j'ai trop tendance à délaisser, au privilège de mes plus grandes idoles.

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J'aime beaucoup le théâtre mais je préfère généralement le voir que le lire. Avec Musset, la donne est différente puisque sa pièce a été qualifiée d'« injouable » et que l'auteur lui-même prônait le « spectacle dans un fauteuil », c'est-à-dire le théâtre lu chez soi, confortablement installé dans un fauteuil, le théâtre qui n'est plus un art vivant, mais uniquement un genre littéraire. Bon, Les Caprices de Marianne a quand même été joué et je serais bien curieuse de voir une représentation de cette pièce.

Cette oeuvre De Musset porte bien son nom puisque les caprices de la très jeune Marianne constituent le noeud de l'intrigue. Coelio, héros romantique et mélancolique, est très amoureux d'elle. Malheureusement, Marianne est mariée au juge Claudio qui est beaucoup plus âgé qu'elle et très jaloux. Malgré cet obstacle de taille, Coelio fait connaître ses sentiments à la jeune femme par le biais de sérénades, de mots doux, puis par l'intermédiaire d'Octave, son ami, qui est un vrai « noceur », comme on l'aurait appelé à l'époque. Mais Marianne est fière, elle fait semblant d'être très pieuse – d'ailleurs, elle apparaît pour la première fois avec un livre de messe à la main – mais elle semble déjà désabusée et se fiche pas mal de l'amour passionné que Coelio a pour elle. Et là, c'est le drame, comme on dit…

Voilà donc une pièce que j'ai trouvée intéressante, notamment pour les réflexions des uns et des autres. Les propos de Marianne sur les femmes valent franchement le détour. Mais j'ai trouvé que le tout se déroulait très (trop) rapidement, la fin de ce drame arrive très brutalement et je n'ai pas compris l'amour obsessionnel de Coelio pour Marianne qui est mariée et l'a éconduit à de multiples reprises. Mais le coeur a vraisemblablement ses raisons, etc.

Malgré tout, je crois que Les Caprices de Marianne reste une pièce à lire (à voir aussi ?), confortablement installé(e) dans un fauteuil, chez soi (ou au théâtre ?).
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Coelio s'est entiché de Marianne, mais la belle est mariée au vieux juge Claudio et semble indifférente au jeune homme. Trop timide, Coelio envoie son ami Octave - cousin de Claudio - lui déclarer sa flamme. Marianne résiste, piquée. Et puis, à tout prendre, puisque son mari s'avère être un gros blaireau, pourquoi ne pas se laisser aller à quelques caprices...

J'ai eu envie de découvrir les textes De Musset en lisant une biographie de George Sand, interpellée par leur liaison tourmentée, curieuse de connaître sa vision de l'amour. Mauvais choix : ces 'Caprices de Marianne' ont été écrits avant leur rencontre. Pas grave, j'y reviendrai avec plaisir, cette lecture a été une découverte agréable. le schéma est classique et la distribution des rôles rappelle certaines pièces de Molière et de Shakespeare : l'amoureux, l'élue, le mari, l'entremetteur. Mais cette comédie dramatique réserve de bonnes surprises, certains échanges sont savoureux, l'intrigue est habilement construite et riche en rebondissements malgré sa brièveté (40 pages).
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" Les Caprices de Marianne" est une pièce théâtrale en deux actes. Elle fut
écrite par Alfred de Musset et jouée par La Comédie Française,le 14 juin 1851.
Il s' agit d' une tragi-comédie .L' intrigue de la pièce se déroule entre les
principaux acteurs qui sont :Marianne-Coelio-Octave- Claudio-Hermia. Et, les
deux ou trois autres qui restent sont des acteurs secondaires .
Coelio est un jeune homme, fils de Hermia. Cette dernière est la voisine
de Marianne.
L' intrigue ? Coelio, jeune homme, est éperdument amoureux de la jeune
femme, Marianne .Cette dernière est l' épouse du juge, Claudio .Le mariage
de Marianne avec le juge, Claudio, est beaucoup plus un mariage de raison
qu' un mariage d' amour . Coelio tente de se rapprocher de Marianne par
l' intermédiaire de sa servante afin de lui transmettre le message d' amour .
Marianne refuse ce que lui propose Coelio prétextant sa fidélité à son mari .
Coelio essaie d' utiliser Octave, cousin du mari de Marianne, pour approcher la femme.
Octave est un libertin, un vrai noceur . Il accepte d' intervenir pour son ami
Coelio. Aux cours de ces contacts, Marianne a, demi-mot, avoué son amour
pour lui . La femme donne un rendez-vous à Octave. Ce dernier ne voulant
pas trahir son ami , il le met au courant du rendez-vous.
le juge Claudio, soupçonnant sa femme d' adultère, charge des tueurs à
gage ( spadassins ) d' abattre tout homme qui s' approche de la maison .
le soir du rendez-vous, c' est Coelio qui vient . Il fut tué.
Après cela, Octave est accablé et il renonce à sa vie de plaisirs et repousse
violemment l' amour que lui déclare Marianne .
C' est une agréable pièce qui se laisse avec un certain plaisir .
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