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sur 407 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Je reste très dubitative sur ce livre, j'avoue être passée à côté, je n'ai pas compris le propos de ce roman.
Nous suivons une avocate choisie par un homme dont sa femme a tué ses trois enfants. Elle est persuadée que cet homme est celui, jeune ado, qu'elle a rencontré durant les heures de ménage de sa mère et qui l'a décidé à être avocate. En parallèle, elle essaie de faire légaliser une sans papier en l'employant comme femme de ménage chez elle et se rend compte que celle-ci la méprise. de plus ses parents ont l'air de vouloir la renier car elle recherche ce jeune homme dans leur mémoire, bref tout cela est embrouillé pour moi, j'ai continué le livre en me disant la fin va tout éclairer, et bien non, la fin est encore plus obscure que le début. Bref je n'ai rien compris ni au livre ni au titre.
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Complètement passée à côté, pas aimé le style, des constructions beaucoup trop alambiquées et lourdes à mon goût, et malheureusement je n'ai pas compris l'histoire, ça fait beaucoup pour un petit roman... Je suis d'ailleurs preneuse d'une petite explication de texte pour ceux qui ont saisi le sens de tout ça !
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C'est mon premier roman de Marie NDIAYE. Que dire ? Je n'ai pas aimé.
Je ne suis pas entré dans cette ou ces histoires de personnages éthérés, froids.
Est-ce ma condition masculine qui m'interdit de pénétrer cet univers où trois femmes, semble-t-il, veulent se libérer de tous leurs maux ?
La mère infanticide sous l'emprise de son mari, "mais" à ses dires.
L'avocate dont un souvenir "heureux" d'enfance revient à sa mémoire quand elle vit le mari de la maman infanticide. Souvenir heureux ou souvenir tronqué, souillé ?
Enfin la femme de ménage de l'avocate, personnage complexe dont je n'ai pas saisi ce qui l'emprisonnait.
Et sans doute le pire je n'ai pas aimé l'écriture, c'est lourd, répétitif et souvent confus.
Je vais quand même lire "Trois femmes puissantes", je ne veux pas rester sur une impression négative.
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Marie Ndiaye tient en haleine avec plusieurs histoires imbriquées sur fond d'injustice. Me Suzanne mandatée par Gilles Principiaux, qui aurait été à l'origine de sa vocation, mari de Maryline qui a tué ses 3 enfants, emploie une sans papier qui croit elle la hait. Beaucoup de suspens, mais, arrivée au terme du livre, rien! Aucune explication! Que quelques lignes simplistes pour justifier l'assassinat des enfants. Très décevant.
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Pourtant. Pourtant ... ça commençait bien. Jusqu'à la chute de Me Susane. je suis tombée avec elle, et je suis restée inconsciente.

Pourtant ... je n'ai pas peur des récits métaphoriques, mais lorsque les métaphores elles mêmes ne veulent rien dire ?

Pourtant ... l'histoire était lisible, et puis elle a disparue, une autre la remplace.
Pourtant ... non, autant pour moi, je n'ai rien à rajouter, car je n'ai rien compris.

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Je viens de terminer la lecture laborieuse de ce roman que je me suis efforcé de lire jusqu'au bout, espérant comprendre les personnages, l'histoire, le titre, et même la finalité du livre, et j'avoue humblement que je n'ai rien compris.
Alors je suis peut-être insensible à ce genre de roman, mais au-delà de cette incompréhension, ce qui me gêne beaucoup, c'est le style de l'auteure, assez pompeux avec des tournures de phrases trop tarabiscotées à mon goût, beaucoup trop de verbiage et de répétitions, et cette surabondance de l'emploi du "mais" et du "car" pour faire ressentir les bizarreries respectivement de la femme et du mari dans ce couple à l'histoire improbable qui ont amené à l'assassinat de leurs trois enfants par la mère, elle-même trop aimante ...
J'oublierai très vite cette lecture pénible, ainsi que l'auteure.
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Aucun plaisir à la lecture de ce livre ni sur le fond, ni sur la forme.
Plutôt du déplaisir d'ailleurs.
Hâte de finir.
A la fin de cette lecture, c'est l'adjectif "poisseux" qui me vient.

Mes tentatives avec cette auteure s'avèrent infructueuses.
"La cheffe, roman d'une cuisinière" m'avait quant à lui beaucoup ennuyée.



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Ouf j'ai réussi à terminer ce roman. Que dire? Il n'a rien d'attachant...les phrases sont à rallonge et c'est d'un ennui mortel. J'ai beau chercher quelque chose de positif....non, je n'ai pas compris où l'auteure voulait en venir. Heureusement qu'on m'en ait fait cadeau car j'aurais vraiment regretté mon argent !
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Je n'ai pas du tout aimé.
Le personnage principal est trop bizarre, antipathique, sans charme voir grotesque, on ne s'y identifie ni attache pas. Absolument tous les autres personnages sont antipathiques (voir benêts) - sauf peut-être l'enfant qui est juste un enfant mais qui reste pas très creusé. le rythme est lourdingue, répétitif avec plein d'apitoiements sur soi longissime et du ressassage a souhait. Tout est sous-entendu. Ça trempe dans le mystique et le paranoïaque. La fin est incompréhensible. Tout est bâclé : l'enquête et l'histoire des personnages.
Donc soit c'est mauvais, soit c'est brillant !
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Avec ce roman je me suis obstiné et j'ai été fort déçu.
Les personnages autour de Me Susane (qui ne sera jamais nommée autrement) ses parents Mme Susane et Mr Susane pour qui elle a une reconnaissance ambiguë.
Confusion pour le lecteur entre ce que Me Susane fait et ce qu'elle pense.
Pour ce qui est du couple Marlyne la meurtrière et Gilles le mari on s'égare et on patauge. La plaidoirie à la dernière page nous enfonce encore plus.
Il semble que l'auteur vise une inscription au Guiness des records pour l'emploi de conjonction de coordination : pp 114 à 123, compte rendu si on peut dire de l'interrogatoire de Marlyne, l'auteur utilise plus de 300 fois la conjonction "mais". Plus loin Gilles le mari toujours sans répondre à la question de Me Susane utilise lui la conjonction "car" : car oui Maître..., car oui..., car Maître... C'est très lassant. Il reste "or, ni, donc" pour d'autres romans mais je ne les lirai pas.
D'où vient l'expression "poser son acte" pour décrire ou expliquer les meurtres. Elle est employée trois fois par Marlyne et au moins une fois par Gilles.
L'obsession de Me Susane pour Sharon sa femme de ménage babysitter est incompréhensible pour moi et à la fin du roman on a droit sans transition à une ellipse géographique vers l'île Maurice qui pour moi n'apporte strictement rien au sujet.
Bref j'ai été fort agacé par ce roman qui ne mérite pas son titre La vengeance m'appartient.
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