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Les Porcs tome 1 sur 2
EAN : 9782953487947
1002 pages
Marc-Edouard Nabe (01/04/2017)
3.82/5   19 notes
Résumé :
Le premier tome (1000 pages) couvre les années 1999 à 2010, de la première rencontre Dieudonné-Nabe au clash Soral-Nabe. Il contient 319 courts chapitres. Cette sorte de chronique pamphlétaire et autobiographique (mais autobiographique a minima) raconte la montée du conspirationnisme en France à travers le regard de Marc-Édouard Nabe sur les acteurs de ce mouvement qui l'ont fréquenté durant les années 2000. On y croise, entre autres, les figures d'Alain Soral, de D... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (6) Voir plus Ajouter une critique
Blacklisté depuis des années par l'édition mainstream, Nabe sort une nouvelle fois un livre pour ses aficionados. Car Les Porcs est un investissement conséquent de lecture : 1001 pages, écrites en tout petit, pas de saut de chapitres... Ca vous bouffe 30-35 heures de votre attention, le tout sur la médiocrité du petit monde antisémito-complotiste de Paris... Tout mon objectif annuel de Zola y est passé, c'est dire si je suis indulgent avec le père MAN !

Petite présentation de l'auteur
Marc-Edouard Nabe était ce jeune écrivain prodige de la fin des années 80, sulfureux, dans la veine pamphlétaire en partie antisémite. Ecrivain honni, ce qu'il adore, mais désormais dans l'ensemble oublié, ce qu'il déteste. Toujours est-il qu'à l'époque, on l'a présenté comme le nouveau Céline. Pour plusieurs raisons (le style, les points de suspension...), mais en particulier pour la pincée d'antisémitisme qu'il s'amuse à saupoudrer sur tout ce qu'il écrit.

Qui sont les Porcs ?
Or dans les années 2000, l'antisémitisme, c'est Soral, c'est Dieudonné, etc., petit milieu antisémite que Nabe a bien fréquenté à l'époque. Et plus que fréquenté, il en a été, à l'écouter en tout cas, un inspirateur et un accompagnateur jusqu'à s'éloigner de ses compères alors qu'ils entraient dans leur phase conspi'. Les Porcs, c'est donc une charge contre eux, dans les années 2000: Soral, Dieudonné, et quelques autres figures mineures de cette bande pas très reluisante (Moix, Blanrue), ainsi que des victimes collatérales n'ayant rien à voir avec tout ça, mais qui ont eu le tort de fréquenter Nabe à cette époque. Charge d'abord tournée vers la rhétorique complotiste, véritable cancer mental, mais aussi - ce serait pas drôle sinon - contre les personnes, leur caractère, leur physique... bref tous le coups sont permis.

Sur tout ce qui bouge
Car Nabe plus encore que d'habitude, tire sur tout ce qui bouge, même ceux qui ont pu être son ami. D'ailleurs lui-même écrit le mot ami entre guillemets !... Car plus qu'une analyse du parcours intellectuel de la scène antisémite française (ou une partie d'entre elle), Les Porcs est est surtout une extension du journal intime de Nabe. Mois par mois depuis 2001, on a le droit à tous les faits marquants germano-pratins / showbiz de Nabe; “Nabe chez Ardisson”, “Nabe chez Taddei”, “Nabe humilie son webmaster”, “Nabe et le mythomane Soral”, “Nabe explique la vie à Dieudonné” sont en substance les messages les plus récurrents des quelques centaines de courts chapitres qui constituent ce premier volume des Porcs.

Sentiment mitigé
Sentiment mitigé, car le bouquin en dit au moins aussi long sur Nabe, son narcissisme, ses raccourcis de pensée et ses obsessions que ses anciens compagnons copieusement insultés, généralement sans grande finesse (“sous-merde”, etc.). Comme Rousseau dans ses Confessions, chaque événement de sa vie est abordé pour se justifier, se dédouaner, et beaucoup plus rarement (enfin, rarement chez Rousseau, jamais chez Nabe) pour remettre en question son comportement passé. On voit surprend l'auteur guetter, dans la presse, dans les émission de télé, dans la littérature, toutes les références à lui-même pour s'en vanter, ou pour déplorer leur absence.

Nabe se rend-il compte de cela ? Se rend-il compte que s'il ne vend plus, ou qu'on ne lui tend plus les micros, ce n'est pas parce qu'il dérange encore mais parce que plus personne ne s'intéresse vraiment à ce qu'il a à dire ? Que si ses “amis” lui font “des coups de pute”, c'est aussi parce que lui - en tout cas à l'aune de l'échantillon qu'il nous donne pour preuve - ne se gêne pas pour leur cracher ton son fiel dans leur dos ? Nabe ressemble à Harry Potter, mais c'est un Serpentard dans l'âme. Nabe doit bien s'en rendre compte un peu car il avoue dans l'ouvrage ne pas connaître et comprendre le sentiment d'amitié... Aveu comme toujours à prendre avec la précaution nécessaire quand on connaît son goût pour la provocation, mais qui ressemble fort à un accès de lucidité. le ton de L'Homme qui arreta d'écrire (livre écrit en parallèle des Porcs) semble aussi montrer qu'il sent bien qu'il devient has been et qu'il le prend à la lègère, mais c'est un Roman quand Les Porcs est un journal...

La quantité au détriment de la qualité
Mais si connaissant le personnage la dérive narcissique était largement prévisible - voire souhaitée par le lecteur !.. -, le déclin du style est plus décevant... Les seuls très belles pages du livre sont celles sur l'épisode de la révolte des ouvriers de Fourmies... écrites en 2007. de manière générale, que l'on est loin des fulgurances du Régal des Vermines, écrit à seulement 25 ans ! Même si ses vacheries font encore mouche et que le lire reste un exercice jouissif, l'on se demande parfois si Nabe n'aurait pas mieux fait d'arrêter la littérature précocément comme ses modèles Rimbaud et Lautréamont. Si Nabe ne vend plus, c'est aussi parce qu'il préfère désormais écrire des pages et pages sur sa vie mondaine que d'entretenir son style. Il aurait mieux fallu 300 très bonnes pages, que ces 1000 pages finalement peu travaillées. D'ailleurs, on aura la déception paradoxale de voir ce livre finir à la fois trop tard, car trop long, et trop tôt chronologiquement, avant que Soral finisse sa transformation en pur paria fou furieux. Ce sera parti remise pour les 65€ des Porcs 2.

Cela dit, on aura quand même le plaisir rare de le lire écrire du bien d'une autre personne que lui-même (!) ou que ses maîtres en littérature (tous morts bien sûr !), les Céline, Bloy & cie.: Jonathan Littell, et un Juif en plus... Comme quoi il aime encore surprendre, parfois.
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L'entreprise Dieudonné & Soral est une escroquerie. Et je ne parle pas seulement d'argent, mais d'esprit. Ils font croire à des millions d'abrutis que leur "dissidence" est la seule alternative à un système qu'ils font semblant de combattre. Ils retiennent en otages dans leur prison binaire tous les assoiffés de justice, parfois sincères, à qui ils ne proposent rien d'autre que de faire des quenelles ou de chanter la Marseillaise...

Non, la vie n'est pas binaire. Si je viens dire que Dieudonné est devenu un gros con, ça ne fait pas de moi un "soumis" à la Licra... Quant aux "sionistes", ils ne comprennent pas que son antisémitisme est le cheval de Troie de son complotisme. Ce qui unifie le public du bouddha Dieudonné, comme les disciples du Mandarom Soral, ce n'est pas la haine du Juif mais la haine de la Vérité. Dans un Zénith de 5 000 personnes, vous n'avez pas 5 000 antisémites. En revanche, vous avez 5 000 conspis qui croient que le 11 Septembre est l'oeuvre des Américains, ou que les chambres à gaz n'ont pas existé ! Dans les manifs du Jour de colère, je vous rappelle qu'on n'a pas entendu des slogans du style "Mort aux Juifs !", mais plutôt "Faurisson a raison !"

Le complotisme, c'est le nouvel opium du peuple

Tout ça, c'est la faute à Soral, ce raté des années 1980 qui me courait au cul... Comme je ne le consolais pas assez de son exclusion des médias, cette fiotte est allée lécher un autre cul, plus gros : celui de Dieudonné. C'est lui qui a "extrême-droitisé" Dieudonné. Combattre Israël est le dernier de leurs soucis. Ils ont déshonoré l'antisionisme. Pour eux, le sionisme, c'est juste une poignée de "Juifs du show-biz" qui les ont privés d'un commerce juteux. Alors, ils en ont créé un autre.

S'il m'avait écouté, Dieudonné serait le Coluche de la cause palestinienne. Car, en humour aussi, Dieudonné s'est perdu. Comment continuer à avoir de l'humour quand on est complotiste ? La différence avec Coluche, c'est que Coluche, quand il sortait de scène, était souvent pertinent et drôle. Tandis que lorsque Dieudonné redevient lui-même, c'est-à-dire "sérieux", il s'éteint. Il est débranché. Il est nul. Il est fade. Il est commun. Dieudonné a du talent mais pas de personnalité. Quand Coluche faisait rire des beaufs, c'était malgré lui, tandis que Dieudo, c'est en toute conscience qu'il fait rire des demeurés : des pro-FN, des pro-Bachar, des Beurs paumés, des conspis...

Riez (et payez bien sûr) !

Dieudonné est dans la fatalité. "Il n'y a rien à faire. Les sionistes dirigent le monde, et nous, on est des victimes." Surtout ne pas abattre le pouvoir, juste glisser une quenelle à ses dirigeants. Respecter les lois de la République, vanter la "démocratie" et défendre la "liberté d'expression", quel programme ! La révolution par la résignation... La quenelle est un acte de soumission. La preuve : les Arabes la pratiquent maintenant en chantant la Marseillaise et en arborant un drapeau français. Alors que leurs grands frères, il n'y a même pas dix ans, la sifflaient dans les stades. Et je n'ose pas imaginer ce qu'en penseraient leurs grands-pères torturés en Algérie par ceux-là mêmes pour qui "Dieudo" et "Alain" tapinent aujourd'hui...

Dieudonné aurait pu s'en sortir, la tête haute, même en allant très loin dans la provoc et la charge politique. À force de suivre Soral, pour des raisons que je révélerai dans mon énorme pamphlet, il s'est couché, mais personne ne semble le remarquer. Les larves du sous-monde d'Internet m'en veulent de l'avoir traité de "lâche" chez Taddeï, mais dès le lendemain, il apparaissait, défait, en tenue africaine traditionnelle, pour dire qu'il se soumettait à Valls en autocensurant son spectacle. Tout ça pour ne pas perdre les bénéfices de sa tournée annoncée... Dieudonné transforme son vin en eau. Tu parles d'un miracle ! Bientôt, il demandera pardon ! Rien de mieux qu'un boubou pour cacher qu'on a baissé son froc. "
Texte de Nabe paru le 5/02/2014 dans la version en ligne du Point
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Beaucoup trop de pages inutiles pour un livre sans intérêt. Il n'y a rien là dedans qui ne vaille la peine d'être lu pour la bonne et simple raison qu'on le savait déjà !

C'est surement par voyeurisme que j'ai voulu lire le livre de Nabe, pour en apprendre plus sur les coulisses de la dissidence qui passionnait bon nombre de gens la dernière décennie.

Mais au final : rien.

Tout ce que Nabe cite, explique, dévoile : on le savait déjà. Sur Soral et son passé de folle honteuse, sur Dieudonné et ses magouilles, Ardisson et ses trucages, Nabe ne nous apprend rien.

Il vit dans sa gloire passée constituée d'interventions à la télé dont il se vante constamment. Ca donne lieu a des passages vraiment risibles, comme lorsqu'il analyse 3 pauvres commentaires Dailymotion.

Il écrit des jolies phrases avec un certain style, c'est indéniable. Il a un talent pour salir les gens avec sa diatribe. Mais ça s'arrête là.

Comme Soral le dit à la fin de son livre, il n'a rien d'un grand écrivain, il s'imagine seulement l'être dans un style arrogant bourgeois.

Il n'a écrit aucun livre notable. Tout ce que j'avais lu de lui auparavant me semblait aussi fade que ce livre.

Vous n'y trouverez que des commentaires d'émission télé où il intervient et où il n'intervient pas. du narcissisme exacerbé sur chaque sujet qu'il aborde. Un antisémitisme d'apparat qui n'a jamais été pris au sérieux par qui que ce soit.

Ce livre est sorti beaucoup trop tard. Il est beaucoup trop long. C'est un pétard mouillé qui fait pshit. Je m'épargnerai le tome 2.
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Cet ouvrage a un vrai interet historique puisque l'auteur a été un spectateur au premier rang de la naissance de la "dissidence". J'avais lu "Bille Holiday" de Marc Edouard Nabe, j'avais beaucoup aimé le style de cet auteur, c'est indégniablement un écrivain de talent. Malheureusement ce talent est gâché par deux obsessions de Nabe : le besoin de régler ses comptes avec tout le monde (on ne voit pas qui trouve grâce à ses yeux) et la glorifications des terroristes. le dernier point je l'ai trouvé particulièrement écoeurant, à priori Nabe est connu pour cela mais ça n'en demeure pas moins choquant, par ailleurs les arguments avancés pour défendre l'indéfendable sont les pires poncifs tiersmondistes qu'on a pu lire ailleurs.
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On reste abasourdi devant ces mille et quelques pages de délire et d'immondices. Je dois avouer que j'ai jeté l'éponge assez vite.
Apologie du meutre, racisme, antisémitisme, homophobie, que sais-encore.. tout et tout le monde y passe. Et finalement un vide total de la pensée.
Et aussi l'étalage d'un certain nombre de névroses.
Il se donne pour modèles deux fous furieux, Céline et Léon Bloy, mais eux au moins savaient écrire.
Consternant.
La présentation du livre nous promet une dénonciation du complotisme. Crede mihi experto Roberto..
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Citations et extraits (4) Ajouter une citation
Calixthe était une sorte de kleptomane qui avait pathologiquement besoin de piller les livres des autres (principalement des Blancs) pour faire les siens, nuls bien sûr, et encensés uniquement par les vieux barbons, grigous plutôt, des Lettres. Tous sucés au préalable par la Noire grande gueule… Car Calixthe était une « pompeuse » à tous les sens du terme. Ce n’est pas pour rien qu’elle obtint en quelques années ces titres à mourir de rire : Chevalière de l’ordre des Arts et des Lettres ! Chevalière de la Légion d’honneur ! Grand prix du roman de l’Académie française ! Prix François Mauriac !… Les vieux étaient prêts à tout pour que Calixthe les pompe, ou plutôt les mâche… Les Académiciens étaient même allés jusqu’à signer une « Apologie du plagiat » (ils s’y connaissaient) pour la défendre contre Assouline le preux chevalier du Droit d’auteur… Pas si preux d’ailleurs, car lorsque plus tard son copain Joseph Macé-Scaron, une pourriture du Figaro Magazine, serait pris à son tour sa main gluante de pédé de droite anti-arabe dans le sac à couilles, c’est Assouline qui le défendrait… « Deux poids, deux mesures », dirait un dissident d’aujourd’hui ! Il faut dire que si la petite histoire ne dit pas si Assouline s’était fait sucer par Macé-Scaron, on sait en revanche qu’il ne se l’était pas fait par Calixthe, bien qu’ils aient tout tous les deux pour faire un bout de chemin ensemble… Le vieux Juif moche anti-négro et la belle antisémite noire, c’est un couple qui fonctionne ! J’en ai vu autour de moi toute ma vie.

Les Juifs sont répulsivement fascinés par les femmes noires. Dieudonné dirait que c’est parce que ce sont tous d’anciens négriers qui, ou bien se sentent coupables, ou bien veulent continuer autrement leur petit commerce. Mais non ! Ce sont les Juifs au contraire qui rêvent d’être les esclaves sexuels des Noirs, car ils sont parmi les seuls à n’être pour rien dans la Shoah… Lécher le cul des Noires, ça les change de se faire lécher le leur par des Blancs !… Quitte à se faire mettre une bite par quelqu’un, autant que celle-ci n’ait pas trempé dans la Shoah, mais plutôt dans le Shocolah…
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En ouvrant la trappe, les bourreaux de Saddam Hussein avaient ouvert la vanne. Et pas une déferlante de vidéo-gags de demi-stars plongeant dans des piscines vides ! Ou de bébés qui perdent leur tétine devant papa ému ! Ou de mémères qui regardent leur chat glisser sur une flaque de lait ! Fini ! Il avait fallu la mort en presque direct d'un mythe du XXe siècle pour que le monde prenne conscience qu'Internet était devenu le seul support capable de transmettre, en toute liberté et sans aucune censure, un événement historique d'une telle envergure. Voilà pourquoi la mort de Saddam sur le Net était l'événement le plus moderne de ce début de siècle. Même le 11-Septembre, chopé au vol par feu la télévision, était ringardisé. Grâce à la pendaison numérisée de Saddam Hussein, on savait désormais que l'Éternité aussi passait par Internet, une éternité au présent, et particulièrement au présent de la mort, à l'instantanéité de la mort présentée à tous, en même temps, pour toujours et à jamais. (page 407)
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Tant que j’attaquais les socialos, les médias, les antiracistes, et surtout « les Juifs », ça grossissait dans leur slip bleu blanc rouge, mais quand, logiquement je me mis à défendre les Arabes en lutte contre l’Occident, il n’y eut plus personne dans les pantalons ! Je perdis là une partie de mon « public » de révoltés contre le Système qui ne l’étaient pas tant que ça… Je le répète : attaquer les Juifs, oui ; mais défendre les Arabes, non !

En vérité, il fallait attaquer l’Occident, mais pas trop, et pas au point de lui faire mal et honte ! En me tournant le dos, mes ex-fans droitiers du Régal hostiles à Une lueur d’espoir se trahissaient dans leur occidentalisme protectionniste. Malgré tout, et contrairement à moi, ils préféraient essayer de sauver les derniers meubles de leur Nation, de leur Histoire, de leur Culture (toutes en morceaux) plutôt que d’applaudir à tout ce qui pouvait punir (islamiquement ou pas) cet Occident coupable en raison de son comportement criminel envers les autres et surtout envers lui-même.
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L'enfer est pavé de bonnes intentions, surtout quand ces pavés sont ceux de 68 !
p.584
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Vidéo de Marc-Édouard Nabe
LES PROVOCATEURS #2 : Marc-Edouard Nabe
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