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Critique de Alfaric
Dans le tome 1 le mangaka Go Nagai avait passé à la moulinette la démonologie médiévale pour construire une nouvelle mythologie à la Lovecraft. Et après avoir rejoué les rôles de Dante et Caron, Akira et Ryo se prépare à riposter contre démons.
Au début de ce tome 2, Akira subit les premiers effets de sa métamorphose, la personnalité de son hôte rejaillissant sur la sienne. Il devient fier, voire orgueilleux, agressif voire violent (bref il devient plus mâle, ce qui n'est pas pour déplaire à Miki ^^), terrorisant les voyous qui l'avaient terrorisés dans le tome précédent (et qui compteront plus tard parmi ses plus fidèles alliés…).
Alors qu'il pense être provisoirement en sécurité, c'est dans sa propre demeure que deux démons s'en prennent à lui et aux siens :
- Agwel, un démon qui manipule les éléments solides et qui peut se fondre en eux
- Ghelmer, un démon qui manipule les éléments liquides et qui peut se fondre en eux
Et alors qu'il pense avoir vaincu, Akira tombe dans le piège de Siren, l'amante infernale de son hôte Amon (qui souhaite le voir châtié par les cent généraux du roi-démon Zénon). Ryo arrivera-t-il à temps pour délivrer son ami Akira et lui donner une chance d'affronter d'égal à égal sa terrible adversaire ?
Un tome nerveux et rythmé, entièrement centré sur la confrontation entre Devilman et Siren. Go Nagai réussit l'exploit de nous faire partager les pensées de Siren, pleine d'orgueil et de haine, mais aussi de doutes et de peines. Et en utilisant l'expression « mon sang s'enflamme », Akira Fudo nous prouve bien que nous sommes avec cette série à l'aube de l'ère du nekketsu... Un récit efficace donc, mais qui à plusieurs reprises peut donner des impressions de déjà-vu parce que l'auteur pose ici tous les codes du manga horrifique, qui ont été maintes fois utilisés ensuite par des dizaines et des dizaines d'oeuvres...
Comme dans le tome 1, Akira n'hésite pas à prendre directement la parole pour s'adresser aux lecteurs, spectateurs de sa sombre transfiguration, de son drame personnel et de sa lutte désespérée... Et le pire reste à venir pour lui ! (donc le meilleur pour nous autres lecteurs ^^)
Au début de ce tome 2, Akira subit les premiers effets de sa métamorphose, la personnalité de son hôte rejaillissant sur la sienne. Il devient fier, voire orgueilleux, agressif voire violent (bref il devient plus mâle, ce qui n'est pas pour déplaire à Miki ^^), terrorisant les voyous qui l'avaient terrorisés dans le tome précédent (et qui compteront plus tard parmi ses plus fidèles alliés…).
Alors qu'il pense être provisoirement en sécurité, c'est dans sa propre demeure que deux démons s'en prennent à lui et aux siens :
- Agwel, un démon qui manipule les éléments solides et qui peut se fondre en eux
- Ghelmer, un démon qui manipule les éléments liquides et qui peut se fondre en eux
Et alors qu'il pense avoir vaincu, Akira tombe dans le piège de Siren, l'amante infernale de son hôte Amon (qui souhaite le voir châtié par les cent généraux du roi-démon Zénon). Ryo arrivera-t-il à temps pour délivrer son ami Akira et lui donner une chance d'affronter d'égal à égal sa terrible adversaire ?
Un tome nerveux et rythmé, entièrement centré sur la confrontation entre Devilman et Siren. Go Nagai réussit l'exploit de nous faire partager les pensées de Siren, pleine d'orgueil et de haine, mais aussi de doutes et de peines. Et en utilisant l'expression « mon sang s'enflamme », Akira Fudo nous prouve bien que nous sommes avec cette série à l'aube de l'ère du nekketsu... Un récit efficace donc, mais qui à plusieurs reprises peut donner des impressions de déjà-vu parce que l'auteur pose ici tous les codes du manga horrifique, qui ont été maintes fois utilisés ensuite par des dizaines et des dizaines d'oeuvres...
Comme dans le tome 1, Akira n'hésite pas à prendre directement la parole pour s'adresser aux lecteurs, spectateurs de sa sombre transfiguration, de son drame personnel et de sa lutte désespérée... Et le pire reste à venir pour lui ! (donc le meilleur pour nous autres lecteurs ^^)
