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Critique de Verdorie


Ce tome trois confirme ce qu'on avait déjà compris dans les deux précédents : l'arsenal d'armes que la longiligne Garami trimballe dans son chariot noir, fermé comme un coffre-fort et tiré par un impressionnant cheval-zombi, à été déterré dans les décombres d'une civilisation disparue...la notre !

Et quelles armes ! Elles ne sont jamais nommées et pourtant on reconnaît la mitrailleuse Gatling ainsi que le (inusuel) fusil de précision longue portée à munition 14,5 (que les russes ont fabriqué en "s'inspirant" du Browning 50 américain à cartouches 12,7) dont Garami se sert dans le tome deux. Ce volume-ci exhibe e.a. des Lee-Enfield, Garand, Mauser, M16... on remarque avec quelle précision et soin, le dessinateur sait restituer des détails dans le feu de l'action des batailles, assauts, poursuites à cheval et empoignades...

Ce volet apparaît donc plus orienté western. Or, c'est bien un "élément" fantastique qui met la vie du jeune Sona en danger près du baraquement de la guilde des armuriers-militaires dont Genzo Enfield (!) est le maître altruiste.
Volant alors au secours de son petit protégé, la carapace de glace de Garami semble (enfin) se fissurer...

Décidément, cette nana me plait !
(Mais je n'ai pas compris pourquoi ses seins ont pris tellement de volume d'un tome à l'autre...à moins de s'en servir également comme "armes", peut-être ?)
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