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Virginie Buhl (Traducteur)
EAN : 9782283023952
540 pages
Buchet-Chastel (10/09/2009)
3.77/5   285 notes
Résumé :
En 1903 à Chicago, l’homme d’affaires Edwin Cheney et son épouse Mamah Borthwick Cheney passent commande de leur nouvelle maison à l’enfant terrible et déjà célèbre de l’architecture américaine, Frank Lloyd Wright.

Six années plus tard, la bonne société de Chicago et la presse américaine sont secouées par le plus grand scandale de ce début de siècle : Mamah, tombée entre temps passionnément amoureuse de Frank, quitte Edwin et leurs deux enfants pour s... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (62) Voir plus Ajouter une critique
3,77

sur 285 notes
Quand en 1903, le plus célèbre des architectes américains du début du XXe siècle, Frank Lloyd Wright, et une de ses clientes, Mamah Borthwick Cheney, décident de tout plaquer et partir en Europe vivre leur amour, la société américaine puritaine ne va pas leur faire de cadeaux.

Mais peu importe, pour eux la morale de l'Amérique n'est pas la leur. Mamah veut s'épanouir en tant qu'intellectuelle libre de ses choix, même si le prix à payer est de ne plus voir ses enfants que de loin en loin. Frank quant à lui laisse six enfants et une femme qui refuse le divorce. Mais les deux amants qui ne sont pas sans culpabilité sont loin d'imaginer la violence du dénouement de leur passion.

Une fiction historique passionnante qui nous plonge sur fond d'émancipation féminine dans l'histoire d'un architecte hors norme iconoclaste et visionnaire, et d'un couple qui pour vivre son grand amour a laissé tomber conjoint et enfants, bravé l'opprobre — et choisi une liberté infiniment plus exigeante que l'aurait été toute forme d'obéissance aux impératifs de la morale et des convenances.

Challenge MULTI-DÉFIS 2020
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1903: Mamah Cheney et Franck Lloyd Wright tombent follement amoureux l'un de l'autre. Problème: ils sont mariés, mais pas ensemble.
De la cour des Valois à l'Amérique du début du XX°, peu de différence: tels la princesse de Montpensier et le duc de Guise dans la nouvelle de Mme de Lafayette, la grande bourgeoise féministe et l'architecte star succombent aux affres de l'adultère et sacrifient en plus de leur réputation leurs enfants (qui n'étaient pas un sujet sous l'Ancien régime).
La question de l'honneur, rebaptisée « intégrité » reste, elle, bel et bien au coeur du débat: comment être digne de soi? Doit-on accepter de vivre dans le mensonge ou tout sacrifier crânement à de hautes aspirations ? Mamah va tout perdre: ses enfants, sa vie facile, la reconnaissance sociale. Elle découvre la culpabilité, la solitude, la pauvreté et trouvera une issue dans ses propres ressources intellectuelles.
La passion amoureuse n'est plus ce danger contre lequel mettait en garde Mme de Lafayette : elle est devenue le symbole même de l'honnêteté, et les enfants ne font les frais de cette nouvelle revendication que parce que l'hypocrisie sociale n'admet pas le divorce.
Ainsi nous balade la première partie de cette biographie romancée, comme la quête d'une indépendance sur fond de revendication suffragette tandis que Wright ajoute sa caution révolutionnaire, lui qui rejette les conventions victoriennes au profit d'une architecture organique et libératrice.
A moins que ce couple représente moins la modernité en marche que la persistance des valeurs aristocratiques.
L'aristocrate est persuadé de sa supériorité intrinsèque. Tout lui est dû, d'autant plus qu'il a l'amabilité sereine de ceux à qui tout sourit. Esthète raffiné, il puise dans les poches des autres pour s'offrir ce à quoi il a droit, tel Don Juan estimant que M. Dimanche est bien heureux de se faire détrousser par un homme tel que lui. Wright vit à crédit sans le moindre scrupule. Mamah se laisse entretenir sans trop se poser de questions et s'aperçoit tardivement que sa propre liberté a été payée par le sacrifice de sa soeur, la disparition de sa nièce, les efforts de ceux qui l'entourent pour gérer le quotidien et permettre à notre couple d'exprimer sa créativité sans être bridé par les contingences matérielles.
Quand le petit personnel ne donne plus satisfaction, il peut, comme le cuisinier Vatel, se suicider dans la plus totale indifférence (je ne connais rien de plus incisif concernant les rapports de classe que la lettre de Mme de Sévigné relatant cette mort). Ou alors il la joue à la Nat Turner.
Peut-on être libre en comptant sur le dévouement d'autrui? Peut-on être démocrate quand on fait des maisons que seuls les plus riches peuvent s'offrir ? Peut-on être dans le sens de l'histoire quand on est privilégié ? L'histoire (vraie) de Mamah et de Franck nous pose de troublantes questions auxquelles nous ne désirons guère apporter de réponses.
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Mamah Borthwick est une très belle femme, intelligente, cultivée, polyglotte, féministe, rêvant d'indépendance et de liberté. Ed Cheney décide de faire appel à Frank Lloyd Wright, jeune architecte de Chicago, pour lui construire sa maison ; il est loin de se douter que lors de cette rencontre son épouse et l'architecte vont tomber amoureux. Ce sera le début d'une passion, en dépit de la morale puritaine.

La richesse de cette biographie romancée se trouve principalement dans le sujet qui nous permet de suivre en contre-point la vie de Frank Lloyd Wright. L'auteur a indubitablement consulté de nombreuses sources mais son récit devient rapidement lassant. C'est très (trop ?) long, les faits s'enchaînent et sont comme plaqués sur la réalité, les descriptions laborieuses, les dialogues sonnent souvent creux. de plus, elle insiste lourdement sur la fin tragique de cette relation.
Ce livre peut être utile pour qui s'intéresse à cette période, notamment à la lutte menée par le mouvement féministe.


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Commandé le 24 juillet 2020 – Librairie Caractères/ Issy- [ Lu en décembre 2021 ]

La chronique très enthousiaste de l'amie palamede en juillet 2020 m'avait incitée à commander cet ouvrage autour de l'architecte, Frank Loyd Wright… il attendait patiemment sur mon très impressionnante PAL… Je le débute enfin, désirant ensuite le transmettre et l'offrir à un ami, architecte à la retraite , en complément de surprise pour le Sapin de Noël…

Fiction historique des plus captivantes, documentée par l'autobiographie de Frank Lloyd Wright, par les lettres de Mamah Borthwick et par les articles abondants dans la presse de l'époque, « Loving Frank » mêle tout à la fois Histoire amoureuse, émancipation féminine et une plongée dans l'univers créatif, singulier, d'un des plus grands maîtres de l'architecture moderne…Ouvrage que j'ai lu « voracement » en une nuit…

Etant depuis des années passionnée par l'histoire de l'Architecture, j'avais bien en tête les réalisations principales de F.L. Wright, ses conceptions innovantes… ce roman historique nous fait entrer de plus dans l'univers mental, psychologique d'un créateur génial, mais au caractère des plus complexes…idéaliste, intellectuel brillantissime curieux de tout, charmeur, charismatique, avec un rapport opaque à l'argent, un brin mégalomaniaque…

« A peu près tous les habitants d'Oad Park se débrouillaient pour passer devant la nouvelle maison des Heurtley sur Forest Avenue. C'était soit une scandaleuse aberration, soit une oeuvre de génie, selon ce que vous inspirait son architecte Franl Lloyd Wright. Une "maison-prairie", disaient certains à propos des assises de briques étroites et allongées qui y couraient à l'horizontale comme les lignes des plaintes de l'Illinois.
Quand je la vis pour la première fois, la maison des Heurtley m'apparut comme une grosse boîte rectangulaire. Mais une fois à l'intérieur, j'eus l'impression de respirer. Tout n'était qu'espace, chaque pièce s'ouvrait sur la suivante, les poutres naturelles et les boiseries couleur écorce luisaient doucement et une lumière divine filtrait à travers les vitraux verts et rouges. le lieu dégageait une atmosphère sacrée qui rappelait une chapelle de campagne. (p. 17)”

Je le proposerai à mon ami , architecte… mais j'ai un bémol à exprimer… Peur qu'il y ait trop de place pour l'histoire romanesque, sentimentale par rapport à l'oeuvre même et au parcours de cet architecte, même si on apprend un nombre certain de détails et d'informations…sur ses réalisations avant-gardistes !

Ce roman, fort bien documenté par ailleurs, ne concerne qu'une partie de la vie d'un des plus grands architectes américains, entre 1903 et 1914… où un architecte original, génial va construire une maison pour un couple ; maison type de toutes ses idées avant-gardistes. Il tombera amoureux de l'épouse de son client et réciproquement… et suivront quelques années aussi passionnelles , intenses que cauchemardesques, car ils ont chacun, abandonné leurs foyers respectifs…au grand dam d'une société américaine puritaine, et d'un conformisme impitoyable, principalement envers les « Femmes » , ne restant pas dans « les rails »!
Un amour fou, complet, amoureux aussi bien qu'intellectuel…où chacun soutient l'autre dans ses exigences d'accomplissement…créatif et intellectuel !

L'auteure rend bien le caractère génial, innovateur mais complexe, ingérable de Frank Loyd Wright…dans de nombreuses descriptions, analyses de sa personnalité… dont dans les deux extraits suivants :

« Elle aimait la versalité intellectuelle de Frank ; lui qui passait ses journées à assembler des formes géométriques, il savait aussi s'exprimer par écrit avec une certaine verve et jouer du piano avec autant de brio que de sentiment. Quant à son âme extraordinaire, il suffisait de contempler les maisons qu'il concevait pour la voir exposée aux yeux du monde.
Mamah s'aperçut qu'elle l'aimait exactement pour les traits de caractère qui faisaient tiquer les autres. Il n'avait pas peur de dire ce qu'il pensait. C'était aussi un véritable excentrique chez qui elle retrouvait les frasques qu'elle en était venue à admirer chez son propre père. Une personne aussi sensible que Frank à l'harmonie de la nature, aussi encline à réfléchir en dehors des sentiers battus, ne se soumettrait pas si facilement aux contraintes sociales. « (p. 62)
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« Elle tomba sur quelques vers de Wordworth qui semblaient décrire Frank Lloyd Wright : " Il est un obscur et mystérieux travail qui rassemble les éléments discordants et les unit en un seul tout." Frank était tout cela à la fois: un homme-orchestre capable de créer une harmonie transcendantale, aussi bien qu'une cacophonie de cymbales.
Mamah avait toujours cru que l'âme de Frank se reflétait dans son oeuvre. Qu'il était bien l'homme qu'il croyait être: aussi fidèle à ses idéaux qu'on pouvait humainement l'être. « (p. 453)

Le récit se fait à la troisième personne du singulier,ce « ELLE » représentant l'amoureuse compagne, Mamah [Borthwick]…
A travers cette dernière, et son propre parcours de traductrice, d'écrivain en devenir, l'auteure nous fait découvrir ses propres curiosités et convictions à travers son enthousiasme pour une partie de l'oeuvre de la philosophe suédoise féministe, Ellen Key, dont elle traduisit plusieurs essais. Elle ira même jusqu'à apprendre le suédois…Mamah, tout en admirant et en aimant passionnément F.L. Wright, était devenue aussi exigeante envers ses propres compétences et son parcours individuel à construire. Une personnalité aussi indépendante, que brillante , maîtrisant plusieurs langues, ayant des projets d'écriture et d'ouvrage touchant les combats vécus des femmes…voulant se battre pour leur propre existence, et leurs talents distinctifs, en plus de leurs rôles obligés maternel et marital !

Un couple hors-norme, talentueux… que la presse persécuta d'une avalanche de diffamations, plus l'arrivée imprévisible d'une tragédie, qui brisa de la façon la plus cruelle et injuste ce couple que l'on ne peut qu'estimer pour leur courage, leur amour exigeant et constructif, un art de vivre avec les autres… Je n'en dirai pas plus.
Un livre , des êtres de chair et de sang… aussi attachants que captivants de par leurs fortes personnalités singulières et lumineuses , qui me resteront longtemps en mémoire!
Merci à Nancy Horan pour son talent à rendre de façon très vivante et impartiale ces deux destinées exceptionnelles !
Même si j'aurais aimé aussi que l'équilibre narratif se fasse plus nettement avec des parties plus développées sur les changements fondamentaux dans une société américaine au tout début du XXe siècle ; société en pleine mutation et bouleversements dans le quotidien des hommes et des femmes : dans les droits, dans les difficultés économiques, les pressions religieuses, l'approche d'une guerre en Europe…etc.



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En 1900, dans l'Amérique pudibonde, être une briseuse de ménage était une chose impensable. Il fallait une dose d'inconscience, une indifférence du « quand dira-t-on » ou tout simplement un sentiment amoureux si fort que tout est balayé.

Ici, l'objet du délit n'est pas le jardinier mais l'architecte en vogue, Frank Lloyd Wright, nouvelle coqueluche des grands bourgeois américains qui cherchent tous à se faire construire une maison dans le style Art déco. Elles sont si modernes, ces nouvelles maisons, si lumineuses !

La très respectable famille Cheney n'imaginait pas la dévastation que ce contrat allait provoquer. La passion amoureuse de Mamah et de Franck va grandir en même temps que la construction et les amants devront s'exiler en Europe, laissant derrière eux conjoints et enfants respectifs.

Le couple maudit se reconstruit néanmoins, dans un quotidien fait de secrets, de culpabilité, de rapport de force avec la société. L'éloignement sera inévitable vers les contrées désertiques de l'Arizona. C'est une histoire de vie extrêmement forte dont la fin sera dramatique, comme un jugement de Dieu vengeur.

J'ai eu un vrai coup de coeur pour ce parcours clandestin, plus noir que romantique, sur fond de scandale et de féminisme. Par la reconstitution fictive de la véritable histoire d'adultère, l'auteure construit avec une belle imagination une figure de femme inoubliable, intellectuelle et libre, une femme qui assume ses choix en dépit des difficultés, aux côtés d'un homme qui n'a pas toujours le beau rôle.

Revisiter le travail de F.L.Wright est un indispensable complément de lecture, pour s'immerger encore davantage dans le travail de recherche remarquable de Nancy Horan.


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Citations et extraits (40) Voir plus Ajouter une citation
Elle s’était toujours considérée comme quelqu’un de profondément moral. Pas une prude, loin de là, mais une femme bien. Honorable. Elle ne se permettait pas de souligner les passages d’un livre de bibliothèque, ne laissait pas le boucher se tromper en lui rendant sa monnaie. Comment avait-elle réussi à se convaincre que commettre l’adultère avec le mari d’une amie n’avait rien de répréhensible ?
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A peu près tous les habitants d'Oad Park se débrouillaient pour passer devant la nouvelle maison des Heurtley sur Forest Avenue. C'était soit une scandaleuse aberration, soit une oeuvre de génie, selon ce que vous inspirait son architecte Franl Lloyd Wright. Une "maison-prairie", disaient certains à propos des assises de briques étroites et allongées qui y couraient à l'horizontale comme les lignes des plaintes de l'Illinois.
Quand je la vis pour la première fois, la maison des Heurtley m'apparut comme une grosse boîte rectangulaire. Mais une fois à l'intérieur, j'eus l'impression de respirer. Tout n'était qu'espace, chaque pièce s'ouvrait sur la suivante, les poutres naturelles et les boiseries couleur écorce luisaient doucement et une lumière divine filtrait à travers les vitraux verts et rouges. Le lieu dégageait une atmosphère sacrée qui rappelait une chapelle de campagne. (p. 17)
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"J'imagine que je ressemble un peu au tronc d'un cactus, lui avait-elle expliqué un jour. J'absorbe une certaine quantité de culture et de sociabilité au contact de mes amis, puis je me replie sur moi-même et j'en vis pendant un certain temps, jusqu'à ce que j'aie de nouveau soif. Il n'est pas bon d'entretenir une telle autarcie, une sorte d'exil volontaire, en fait. Cela vous rend différente "
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Je veux vous parler aujourd'hui de l'amour le plus noble: celui qui unit l'intelect et l'érotisme. Quand les deux amants n'aspirent qu'à devenir un seul et même être, à s'accorder une liberté absolue et à s'épanouir ensemble, nous avons alors affaire à la forme d'amour la plus belle que puissent partager un homme et une femme du même milieu moral et intellectuel. Connaitre un tel amour, c'est se sentir dédoublé. Un tel sentiment affranchit et enrichit une personnalité, nous inspire des actes nobles et des oeuvres de génie. Quand ce grand amour survient - et cela n'arrive qu'une fois dans une vie - il l'emporte légitimement sur tout autre sentiment. L'amour parfait impose ses droits sur une existence.
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"Cette conversation vous ennuie ? lui demanda Else au bout d'un moment.
- Pas du tout. Je m'intéresse beaucoup à l'art moderne.
-Sans ce cas , Berlin est la ville qu'il vous faut. Les modernistes, les expressionnistes, les sécessionnistes. Sans parler des cubistes ! Cette ville est pleine de "istes" les écrivains et les peintres viennent des quatre coins du monde et la rencontre est féconde. (p. 287)
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