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EAN : 9782070135059
240 pages
Gallimard (05/01/2012)
2.97/5   51 notes
Résumé :
« Elle n'avait pas eu une vie facile. Elle passait les détails, mais ce qu'il fallait qu'il sache, et puisque ça lui viendrait aux oreilles un jour ou l'autre elle devait le lui dire, c'est que les quatre hommes qu'elle avait aimés depuis son divorce étaient morts. Maurice faillit s'étrangler.
Ils sont morts de quoi ?
De mort naturelle, pardi !
Et ce fut elle qui s'étrangla de rire. Maurice la regardait, de plus en plus fasciné. Cette femme étai... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (15) Voir plus Ajouter une critique
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Marianne admirait sa cousine Martine quand elles ont passé des vacances ensemble chez leur grand-mère. Marianne avait neuf ans, Martine treize. La grande prenait un malin plaisir à jouer les affranchies devant sa cousine timorée et la poussait à faire des bêtises. Elles n'avaient pas la même vie : Martine subissait la misère et les coups, Marianne était élevée dans un cocon.
Les cousines ne se sont guère revues depuis.
Elles se retrouvent plus ou moins par hasard une trentaine d'années plus tard. L'occasion pour Marianne de se rapprocher de sa famille maternelle. Triste famille en vérité où les mères rudoient les gamins, où les femmes sont alcooliques, dominent mais se font néanmoins copieusement tabasser par leurs hommes encore plus ravagés qu'elles par la picole.
Après avoir occupé des postes confortables de graphiste-designer, Marianne est au chômage. Elle y voit l'opportunité d'écrire un livre sur cette cousine. Elle la rencontre fréquemment sous ce prétexte. Elle s'y brûle les ailes, se mettant à boire elle aussi - passerelle obligée pour renouer avec cette famille dont sa mère l'a toujours tenu à l'écart ? Auto-complaisance au malheur dans cette quête étrange et dangereuse qu'elle ne comprend pas elle-même ? Rôle trouble de la cousine qui l'entraîne plus ou moins volontairement de l'autre côté du miroir ?

Terrible récit dont le côté sordide rappelle le 'Darling' de Jean Teulé.
Réflexions intéressantes sur les relations mère-fille, le poids de la famille, la fascination du glauque même (ou surtout ?) quand il est si proche... mais chez les autres.
Quel dommage que l'auteur finisse par nous enliser dans les jérémiades nombrilistes de la narratrice. Elle en voudrait à sa mère qui, en coupant les ponts avec sa famille, l'a empêchée de tutoyer la misère ? Pauvre petite fille un peu riche jusqu'alors épargnée par les problèmes financiers et le mal de vivre, le dégoût de soi. Pauvre femme privilégiée qui envierait ceux qui méritent la compassion des autres, telle cette cousine dans la mouise, alcoolique depuis l'adolescence, et brutalisée ?

Ne vous laissez pas tromper par le titre : cet ouvrage est noir et dérangeant, mais ce n'est pas un roman policier. On ne le lit pas dans le même état d'esprit qu'un thriller, loin s'en faut.
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Plusieurs années ont éloigné Marianne de sa famille maternelle. Et en retrouvant sa cousine Martine, l'idée lui vient d'écrire un roman sur qu'elle considérait comme son modèle lors de leur jeunesse. Aujourd'hui, Martine vivote dans un univers glauque dans son pavillon de Rambouillet, où l'alcool côtoie l'embarras quotidien de devoir compter chaque sou.
Durant ses visites régulières chez elle, Marianne se laisse conter les désastres conjugaux de sa cousine et de sa tante Biquette. Alors, les souvenirs de Marianne abondent d'anecdotes familiales dans l'intervalle de leurs rendez-vous. Mais malgré le constat de l'écart social entre ces deux femmes, Marianne reste envoutée par cette cousine atypique…
MON AVIS
Le titre « Les raisons de mon crime » m'a induite en erreur. Je m'interroge sur ce choix, car le récit ne mentionne aucun crime. Voici mon idée (loufoque, j'avoue !) : Peut-être qu'à l'instar des albums éponymes de notre enfance, les « Martine », on aurait pu intituler celui-ci : « Martine devient alcoolique », ou « Martine attend les allocations » :).

Ici, très noir, l'ouvrage me laisse un goût amer. On ressent un malaise de bout en bout. de plus, la vénération de l'héroïne pour sa cousine Martine se comprend mal. Vu le personnage, l'on se questionne alors encore plus sur cette volonté de lui consacrer un livre. C'est pourquoi ses souvenirs de la jeune Martine semblent tronqués. En effet, il est difficile d'apprécier l'adolescente pétillante promise à un bel d'avenir, quand on perçoit surtout l'image d'une peste.

D'un autre côté, les ingrédients utilisés pour décrire cette famille déjantée se révèlent d'une tristesse tellement affligeante que l'on peine à s'émouvoir pour ses membres. Les liens affectifs distendus s'affranchissent de toute solidarité filiale, et ne s'encombrent pas d'obligations morales. le résultat est pitoyable.

C'est assez surprenant comme chacun peut choisir sa voix au sein d'une même famille.

Et bien qu'il ne soit pas très long, ce livre a réussi à m'ennuyer. En plus, si le fond du récit m'a refroidie, l'écriture ne m'a pas non plus conquise. En effet, l'auteur fait des apartés sans transition. Là, elle fait parler divers membres de sa famille (présents, absents, ou mort) qui s'adressent à elle. Ce procédé, au lieu d'ajouter du rythme perd un peu le lecteur (en tout cas moi), car on ignore de qui il s'agit si l'on n'y réfléchit pas. Et du coup, la fluidité se rompt et cela déstabilise, hélas !

L'environnement de Martine renforce l'impression de pénétrer dans l'univers de Zola. Dans ce Zola du 21e siècle, sordide, l'atavisme de l'alcool, l'oisiveté, se répand. Il prend l'allure d'une misère sociale « contentée » et acceptée, grâce à l'obtention fallacieuse d'allocations.

Bien sûr, mon avis cinglant sur ce livre n'engage que moi, c'est pourquoi je vous laisse faire votre propre opinion.
Lien : https://lesparolesenvolent.c..
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Voilà un livre que j'ai trouvé exigeant avec son lecteur. Nathalie Kuperman fait partie pour moi des écrivains de talent du XXIème siècle. Elle n'est pas seulement une raconteuse d ‘histoires. Ses romans sont aussi des terrains d'expérimentation pour questionner des thématiques profondes : la maternité et l'amour filial, l'inscription dans les gènes de l'histoire familiale ou encore les moteurs de l'écriture romanesque. le récit est ici construit en une vaste boucle qui commence à l'enterrement de la tante de la narratrice, Marianne et qui y reviendra pour conclure la démonstration. La romancière va s'attacher à justifier « les raisons de son crime ». Celui de Marianne, le sien, celui de bon nombre d'auteurs de roman. Dans la genèse d'un roman, il y a souvent un besoin cathartique d'exploration d'un drame familial, d'un secret enfoui, de sentiments puissants de l'enfance, de souffrances à expurger une bonne foi pour toutes. Marianne va retrouver lors de ces obsèques réunissant toute la branche maternelle de sa famille, sa cousine Martine dont elle a été séparée par sa mère qui jugeait ce côté de la famille non fréquentable. Attirée comme un papillon par la lumière, Marianne qui était fascinée par l'aplomb, la beauté sauvage et l'arrogance de sa cousine, retombe sous le charme pervers de cette femme aujourd'hui rongée par l'alcool et la misère. Marianne est dans une situation difficile, séparée du père de sa fille, elle vient de perdre son travail. Au lieu de rebondir et de prendre en main sa vie, sous prétexte d'écrire un roman sur Martine, elle va s'engluer dans son histoire familiale, chercher à dénouer les liens qui unissaient les membres féminins de cette branche maternelle et au final, s'emmêler volontairement dedans. Comme soumise à un déterminisme génétique, elle s'englue dans la dépression et l'alcool en prenant un malin plaisir à singer ces figures féminines monstrueuses dont sa mère a toujours voulu la préserver. En tant que lecteur, on assiste - impuissant spectateur - à cette noyade volontaire. Certains passages mettent mal à l'aise, on a nous aussi du mal à respirer. le récit va tourner sur lui-même comme une toupie jusqu'à nous en donner le tournis. C'est le talent de Nathalie Kuperman qui malgré cette écriture spiralaire ne perd jamais son objectif de vue : prendre à partie son lecteur sur la légitimité de l'entreprise romanesque, celle de Marianne, celle de Nathalie Kuperman, autrice, celle de tout écrivain qui trempe sa plume dans sa propre existence.
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Comme le titre l'indique, Les raisons de mon crime est un roman noir mais sans coupable et sans cadavre, mis à part les bouteilles qui traînent ici ou là. C'est plutôt un roman inclassable, du style dérangeant et surprenant.

Marianne, qui vient de perdre son emploi, retrouve Martine, une cousine perdue de vue depuis l'adolescence. Elle envisage alors d'écrire sur cette personne qu'elle idolâtrait gamine, qui s'est noyée dans les vapeurs de l'alcool. Transformer ses confidences en chapitres de roman. Peu à peu, la narratrice perd pied, ou plutôt, elle se sent tomber dans un gouffre, un peu comme sa cousine tout au long de sa vie : « Mais Martine ne m'a rien demandé. C'est moi qui viens lui sucer le sang, la faire parler, la faire pleurer, la sommer de m'expliquer pourquoi, bon sang ! Elle est devenue ce qu'elle est devenue. »

9782070135059_1_75Durant la lecture, j'ai ressenti des impressions de malaise face à des descriptions plutôt dures. Je me suis fait la réflexion que la littérature omettait souvent ce genre de descriptions ou de personnages (ou alors, c'est moi qui ne choisis que des romans où la pauvreté n'existe pas…). Ici, pas de fioritures, pas d'enjolivures, certains mots sont très violents à moins que ce ne soit certaines situations ? Nathalie Kuperman ne s'interdit rien et varie les rythmes de narration. Elle alterne des récits d'enfance avec des passages réalistes et prosaïques, en lien avec mes propres préoccupations. Certains passages sont truculents, notamment la seconde partie, intitulée « Biquette », le surnom de sa tante, la mère de Martine, une « sacrée » bonne femme, comme de nombreuses personnes la qualifièrent à son enterrement. La première partie est moins réussie je trouve, la romancière tourne autour de son sujet mais n'ose l'affronter directement.

Ce qui m'a semblé intéressant, c'est de lire les états d'âmes de Marianne, ses souvenirs ou encore la façon dont elle s'accapare les bribes de vie que Martine lui raconte pour les retranscrire sous forme de passages fictionnels. Et parfois, derrière l'horreur, la misère, lorsqu'il semble que l'espoir s'est carapaté depuis longtemps, des sentiments fleurissent. Forts. L'amour qui semble loin, tellement loin est bien présent. L'amour qu'éprouve Martine pour sa mère non aimante, et qui la fait péter un câble lorsqu'elle meurt. L'amour de Marianne pour sa mère. L'amour, aux ressorts coupables. Un livre dérangeant, je me répète, mais surprenant.

Lien : http://blogs.lexpress.fr/les..
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Prix de la Closerie des Lilas 2012, Les raisons de mon crime de Nathalie Kuperman (romancière), qui baigne dans l'enfer de l'alcool fort (tout sauf piquette), ne se boit pas cul sec, ni ne se sirote. On débouche et on avale, puis on dessoûle vite sous peine d'hallucinations comme Marianne, qui à trop s'identifier à sa cousine Martine (retrouvée à l'occasion de l'enterrement de sa tante "la duchesse", "la pute", "la pocharde") alors que, journaliste au chômage elle veut écrire un livre sur elle, se met à boire comme un trou.
J'avoue que le sujet (plongée dans la misère, la déchéance d'enfants et femmes battus, détails violents ignobles) n'est pas vraiment ma tasse de thé, mais je reconnais le talent de Nathalie Kuperman à créer une ambiance sordide, à manier la logorrhée de Marianne pour la rendre crédible de questions intimes en découvertes familiales.
Deux portraits forts d'ogresses qui se font bouffer (excusez l'expression, vocabulaire oblige). Un en quête d'identité. .Une bonne description psychologique de la dépendance (à l'alcool et à la mère), des rapports mères/ filles,du choix du conjoint, de la solitude. le destin s'inscrit-il dans nos gènes? Peut-on en changer? Vite de l'eau de roses!
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critiques presse (1)
Lexpress
02 mars 2012
Les Raisons de mon crime est aussi une histoire d'amour et de filiation, de mots qui manquent pour les dire au bon moment à la bonne personne.
Lire la critique sur le site : Lexpress
Citations et extraits (22) Voir plus Ajouter une citation
Maintenant, Martine boit sagement. Fini le Ricard à cinq heures du matin. Elle commence sa limonade artisanale à huit heures et demie seulement, et après le café, s'il vous plaît ! A la question concernant les quantités, Martine réponde 'Un litre pas plus, et mélangé à de l'eau encore'. Trois fois rien en vérité. La vie lui fout la paix et, pourvu qu'elle prenne un demi-Lexomil le matin, le midi et le soir, elle arrive à peu près à faire ses journées. C'est quoi, "faire" ses journées ? C'est aller du matin au soir sans pleurer, sans paniquer, sans penser. (p. 160)
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Quand ils ont tous voté Chirac au deuxième tour [en 2002], je me suis dit qu'on était vraiment dans un pays de lâches. Bon, en même temps, j'y croyais pas trop. Mais cette fois-ci, j'y crois. Pour dire 'Y en a marre', c'est le seul moyen. Et puis, qu'est-ce que tu veux, je l'aime bien, moi, Marine. Ça se discute pas. (p. 238)
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"Personne n'a jamais cru en moi, et je vais prouver à tout le monde que "personne" avait raison." Il s'était mis à boire, comme les autres, parce que sa mère buvait, ses frères et ses soeurs buvaient, youpi ! on boit tous à la santé de cette chienne de vie qui nous fera la peau à tous mais vivons-là pleinement ! Les verres s'entrechoquaient de toutes parts, on ne sait pas qui trinquait avec qui, mais les ventres étaient remplis, les foies s'égosillaient et dégueuler était l'étape qui permettait de s'y remettre. (p. 101-102)
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Martine. Je suis enfin à toi. Je m'enfile un autre verre de vin avant de t'imaginer. Voilà, je te vois. Tu es dans ta cuisine chambre salle à manger. Accoudée à la table en contreplaqué, tu attends l'heure d'aller dormir. Lucien n'a plus la force de te parler. Peut-être la télé, la télé sûrement. Vous commentez une série, pas vraiment convaincus par la cohérence de l'histoire. Pendant ce temps-là, je gravite autour de toi, je note, je croque. Que dis-tu de ça ? Ça t'épate, hein ? Ha ha ! Chère cousine qui m'obligeait à bouffer les fourmis. J'ai envie de te dire je t'aime, mais les mots ne passent pas la barrière de mes dents. Cet amour est mou, son objet incertain. Il erre vaguement entre nos mères qui se sont tant haïes, ne sait trop quelle direction prendre. Il se pourrait qu'il veuille rapprocher nos mortes. Pouah cette simple idée m'écœure. Mais pour qui te prends-tu, ma p'tite fille ? Tais-toi, maman, j'essaie juste de comprendre pourquoi je veux écrire ce livre, une foutrerie en vérité, mais il est un peu tard pour nommer ainsi les mots qui se bousculent et me poussent à vouloir les coucher sur le papier. Allez, allez, c'est parti ! Je veux savoir d'où je viens, de quels conflits, de quelles haines intestines je suis issue.
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Ma soeur était une sorte de maléfice qui m'a poursuivie toute mon enfance. Je l'ai chassée comme on traque l'autre en soi. Bernadette me faisait peur. Elle effrayait tout le monde. Elle a fait ses dents sur moi et, dès que j'ai pu, je l'ai fuie. (p. 198)
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Vidéo de Nathalie Kuperman
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