AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Histoire des Beati Paoli tome 1 sur 3

Maruzza Loria (Traducteur)Serge Quadruppani (Traducteur)
EAN : 9782864243625
778 pages
Editions Métailié (23/09/2000)
3.61/5   45 notes
Résumé :
Septembre 1713. Juché sur une étique rossinante, la râpière au côté, Blasco de Castiglione, coeur tendre, joyeux drille et tête brûlée, entre dans Palerme. En quête du secret de sa naissance, il va rencontrer Don Raimondo de la Motta, qui a commis tous les crimes pour ceindre la couronne ducale, l'éblouissante et tumultueuse Donna Gabriella, qui sait ce qu'aimer à mort veut dire, le sbire Matteo Lo Vecchio, maître ès scélératesses, Violante, belle comme un rêve de p... >Voir plus
Que lire après Histoire des Beati Paoli, tome 1 : Le Bâtard de PalermeVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (9) Voir plus Ajouter une critique
Un jeune escrimeur à la tête chaude et au coeur tendre s'en vient à la capitale sur un affreux bidet. A peine entré en ville, il se querelle avec un gentilhomme accompagnant une belle jeune femme en carrosse. Cela doit forcément vous dire quelque chose, non ? Pourtant, nous ne sommes pas au début des « Trois Mousquetaires », mais aux premières pages du « Bâtard de Palerme », roman de cape et d'épée écrit au début du siècle par l'italien Luigi Natoli. le jeune homme ne s'appelle pas D Artagnan, mais Blasco de Castiglione et si, à l'instar du célèbre gascon, il vient chercher en ville gloire et fortune, il est surtout en quête du secret de ses origines. Né d'une paysanne et d'un grand seigneur au nom inconnu, il a passé sa jeunesse à errer de cité en cité, de pays en pays, menant joyeuse et orageuse vie. Après bien des pérégrinations, le voici donc à Palerme, la perle de l'ancien royaume de Sicile – perle rongée par la moisissure certes, mais toujours éclatante sous sa couche de déjections.

Avec son caractère de chien fou, Blasco ne tarde pas à accumuler les ennuis et les duels, mais pourquoi redouter le danger quand il vous permet de briller aux yeux d'une jolie femme ? Et, à Palerme, aucune femme n'a les yeux aussi éclatants que la belle donna Gabriella, épouse du cupide et puissant duc de la Motta. de fil en aiguille, de péripétie en aventures, Blasco va rapidement se retrouver mêlé un imbroglio de complots auxquels sa nature franche et ouverte ne l'a nullement préparé. Il y croisera le chemin de maint personnages amicaux ou hostiles, tels que le dangereux Matteo Lo Vechio « L'empereur des sbires », la douce Violante fille du duc de la Motta ou le très secret chevalier de la Floresta… Il sera surtout confronté aux redoutables Beati Paoli, secte mystérieuse régnant en maîtresse sur la ville Palerme et dont les actes de justice, aussi efficaces qu'expéditifs, font trembler la noblesse et la haute bourgeoisie.

Avec un scénario pareil, « le bâtard de Palerme » me semblait délicieusement prometteur et j'ai débuté les premières pages avec enthousiasme, prête à me laisser immerger dans ce qui était réputé être « le grand roman de cape et d'épée italien ». Au bout d'une centaine de pages, j'avais déjà commencé à faire un peu la grimace. Première et principale constatation : si son récit débute peu ou prou comme la saga des Mousquetaires, Luigi Natoli n'est pas Alexandre Dumas. S'il sait tisser un scénario tout à fait correct, il lui manque en revanche la vivacité d'écriture du gros romancier mulâtre, l'intelligence de ses dialogues, son humour savoureusement burlesque et surtout sa capacité à créer des personnages attachants et inoubliables par la force même de leurs défauts.

Son Blasco de Castiglione est un parangon de vertu : il est brave, beau, généreux, désintéressé, respectueux, ouvert d'esprit… Bref, il est plutôt chiant. Vous me direz et vous n'aurez pas tort qu'il s'agit d'un inconvénient mineur si les autres protagonistes apportent au récit la fantaisie et le pittoresque dont celui-ci a fortement besoin. Las, ils sont tous plus plats et monofaciaux les uns que les autres : les méchants sont très méchants, les gentils très gentils et la dulcinée du héros est, comme il se doit, aussi candide et douce qu'un chaton aveugle (d'un autre côté, elle n'a que douze ans… Je vous jure, douze ans ! Il n'y que moi qui trouve ça franchement « Beurk » ? Blasco est donc courageux, beau, vertueux et… pédophile !)

Restent l'ambiance de la Sicile du début du XVIIIe siècle, un contexte historique intéressant et une histoire plutôt bien troussée, riche en rebondissements et en coups de théâtre, à défaut d'être très originale. Les ténébreuses affaires des Beati Paoli ne sont pas non plus dépourvues d'intérêt, mais j'aurais préféré que l'auteur leur consacre davantage de pages, au lieu de se concentrer sur les lassantes et un poil malsaines affaires de coeur de Blasco. J'attendais beaucoup de ce roman dont on m'avait abondamment vanté les mérites et suis un peu dépitée d'en ressortir avec une vague impression de « Mouais, bof, c'était pas trop mal… Bon, si on passait à autre chose maintenant ? » Comme disait l'autre, on ne peut pas gagner à tous les coups, hein ?

Commenter  J’apprécie          260
La première fois que j'ai mis les pieds en Sicile, j'ai été fascinée par les multiples influences qui marquent l'histoire de l'île, façonnent ses paysages, son architecture et bien sûr ses habitants. Alors il a suffi d'un article dans Lire l'année dernière, présentant la réédition de L'histoire des Beati Paoli pour que je passe immédiatement commande au Père Noël. Deux mille cinq cents pages réparties en trois volumes, dont le bâtard de Palerme est le premier. Une plongée dans l'histoire de la Sicile qui démarre au tout début du 18ème siècle tandis que l'île passe du giron espagnol (dont la gouvernance à distance hérisse la population et la noblesse siciliennes tandis que l'héritage de l'Inquisition maintient un climat de terreur) à la couronne de Savoie. Un espoir de stabilité, enfin... mais qui sera de courte durée.

Le bâtard de Palerme, c'est Blasco de Castiglione, un jeune homme fougueux originaire de Catane et venu dans la capitale sur la recommandation d'un moine qui l'avait recueilli après le décès de sa mère dans le terrible tremblement de terre qui a détruit Catane en 1693. Ce que Blasco ne sait pas encore mais qu'il ne tardera pas à découvrir c'est qu'il est le fils naturel de feu le duc de la Motta, Emanuele Albamonte décédé vingt ans plus tôt lors d'une bataille. L'actuel duc, Raimondo, frère cadet d'Emanuele est l'un des personnages les plus en vue du Royaume, en charge notamment de la sécurité et de la justice. Un homme ambitieux, dur et sans pitié qui n'a pas hésité à tenter d'assassiner sa belle-soeur et l'héritier qu'elle venait de mettre au monde lorsque la nouvelle de la mort d'Emanuele lui est parvenue. Cette dernière, paniquée, s'est enfuie avec le bébé et ils ont tous les deux été déclarés morts ce qui a permis à Raimondo de récupérer le titre et les biens. Après un premier mariage dont il a eu une fille, Violante, Raimondo a épousé la très belle Gabriella de vingt ans sa cadette. En arrivant à Palerme, Blasco tombe sous le charme de donna Gabriella avant d'être hébergé par le duc de la Motta et de se lier d'amitié avec Coriolano de la Floresta, un jeune noble sympathique et mystérieux. Tandis que Palerme se prépare à recevoir son nouveau roi, Blasco se trouve au coeur de multiples intrigues et il devra faire appel à toutes ses forces morales et physiques pour déjouer complots et tentatives d'assassinat.

Et franchement, D Artagnan à côté, c'est un amateur. le beau Blasco fait tourner les têtes et chavirer les coeurs entre deux duels rondement menés qui lui valent ensuite respect et amitiés viriles. L'intrigue qui tourne autour de l'usurpation de l'héritage par le duc de la Motta conduit le lecteur de rebondissement en rebondissement sans le lasser une seule seconde. le sbire, Matteo Lo Vecchio est une parfaite figure de méchant à la fois rusé, calculateur et fourbe. En face, la société secrète des Beati Paoli agit dans l'ombre pour rétablir la justice là où ses membres la jugent bafouée. Et forcément, le duc de la Motta est dans son collimateur...

Outre l'éclairage historique, la question de la justice est au centre de l'intrigue via la confrontation des idéaux servis par les Beati Paoli qui instruisent, jugent et punissent selon leur bon vouloir et sans tenir compte des dommages collatéraux, et la conviction de Blasco toujours porté à défendre les innocents quitte à laisser filer un coupable.

On se régale à se laisser porter par le romanesque de cette épopée dans la veine d'Alexandre Dumas. On apprécie la description minutieuse de la société sicilienne de l'époque, marquée par l'opposition entre une noblesse assoiffée de pouvoir et n'ayant de cesse de montrer sa puissance et sa richesse (on comprend mieux ensuite les vestiges de l'architecture que l'on peut encore admirer) et un petit peuple oscillant entre misère, débrouille et quolibets. On retrouve un plaisir un peu oublié, celui des romans de l'adolescence, Les Trois Mousquetaires, le bossu, Les rois maudits...

Tout comme j'avais adoré explorer Malte (autre endroit qui me fascine) dans l'excellent livre de Tim Willocks, La Religion, je me suis laissée transporter avec grand plaisir dans les aventures de Blasco de Castiglione. Si vous avez envie d'un bon pavé pour cet été, voilà qui pourrait occuper vos heures de sieste et contribuer à vous changer les idées. Moi, j'ai déjà rendez-vous avec la suite...
Lien : http://www.motspourmots.fr/2..
Commenter  J’apprécie          110
Avant la mafia, il y a avait les sociétés secrètes. Et l'une d'entre elles, les Beati Paoli, dirigée par de la Floresta, viendra en aide au jeune Blasco qui cherche à éclaircir le secret de sa naissance et qui découvrira, par la même occasion, l'amour. Ces deux quêtes du héros s'entremêleront et lui vaudront la haine de puissants ennemis. le Bâtard de Palerme est un roman de capes et d'épées comme on les aime : beaucoup d'aventures, de rebondissements, d'exotisme, d'amour, de mystère, etc. Je l'ai préféré aux Trois mousquetaires que, pourtant, j'adore. Je crois que les points de vue multiples, qui permettent de suivre non seulement le protagoniste mais également d'autres personnages importants de l'histoire, apportent une dimension supplémentaire à l'oeuvre. En plus, c'est une belle reconstitution historique de l'époque : tout évoque le sud de l'Italie du début du XVIIIe siècle, on a vraiment l'impression d'y être. Ne vous laissez pas décourager par ses 800 pages, la lecture de ce roman en vaut largement la peine.
Commenter  J’apprécie          160
J'ai entamé cette lecture avec une certaine crainte, à cause de la taille de ce sacré pavé et de son sujet, mais celle-ci s'est rapidement dissipée et je me suis complètement passionnée pour les aventures de Blasco.

L'histoire commence en 1698, lorsque est annoncé le soudain décès du duc de la Motta. Sa jeune épouse s'apprête à mettre au monde leur premier enfant. Si c'est un fils, il héritera du titre et des biens de son père, si c'est une fille tout reviendra à don Raimondo, frère cadet du duc. Au grand désappointement de celui-ci, la duchesse met au monde un fils. Mais don Raimondo, avide et ambitieux, n'a pas l'intention de renoncer à la fortune qu'il considère comme sienne. Echappant de peu à la mort, la duchesse parvient à laisser son enfant en sécurité avant de mourir. En 1713, un jeune chevalier arrive en ville. Blasco de Castiglione souhaite retrouver le moine qui l'a élevé et lever le mystère sur ses origines. A la même époque, don Raimondo, devenu duc depuis que la duchesse et son fils ont été déclarés morts, reçoit des menaces des Beati Paoli.

Dans ce roman de cape et d'épée, classique de la littérature italienne, on retrouve tous les codes du genre : un gentil très gentil, des méchants très méchants, de belles dames en détresse, des complots, des assassinats,… Tout y est ! Je ne me suis pas ennuyée une seconde dans cette histoire romanesque, au rythme soutenu, aux multiples rebondissements. Je me suis passionnée pour la confrontation entre les Beati Paoli, secte secrète et justicière, et don Raimondo, toujours aussi cruel, assisté du sbire Matteo Lo Vecchio, fourbe et retours à souhait ! J'ai trouvé les personnages secondaires nettement plus intéressants que le héros du roman, un peu trop parfait pour être vraiment attachant. Mais Gabriella, Matteo Lo Vecchio, Coriolano, voilà des personnages intéressants et difficiles à cerner !

J'ai toutefois deux bémols. Tout d'abord l'histoire d'amour entre Blasco et Violante, la fille de don Raimondo. Outre le fait que sa jeune amoureuse manque cruellement de personnalité, j'ai trouvé leur histoire bien fade. En dehors du fait bien entendu, que la belle ait seulement 12 ans quand Blasco en a 25. Je sais bien qu'à l'époque les jeunes filles se mariaient parfois très tôt, mais quand même, j'ai trouvé ça un peu dérangeant.

Et je n'ai pas du tout apprécié le changement de personnalité d'un personnage du roman. Je ne souhaite pas trop en dévoiler si vous décidez de lire ce roman, mais ce personnage gentil bien que sans grand intérêt au départ, devient une brute effroyable et cruelle. Ce naturel était-il auparavant caché son un joli masque ? Est-ce son parcours qui l'a transformé ? Je ne sais ce que voulais suggérer l'auteur, mais j'ai été décontenancée par la tournure prise par l'histoire à partir du milieu de la troisième partie. de ce fait, je n'ai pas autant apprécié la dernière partie, dans lequel ce personnage, devenu l'antagoniste de Blasco, tient un rôle essentiel.

Mais en dehors de l'histoire de tous ces personnages, Luigi Natoli laisse la part belle à la Sicile et à Palerme, dont il nous raconte l'histoire politique, artistique et culturelle. Il s'étend longuement sur la vie quotidienne des habitants, riches et pauvres, de la cité.

Un roman foisonnant avec lequel j'ai passé un excellent moment (long moment, 1055 pages tout de même !). Il s'agit d'ailleurs du premier tome d'une trilogie, j'espère me plaire autant avec les suivants.

Lien : https://tantquilyauradeslivr..
Commenter  J’apprécie          50
Disons le tout net (en étant bien d'accord avec d'autres lecteurs): n'est pas Dumas qui veut. Manquent essentiellement à Natoli le sens des dialogues et l'humour à fleurets mouchetés de notre Alexandre national. Mais bon. Ne boudons pas notre plaisir: il y a ce qu'il faut de rebondissements, dans ce premier tome des Beati Napoli (ancêtres de Cosa Nostra), pour en soutenir la lecture. Même si l'auteur est intarissable et tire un peu à la ligne (le volume dépasse les mille pages, mais les aventures de nos héros pourraient se prolonger d'autant... d'où l'existence de deux autres volumes à suivre). Et puis, il y a en toile de fond la Sicile au 18ème siècle, sous la domination alternée de l'Espagne de Philippe V et du duché de Savoie de Victor-Amédée II, après le traité d'Utrecht. On peut aussi considérer ce livre comme un guide touristique qui ne nous laisse rien ignorer de la géographie palermitaine. Allez, en route pour le tome 2 !
Commenter  J’apprécie          30

Citations et extraits (6) Voir plus Ajouter une citation
Les habitudes de parcimonie que le roi avait cherché à imposer à la noblesse du royaume étaient rigidement observées à la Cour de son représentant. S'il avait le contingent strictement nécessaire de laquais, de valets, de pages, d'huissiers, de chambrières, de secrétaires et d'officiels, on ne voyait pas la cohorte de chevaliers et de parasites qui remplissaient les salles du Palais Royal au temps de la vice-royauté espagnole, et qui formaient par eux-mêmes une Cour somptueuse et véritablement royale.
Les livrées n'avaient pas le luxe de galons et de broderies auxquels s'étaient habitués les yeux des citadins, et dont ils s'enorgueillissaient, y voyant une espèce respect envers eux-mêmes, une preuve de la considération dans laquelle les tenait le représentant du roi.
Commenter  J’apprécie          00
Toutes ces choses et les revers de fortune que le changement de monarchie devait inévitablement entraîner, avaient fait désirer ce gouvernement espagnol dont l'oeuvre en Sicile se résumait en une formule simple : faire de l'argent, enrichir le clergé et la noblesse, pendre le plus de monde possible et ne se préoccuper de rien d'autre. Comme à cette époque ceux qui commandaient étaient libres de faire ce qu'ils voulaient, que le peuple avait des fêtes, des spectacles, des actes de foi, des processions, des divertissements carnavalesques, et que les malandrins pouvaient infester les campagnes et grouiller dans la ville, comment ne pas regretter amèrement la domination espagnole ?
Commenter  J’apprécie          00
- Avez-vous jamais été amoureux, Coriolano ?

- Jamais, assura le chevalier, un fin sourire errant sur ses lèvres. J’ai toujours pensé qu’il y avait mieux à faire de par le monde.

- Et qu’avez-vous donc fait de mieux ?

- Rien.
Commenter  J’apprécie          10
C’était un de ces couchers de soleil dans un ciel pur et lumineux, comme il ne s’en voit qu’à Palerme.
Commenter  J’apprécie          10
On était alors (en 1712), en pleine guerre de succession au trône d'Espagne et le pape menait sa barque entre la France et l'Espagne pour accoster du côté du vainqueur
Commenter  J’apprécie          00

Video de Luigi Natoli (1) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Luigi Natoli
Voici le deuxième numéro de notre émission La Petite Librairie #LPL, émission produite par la librairie La Griffe Noire et Les déblogueurs... L'occasion pour le libraire Gérard Collard de vous faire découvrir ses coups de c?ur du moment mais également ses coups de gueule...
N'hésitez pas à nous laisser vos commentaires...
Prochain rendez-vous le mardi 08 novembre 2016 !!!
- Histoire des Beati Paoli, Tome 1 : le bâtard de Palerme de Luigi Natoli et Maruzza Loria aux éditions Métailié - Histoire des Beati Paoli, Tome 2 : La mort à Messine de Luigi Natoli et Serge Quadruppani aux éditions Métailié - Histoire des Beati Paoli, Tome 3 : Coriolano de Luigi Natoli et Jacqueline Huet aux éditions Métailié - L'insouciance de Karine Tuil aux éditions Gallimard - Vie prolongée d'Arthur Rimbaud de Thierry Beinstingel aux éditions Fayard - Tête de mule de Oyvind Torseter aux éditions La joie de lire - Cassandre la gourmande d?Odile Bailloeul & Claire Curt aux éditions La joie de lire - Zack le maniaque d?Odile Bailloeul & Claire Curt aux éditions La joie de lire - Nora Webster de Colm Toibin et Anna Gibson aux éditions Robert Laffont - Nos rêves indiens de Stéphane Marchand aux éditions De Borée - Soif de musique de Romel aux éditions Daphnis & Chloé - Les Élus de Steve Sem-Sandberg et Johanna Chatellard-Schapira aux éditions Robert Laffont - Exposition Hergé au Grand Palais du 28 septembre 2016 au 15 janvier 2017 - Tintin : The art of Hergé de Michel Daubert et Hergy Muséum Beau livre en anglais aux éditions Abrams ComicArts - Hergé : Paris, Grand Palais, Galeries nationales, du 28 septembre 2016 jusqu'au 15 janvier 20176 septembre 2016 de Collectif et Cécile Maisonneuve aux éditions RMN - 99 nouveaux dessins pour ne plus faire de fautes de Sandrine Campese aux éditions de l'Opportun - le Dictionnaire de Laurent Baffie de Laurent Baffie aux éditions Livre de Poche - Mr Mercedes de Stephen King aux éditions Livre de Poche - Innocent breuvage de Michèle Barrière aux éditions Livre de Poche - Les Fauves de Ingrid Desjours aux éditions Pocket
+ Lire la suite
autres livres classés : littérature italienneVoir plus
Les plus populaires : Littérature étrangère Voir plus


Lecteurs (154) Voir plus



Quiz Voir plus

Grandes oeuvres littéraires italiennes

Ce roman de Dino Buzzati traite de façon suggestive et poignante de la fuite vaine du temps, de l'attente et de l'échec, sur fond d'un vieux fort militaire isolé à la frontière du « Royaume » et de « l'État du Nord ».

Si c'est un homme
Le mépris
Le désert des Tartares
Six personnages en quête d'auteur
La peau
Le prince
Gomorra
La divine comédie
Décaméron
Le Nom de la rose

10 questions
822 lecteurs ont répondu
Thèmes : italie , littérature italienneCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..