S’il y avait une seconde Terre, il n’y aurait plus de « place naturelle » unique mais deux centres attractifs, et les éléments ne sauraient plus vers où se diriger ! Les cieux parfaits d’Aristote sont donc composés d’un cinquième élément, et non des quatre habituels, et y envisager des astres habités tient donc de l’absurde.