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Critique de adelineetpatrice
J'ai lu Un Masaï à Zanzibar, de @annesophie_nedelec , reçu en SP en numérique.
J'ai tout d'abord été attirée par la simple et magnifique couverture, éclatante de bleu et de sable.
Ce format nouvelle (94 pages) est en réalité un journal de voyage, un récit de vacances.
Si au premier abord, j'en retient la relation familiale, et la difficulté de se retrouver avec ses enfants en pleine crise d'adolescence (Morgane dans ce récit à 14 ans, exactement l'âge de mon grand), cette facilité a passer de la relation fusionnelle à une relation conflictuelle en 1 respiration, 1 battement d'aile ou 1 reflux des vagues. Cette manière d'apprendre à déconstruire ce qu'on connait de notre enfant qui grandit et de notre lien à lui, pour le découvrir autre.
Mais plus que cela, ce récit est avant tout une interrogation sur notre ambivalence lors de voyages dans des pays aux richesses bien différentes des nôtres, aux manières de consommer à l'opposé, et de cette culpabilité que l'on récent (par le tourisme faire vivre le pays et son économie, apporter des biens et des richesses mais par le tourisme, dénaturer les relations avec les autochtones et se poser la question de l'intérêt du lien : économique ou sincère).
Tout un panel de question, dont nous n'avons pas la réponse.
Écrit à la manière de Laeticia colombani (c'est ce qui me vient en-tête sans comparaison, juste comme point de repère) avec des phrases courtes et au présent, ce livre nous immerge au coeur d'un voyage occidental dans un pays à découvrir.
J'ai tout d'abord été attirée par la simple et magnifique couverture, éclatante de bleu et de sable.
Ce format nouvelle (94 pages) est en réalité un journal de voyage, un récit de vacances.
Si au premier abord, j'en retient la relation familiale, et la difficulté de se retrouver avec ses enfants en pleine crise d'adolescence (Morgane dans ce récit à 14 ans, exactement l'âge de mon grand), cette facilité a passer de la relation fusionnelle à une relation conflictuelle en 1 respiration, 1 battement d'aile ou 1 reflux des vagues. Cette manière d'apprendre à déconstruire ce qu'on connait de notre enfant qui grandit et de notre lien à lui, pour le découvrir autre.
Mais plus que cela, ce récit est avant tout une interrogation sur notre ambivalence lors de voyages dans des pays aux richesses bien différentes des nôtres, aux manières de consommer à l'opposé, et de cette culpabilité que l'on récent (par le tourisme faire vivre le pays et son économie, apporter des biens et des richesses mais par le tourisme, dénaturer les relations avec les autochtones et se poser la question de l'intérêt du lien : économique ou sincère).
Tout un panel de question, dont nous n'avons pas la réponse.
Écrit à la manière de Laeticia colombani (c'est ce qui me vient en-tête sans comparaison, juste comme point de repère) avec des phrases courtes et au présent, ce livre nous immerge au coeur d'un voyage occidental dans un pays à découvrir.
