« C’en était fait de l’idylle entre François-Marie Arouet et moi : Adieu Zadig, adieu Candide, adieu Micromegas ! Mon ancienne admiration je l’assigne à résidence en mes plus noirs souterrains, chargée de fers. Les ricanements squelettiques venus du tréfonds de mes oubliettes me laisseront de marbre. Je resterai inflexible sur ma plus haute tour de guet antisémite. Au loin, de sombres lueurs rougeoient les murs du château de Ferney, comme s’il était un Four crémato... >Voir plus