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Critique de Tatooa
Un livre très dur, autant le dire de suite. On y croise une foultitude de cas d'enfants maltraités tous plus affreux les uns que les autres.
Mais c'est un livre plein d'espoir, aussi.
Les auteurs y décrivent leurs procédures de thérapie, mais également tout ce qu'il se passe dès lors qu'on fait un signalement de maltraitance d'enfant...
Ces auteurs-là n'hésitent jamais à s'engager pour leurs petits protégés, à témoigner pour eux lors des procès, à voir l'ensemble des intervenants de la procédure judiciaire, éducateurs, assistant(e)s maternel(le)s, avocats, psychologues et psychiatres. Cela fait partie de la thérapie "de réseau" qu'ils prônent, pourvu qu'ils soient entendus !!!
Ils expliquent que ce n'est pas parce qu'une plainte est classée sans suite qu'il ne faut pas insister et continuer, et disent que bien au contraire ce n'est souvent qu'un début, et ça ne doit être qu'un début, car l'enfant maltraité a souvent besoin de la réparation de la condamnation du criminel qui l'a blessé, pour arriver à se reconstruire.
Un livre formidable pour tous ceux qui travaillent avec l'enfance saccagée, même si par moments il donne envie de vomir tant la violence et le sadisme de l'être humain y apparaît dans toute son horreur. Il y a largement aussi de quoi ne plus jamais confier son enfant à un(e) baby-sitter ou assistante maternelle ! Oo ... Les auteurs et leur centre des buttes-Chaumont sont comme une île au milieu du désert en ce qui concerne la violence contre nos plus faibles et plus fragiles représentants.
Mais c'est un livre plein d'espoir, aussi.
Les auteurs y décrivent leurs procédures de thérapie, mais également tout ce qu'il se passe dès lors qu'on fait un signalement de maltraitance d'enfant...
Ces auteurs-là n'hésitent jamais à s'engager pour leurs petits protégés, à témoigner pour eux lors des procès, à voir l'ensemble des intervenants de la procédure judiciaire, éducateurs, assistant(e)s maternel(le)s, avocats, psychologues et psychiatres. Cela fait partie de la thérapie "de réseau" qu'ils prônent, pourvu qu'ils soient entendus !!!
Ils expliquent que ce n'est pas parce qu'une plainte est classée sans suite qu'il ne faut pas insister et continuer, et disent que bien au contraire ce n'est souvent qu'un début, et ça ne doit être qu'un début, car l'enfant maltraité a souvent besoin de la réparation de la condamnation du criminel qui l'a blessé, pour arriver à se reconstruire.
Un livre formidable pour tous ceux qui travaillent avec l'enfance saccagée, même si par moments il donne envie de vomir tant la violence et le sadisme de l'être humain y apparaît dans toute son horreur. Il y a largement aussi de quoi ne plus jamais confier son enfant à un(e) baby-sitter ou assistante maternelle ! Oo ... Les auteurs et leur centre des buttes-Chaumont sont comme une île au milieu du désert en ce qui concerne la violence contre nos plus faibles et plus fragiles représentants.
