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Critique de Pois0n
Les soldes, c'est cool, ça permet de choper pour quelques euros des bouquins qu'on aurait jamais découverts en temps normal. Et Bluestone Castle est une chouette découverte, même s'il ne s'agit absolument pas de la romance historique à laquelle je m'attendais.
On a plutôt affaire à une tranche de vie historique suivant les habitants du château sur environ un an. Les différents membres de la famille Foxbury naturellement, mais aussi les domestiques. Et si les chapitres (très, trop ?) courts font sans cesser passer d'un personnage à l'autre, on est pas trop perdu, étant donné que leurs histoires personnelles se recoupent régulièrement. Et, mine de rien, on s'attache facilement à eux, d'autant que les drames et autres complications se suivent et... se ressemblent parfois, au plus grand désespoir du père.
Seulement voilà : plus on approche de la fin du livre, et plus l'on se demande comment l'autrice va réussir à boucler tout ça tant rien ne semble se résoudre. La réponse est malheureusement : en bâclant, à l'arrache, en quelques pages, alors que le rythme était jusque-là plutôt lent. Dommage. Et autant prévenir : si, comme moi, vous faites partie des inconditionnels des good endings, préparez-vous à ce que le destin de certains protagonistes vous brise le coeur. En résulte également un sentiment de « tout ça pour ça », où l'on a pas vraiment l'impression que la situation a beaucoup évolué depuis le départ, malgré tout ce qui est arrivé entretemps.
Mais que l'on ne s'y trompe pas, Bluestone Castle demeure une chouette lecture, qui parvient à nous emporter aux côtés de ses personnages, avec un petit côté « encore un chapitre avant d'aller au lit » (et oups, t'en lis trois, quatre, ou cinq...).
Signalons tout de même un nombre très élevé de coquilles en vadrouille (la correctrice devait clairement avoir quelques nuits blanches dans le nez pour en laisser passer autant), tantôt discrètes, tantôt qui piquent sacrément les yeux, noms de personnages intervertis, mots manquants... Dommage, car le livre-objet est lui très joli.
On a plutôt affaire à une tranche de vie historique suivant les habitants du château sur environ un an. Les différents membres de la famille Foxbury naturellement, mais aussi les domestiques. Et si les chapitres (très, trop ?) courts font sans cesser passer d'un personnage à l'autre, on est pas trop perdu, étant donné que leurs histoires personnelles se recoupent régulièrement. Et, mine de rien, on s'attache facilement à eux, d'autant que les drames et autres complications se suivent et... se ressemblent parfois, au plus grand désespoir du père.
Seulement voilà : plus on approche de la fin du livre, et plus l'on se demande comment l'autrice va réussir à boucler tout ça tant rien ne semble se résoudre. La réponse est malheureusement : en bâclant, à l'arrache, en quelques pages, alors que le rythme était jusque-là plutôt lent. Dommage. Et autant prévenir : si, comme moi, vous faites partie des inconditionnels des good endings, préparez-vous à ce que le destin de certains protagonistes vous brise le coeur. En résulte également un sentiment de « tout ça pour ça », où l'on a pas vraiment l'impression que la situation a beaucoup évolué depuis le départ, malgré tout ce qui est arrivé entretemps.
Mais que l'on ne s'y trompe pas, Bluestone Castle demeure une chouette lecture, qui parvient à nous emporter aux côtés de ses personnages, avec un petit côté « encore un chapitre avant d'aller au lit » (et oups, t'en lis trois, quatre, ou cinq...).
Signalons tout de même un nombre très élevé de coquilles en vadrouille (la correctrice devait clairement avoir quelques nuits blanches dans le nez pour en laisser passer autant), tantôt discrètes, tantôt qui piquent sacrément les yeux, noms de personnages intervertis, mots manquants... Dommage, car le livre-objet est lui très joli.
