Citations sur Demain, je me lève de bonheur (24)
Si on ne prend pas quelques risques, si on ne fait pas quelques pas de travers, si on ne sort pas de sa zone de confort, jamais on ne découvrira de belles clairières, des ruisseaux chantants et des poignées de mûres délicieuses. Je n'ai plus envie de suivre les chemins tout tracés, je veux que cesse ma vie ennuyeuse, je veux changer, bouger, contempler, frémir, avoir envie, avoir peur ...
Comme tu le dis toi-même : les vies Facebook ne sont pas les vraies vies. On ne met pas sur les réseaux sociaux qu'on pue des pieds, qu'on regarde Hanouna, qu'on a donné des nouilles trois jours de suite à ses gosses ou qu'on est constipé. Tu auras toujours des gens qui vont se venter de faire ci ou ça, mais au fond, leur quotidien, à peu de chose prés, il est comme celui des autres. Alors, faut arrêter. Ta vie est unique, tu as construit des choses et tu dois en être fière.
Si on ne prend pas quelques risques, si on ne fait pas quelques pas de travers, si on ne sort pas de sa zone de confort, jamais on ne découvrira de belles clairières, des ruisseaux chantants et des poignées de mûres délicieuses. Je n'ai plus envie de suivre les chemins tout tracés, je veux que cesse ma vie ennuyeuse, je veux changer, bouger, contempler, frémir, avoir envie, avoir peur ...
Les livres, ce sont les compagnons de mes soirées, mes petits mondes à moi, ma façon de sortir de chez moi sans en sortir.
Comme assaillie par une force nouvelle, une évidence se présente à mon esprit ; plus question de jouer les mémères ; plus question de laisser la force d’inertie du quotidien me le bouffer ; plus question de regarder passer ma vie comme une vache regarde passer les trains ! Je VEUX être dans le train !
Les livres, ce sont les compagnons de mes soirées, mes petits mondes à moi, ma façon de sortir de chez moi sans en sortir.
Quand j'étais jeune, j'étais attirée par les sciences, mais c'étaient les maths qui n'étaient pas très attirées par moi.
En y réfléchissant bien, je me dis que ce n'est pas possible : il a dû y avoir un dérèglement de l'espace-temps quelque part, un caprice d'une divinité espiègle qui aurait englouti une trentaine d'années sans prévenir personne.
Tu es en train de te tracer un nouveau chemin, Bérénice. C’est parfois douloureux de quitter la route que l’on suit habituellement, mais au final, ça ne peut être que bénéfique. Ce soir, à plusieurs reprises, je t’ai vue rire quand tu évoquais les bifurcations. Ton rire te rend si belle.
Ce que tu as été a construit ce que tu es.