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EAN : 9781022601659
Editions Métailié (20/08/2015)
3.4/5   101 notes
Résumé :
Événement dans l’histoire mondiale : Agnès et Omar se rencontrent par un dimanche matin glacial dans la queue des taxis au centre-ville de Reykjavik. Agnès rencontre aussi Arnor, un néonazi cultivé, pour sa thèse sur l’extrême droite contemporaine. Trois ans, un enfant et une crise de jalousie plus tard, Omar brûle entièrement leur maison et quitte le pays. L’histoire commence en réalité bien avant, au cours de l’été 1941, quand les Einsatzgruppen, aidés par la popu... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (36) Voir plus Ajouter une critique
3,4

sur 101 notes
C'est son histoire familiale mouvementée qui a conduit Agnes Lukauskaite à s'intéresser à la deuxième guerre mondiale, au nazisme, aux sort des juifs, au racisme et, par extension, à l'extrême droite en Europe de nos jours. Des sujets qu'elle aborde dans son mémoire de licence pour lequel elle interviewe Arnor, un néo-nazi islandais avec qui elle entame une relation. Mais Agnes vit déjà en couple avec Omar et quand elle se retrouve enceinte, elle est dans l'impossibilité de déterminer qui est le père. Pourtant rien ne prédisposait la jeune fille à tomber amoureuse d'un néo-nazi, ni ses principes, ni ses convictions, et surtout pas ses origines. Agnes, en effet, est d'origine juive lituanienne. Fuyant le communisme ses parents ont quitté Jubarkas. Jubarkas où, durant la seconde guerre mondiale, les habitants ont aidé les Einsatzgruppen d'Hitler à exterminer tous les juifs de la ville et où Vilhelmas Lukauskas, l'arrière-grand-père d'Agnes a tué Izak Banai, son autre arrière-grand-père.

Un roman difficile d'accès a priori que cet Illska, sous-titré le mal. Car c'est bien du mal qu'il s'agit, incarné par Hitler et ses sbires, dissimulé derrière la façade de respectabilité des partis populistes européens. S'il raconte la rencontre d'Agnes et Omar et leur vie de couple tourmentée par l'apparition d'un troisième protagoniste, Eiríkur Örn NORDDAHL entrecoupe son récit de considérations et de faits concernant la deuxième guerre mondiale, l'holocauste, le point Godwin, l'extrême droite en Islande, Suède, Danemark et même en France. C'est assez déstabilisant, d'autant qu'il fait fi de toute chronologie. Mais une fois l'habitude prise, on se passionne à la fois pour les histoires passées et présentes de d'Arnor, Agnes et Omar, et pour les interventions de l'auteur qui dénoncent certains partis populistes décomplexés qui sous des dehors respectables cachent un bon vieux fond de racisme. (Un chouette type ce Eiríkur). Puis dans une deuxième partie, on découvre les événements qui se sont déroulés dans la ville lituanienne de Jurbarkas durant la deuxième guerre mondiale. Comment la population est passé de l'occupation soviétique à l'occupation allemande. Comment les nationalistes ont vu là une occasion de chasser les juifs installés depuis des siècles dans la ville. Comment la ville est devenue ''judenfrei''. Et comment Vilhelmas Lukauskas en est venu à tuer son associé et ami Izak. Dans la dernière partie, peut-être la moins intéressante, on retrouve le triangle amoureux, réuni après moultes tribulations. La conclusion de cette somme de travail laisse un peu à désirer. Les interventions du bébé d'Agnes sont un brin longuettes et l'auteur n'a pas su choisir une fin. Il se perd et nous perd... Pourtant, on ne peut lui en vouloir tant le reste est d'une incroyable intensité.
Un livre qui bouscule les codes, qui interpelle, qui passionne, qui rappelle quelques vérités trop vite oubliées ces derniers temps où le FN croit se racheter une conduite en se colorant de bleu marine. A LIRE !
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Illska est un roman étrange. Un roman qu'on n'abandonne pas même si on s'égare parfois dans cette fiction à la narration dense, ses récits qui se superposent mais qui le plus souvent s'entrechoquent, son présent englué dans les pesanteurs du passé... très vite se pose la question de savoir où Eiríkur Örn Norddahl nous emmène avec cette histoire ayant pour centre de gravité une histoire d'amour contemporaine ravagée par les flammes de l'Holocauste.
Puis la perplexité s'évanouit au fur et à mesure que la lecture progresse, si l'auteur défie les lois de la narration c'est pour mieux diffuser dans les soubassements du texte l'idée que nous avons une conception naphtalinée de l'Histoire et une vision trop dogmatique du mal (sens du mot Illska) et du fascisme. Celui-ci a su muer, s'adapter, prendre des formes pour s'immiscer dans la vie intime, investir un pays comme l'Islande préservé des horreurs et de cette mémoire européenne saturée d'images funestes. L'auteur n'hésite pas à interpeller le lecteur mais l'essentiel de sa démonstration passe par un triangle amoureux entremêlé aux réminiscences du passé, montrant une génération désorientée pour laquelle la guerre et la Shoah sont devenues une matière abstraite, un discours politique susceptible d'être piégé par des représentations idéologiques. le livre parle finalement du chaos contemporain, de ce réel qui nous échappe, de l'héritage de l'Histoire...

La forme enchevêtrée et les ruptures de ton pourraient lasser mais Eiríkur Örn Norddahl combine habilement la vie des personnages et le va-et-vient entre les époques. Il a su construire des ponts pour mêler l'Islande à l'histoire européenne, et le style énergique, les sarcasmes tout comme les réflexions politiques pertinentes parviennent à céder la place à une plume plus douce lorsque la dimension romanesque l'exige.
Seulement je dois dire qu'un certain flottement persiste : les ressorts psychologiques des personnages me sont parfois apparus obscurs, l'auteur islandais n'établit pas de correspondance entre les comportements et leur cause. La plume demeure à l'écart de ce qui est enfoui, de ce qui est muet si bien que les liens obsessionnels annoncés sont peu visibles...au lecteur d'établir les connecteurs logiques, de fournir un effort pour comprendre ces personnages un peu égarés sur le chemin des émotions. Surprenant pour un livre qui s'inscrit dans la sphère intime pour égratigner les déviances politiques.
Il reste que ce livre plein de paradoxes se lit pour le plaisir procuré par la liberté de ton pour un sujet un peu usé en littérature. L'auteur parvient à lui donner une perspective originale.
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illska,"Le Mal", en Islandais est un roman du poéte et traducteur Eiríkur Örn Norddahl qui résonne en nous dés les premières lignes qui nous happe et nous frappe en pleine face comme une lame de fond.....: "Environ deux mille personnes ont trouvé la mort pendant l'écriture de ce livre. Ou plutôt deux cent mille. six millions de juifs.Dix - sept millions d'hommes, de femmes et d'enfants. Presque quatre- vingts millions d'êtres humains. Le monde ne sera plus jamais le même."
"Mais non, je rigole!
En fait, le récit d'Illska est d'abord celui d'Agnes et Omar, un amour qui commence lorsqu'ils attendent un taxi lors d'une nuit glaciale en 2009, à Reykjavik. L'héroïne est sans doute Agnès qui rédige une thèse sur le populisme et les extrêmes droites contemporaines, elle, dont l'appartement prend feu, elle qui couche avec Omar et le trompe un jour avec Arnor, un néonazi cultivé, fils de Sigga Dos, bibliothècaire, Arnor, le troisième pivot du roman....
Agnès, dont les - arriere- grands- parents ont traversé le massacre des juifs en 1941- victimes de l'occupation dans leur pays, les tortures et les massacres perpétrés par leurs propres amis.....témoignage trés émouvant.....
Omar qui met le feu à la maison et s'enfuit à travers l'Europe, jusqu'à Oradour sur Glane où son destin rejoint les préoccupations de son aimée .
Le premier tiers du roman est un tour de force s'appuyant sur diverses " mises en perspectives " de la Shoah et "des années 39- 45".
Il dévoile progressivement le passé des personnages et raconte ce ménage à trois.L'auteur conte les faits en changeant sans cesse le point de vue narratif, tantôt du point de vue du jeune homme , tantôt celui d'Agnes " obsédée " par " la seconde guerre mondiale ", en raison de sa propre histoire,
surtout par ce qui se passait à Jubarkas ( Lituanie) , ville dont sa famille est originaire et dont toute la population a été massacrée.
Illska est un ouvrage inhabituel , ouvert à toutes les démesures, à tous les thèmes, l'Holocauste, la trahison, la mémoire historique, d'Islande, de Lituanie, d'Europe, des résurgences fascistes d'aujourd'hui, de notre fascination pour le Mal. Il explore tous les lieux de pensée oú cette guerre a le mauvais goût de se nicher.
Agnès la thésarde," avait la guerre non seulement sur les bras mais également dans la tête et dans le cœur ."
Le grand sujet d'Illska, roman si inventif, c'est le réel, le narrateur joueur, cynique, ironique, pédagogue ,nous prend à témoin. Il brasse le mal et interroge le fascisme et ses avatars contemporains avec brio, donne chair et sens à tout ce qu'il écrit ....
A part la dernière partie, un peu confuse, bien moins réussie, ce livre intense nous bouscule, nous passionne, nous interpelle, nous interroge inlassablement....
Il nous montre avec fougue, pédagogie, intelligence, cruauté et drôlerie la façon dont l'histoire et l'idéologie imprègnent nos sphères les plus intimes.
Un roman impressionnant , immense. Riche et Surprenant !
Une découverte que je ne regrette pas !

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Illska, c'est l'histoire d'Agnès qui, pour rédiger un mémoire pour son mastère, décide de s'intéresser au nazisme et au néonazisme. Elle rencontre un jeune néonazi, Arnor, avec qui elle trompe Omar.
Illska est donc l'histoire de ce trio, mais c'est aussi l'histoire de l'Islande et de la Lituanie.
Une histoire d'hier et d'aujourd'hui.
Une histoire du monde.
Décliné en quatre parties de valeurs inégales.
J'ai détesté la première partie. Celle où l'on découvre les personnages, certes, mais je n'ai pas aimé la vulgarité employée en particulier pour parler de sexe. Sexualité omniprésente tout au long de cette partie du livre. Je n'ai pas aimé non plus, ces quelques phrases qui parlent d'Hitler, ses sbires, de l'holocauste, du nazisme distillées entre chaque paragraphe.
J'ai par contre aimé la seconde partie, celle où l'on découvre les origines Lituaniennes d'Agnès. Ce qu'ont vécu ses grands parents. Victimes de l'occupation dans leur village, les tortures, les massacres, parfois perpétrés per leur propres amis. Un témoignage émouvant.
Tout comme les origines d'Arnor, de sa naissance aux drames qui ont jalonnés sont enfance.
La troisième partie m'a laissé perplexe. C'est Omar que l'on découvre, en même temps que l'on suit l'arrivée du bébé d'agnès, dont elle ignore qui d'Omar ou d'Arnor est le père. Un récit haché par les interventions des pensées de l'enfant qui perturbent la narration.
Dans la dernière partie, le passé et le présent se télescopent. On revient sur le passé dramatique de la famille d'Agnès et on vit l'épilogue de l'histoire présente. Une fin trop confuse à mon goût, où se mélange réalité et fiction, faits et possibilités.
Sans y avoir pris un immense plaisir, je ne rejette pas cette lecture. Certains effets de style et certaines grossièretés inappropriées m'ont agacé, mais l'ensemble se laisse lire.
Je dirais, pour conclure, que je pensais en apprendre plus sur l'idéologie et les motivations des néonazis.
J'ajouterai, avec un clin d'oeil, et l'auteur n'y est pour rien, que l'Islande est certainement un beau pays, mais… que de noms imprononçables.
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Un roman islandais, plein de réflexions sur le populisme et le nazisme.

Un peu rébarbatif au départ, car l'histoire est entrecoupée d'extraits qui tiennent davantage de l'essai. C'est intéressant, mais on se demande si on ne s'est pas trompé de genre. C'est un peu comme si on nous présentait les théories avant la pratique…
Mais ces théories font partie de l'histoire, car l'héroïne est une universitaire en train d'écrire sa thèse portant sur les groupes néonazis d'Islande. Elle se sent d'autant plus concernée par le sujet que ses parents sont d'origine lituanienne, ils viennent d'un village où ses ancêtres juifs ont été massacrés par les Allemands, mais aussi par ses ancêtres Lituaniens. Des chapitres retourneront à l'époque de la Seconde Guerre mondiale pour raconter ce qui s'est passé, les horreurs de gens ordinaires qui deviennent des tortionnaires.

En parallèle, des histoires d'amours et de sexe, avec le conjoint de cette femme qui est anéanti lorsqu'il découvre qu'elle le trompe avec un extrémiste qu'elle a interviewé pour ses recherches.

Un roman bien touffu donc, qui traite aussi bien de l'Histoire et de réflexions politiques que de détails de la vie quotidienne. À côté des cauchemars de la guerre, on aura même des paragraphes du point de vue du bébé du couple!

Un roman intéressant, mais une lecture qui dérange plus qu'elle ne divertit…
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critiques presse (1)
Liberation
24 août 2015
Le grand sujet d’Illska, ce roman si inventif, c’est le réel.
Lire la critique sur le site : Liberation
Citations et extraits (29) Voir plus Ajouter une citation
Agnes se réveilla au milieu d’une conférence sur les bombardements de Dresde. Elle s’était endormie, cernée par le vacarme. Elle aurait eu envie de lever le doigt pour demander au professeur ce qui était arrivé à la ville. Si elle existait toujours… Si c’étaient les mêmes bâtiments ou de la reconstruction. Des reproductions exactes des maisons en ruine ou simplement des façades toutes neuves, comme à Dantzig. Pardonnez-moi, je voulais dire Gdansk.
Le grabuge, l’indécence : trois mille neuf cents tonnes d’explosifs. Trente-neuf kilomètres carrés saccagés. Trente-neuf millions de mètres carrés (ce qui correspond à la superficie d’un demi-million d’appartements de bonne taille). Trois millions neuf cent mille kilos de bombes, ce qui représente presque dix grammes d’explosifs par mètre carré.
Dix grammes ! Ce n’est rien du tout !
Pourtant, ils ont suffi à rayer de la carte cette partie de la ville. Il ne devrait plus y avoir qu’un trou béant à l’emplacement de Dresde, mais ce n’est pas le cas, un surprenant entêtement du sort en a voulu autrement. À l’emplacement de Dresde, on devrait voir une croix sur la carte mais il n’y en a aucune. Dresde est une ville fantôme, comme Disneyland, sauf que là-bas, les gens n’ont pas la tête aussi grosse et l’entrée est gratuite.
Le professeur conclut sa conférence en rappelant aux étudiants qu’il fallait se garder de comparer les bombardements de Dresde à l’Holocauste, puis les envoya en pause.
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L’ »altérisation » est l’art de s’arranger pour que le monde semble composé d’individus fondamentalement différents de soi. Les autres sont dangereux, fous, méchants, stupides, il défendent des intérêts qui menacent notre conception du monde — et ainsi de suite. Étrangement (mais on pourrait ajouter : de manière compréhensible), les populistes (lire : les nazis) se retrouvent eux-mêmes régulièrement « altérisés » (du reste, ils sont à la fois dangereux, fous, méchants et stupides).

(Métailié, p. 66)
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"Nous ne savions pas, proclamaient les pancartes sorties par les Allemands dans les rues et sur les places les journées qui suivirent la fin de la guerre. C'était clair et net : Nous ne savions pas. La formule ne précisait pas la nature de ce qui avait échappé à leur attention. Le monde, la guerre, le nazisme. La phrase était dénuée de complément d'objet. Les Allemands ne clamaient pas leur innocence, du reste ça n'aurait pas servi à grand-chose, ils étaient vaincus. Ils déclaraient une ignorance qui n'avait aucune limite : Nous ne savions pas. Suite et fin. Nous ne savions pas l'heure qu'il était, à quel moment le jour se levait, à quel moment il finissait, à quel moment les fleurs fleurissaient, comment la musique naissait, pourquoi le ciel était bleu ou encore ce qu'étaient devenus tous ces gens. Simplement, nous ne savions pas."
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Et ça, alors ? Cette histoire sur la tendresse d’Hitler à l’égard des Islandais ne nous apprend évidemment rien sur l’intérêt véritable du Führer, elle n’est que la copie conforme de l’image que les Islandais ont d’eux-mêmes. Elle est le regard du grand Autre, qui voit son intérêt dans ce cri de guerre empreint de fierté. D’ailleurs, l’idée que le Führer ait envisagé d’ériger une petite colonie danoise de paysans pauvres au fin fond de l’Atlantique nord en exemple de la race aryenne est tout bonnement idiote. L’Islande avait évidemment une valeur stratégique pendant la Seconde Guerre mondiale, mais les Islandais n’en avaient aucune. Le pays était un aéroport au milieu de l’Atlantique, et cela n’avait rien à voir avec la poésie de haut vol ou le courage – rien à voir avec la pureté du sang et les grands idéaux.
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Elle voulait écrire sur les nazis en chair et en os. Des hommes et des femmes jeunes et énergiques, capables de façonner l’avenir. Elle voulait écrire sur l’extrême droite et les populistes dans les partis politiques. Certes, elle ne manquerait pas d’être confrontée aux problèmes de définition – rien ne disait qu’on lui permettrait d’estampiller comme nazis l’ensemble des racistes populistes. Elle entendait toutefois démontrer les parentés idéologiques. Même si les racistes empruntaient depuis quelques années des voies plus « convenables » pour atteindre leurs objectifs, les objectifs en question demeuraient inchangés et leur mise en application tout aussi délétère. Elle souhaitait prouver que les racistes islandais s’inscrivaient dans un univers culturel européen qui soutenait l’assassinat et la malfaisance même si on avait remis ces prérogatives aux mains des polices des frontières, des bureaucrates chargés de la gestion des réfugiés et des gouvernements extérieurs à l’Europe qui se voyaient forcés de commettre de graves crimes contre ceux de leurs ressortissants qui voulaient quitter leur patrie d’origine.
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