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3,68

sur 2681 notes
un grand bof pour ce roman d'Amélie Nothomb....

Un roman qui se lit vite .... bhen oui c'est du Nothomb !!

Evidemment c'est loufoque.... bhen oui c'est du Nothomb !!

Les dialogues sont parfois drôle... bhen oui c'est du Nothomb !!

Donc rien de très transcendant en soit... j'avoue avoir beaucoup apprécié certains romans de l'auteure, mais ici pas plus que cela. Il reste plaisant à lire malgré tout mais l'histoire en elle même n'apporte pas grand chose, malgré le côté une peu barré de l'auteure.
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Pour la majorité, j'imagine que la cosmétique est un produit destiné aux soins du visage et du corps. Pour le Larousse, se dit aussi de ce qui ne modifie que les apparences, qui ne va pas à l'essentiel. Pour A.Nothomb, la cosmétique est la science de l'ordre universel, la morale suprême qui détermine le monde…
Devant l'ennemi, il faut avancer masqué, modifier ses apparences pour terrasser l'assassin et sauver la morale enfin.
Dans cet huis-clos sans fard, l'emmerdeur se démasque et démaquille le surmoi.
Hihihi, vous n'avez rien compris ! Au début, moi non plus, mais comme « le coupable va vers son châtiment comme l'eau va vers la mer, comme l'offensé va vers sa vengeance », je suis allé, goulûment vers le dénouement au fil de cette lecture tempétueuse comme un torrent, bien balloté, je me suis régalé.
A.Nothomb, dont ce n'est que le deuxième roman que je dévore, me fascine par sa facilité à aborder en quelques phrases des sujets profonds tels que la culpabilité, la croyance où la sexualité.
Alors, ne faites pas la « bouche-en-cul-de-poulage » et venez déguster ses mots.
« Je vous trouve encore beaucoup trop cérébral. C'est à votre peau que je m'adresse, comprenez-vous ? » Hihihi…


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C'est curieux comme, même si l'on se targue d'avoir l'esprit ouvert, on peut avoir des a priori sur certains auteurs. Sans doute parce que l'on a tant de livres que l'on brûle d'envie de lire que l'on procède d'une manière sélective et arbitraire.

Et, en regard de ces "a priori" (stupides, j'en conviens), j'avais relégué Amélie Nothomb dans la catégorie "sans intérêt".
Fort heureusement, mes amis et moi-même avons des goûts très différents et comme nous ne sommes, ni les uns ni les autres, bornés, aucun de nos jugements n'est irrévocable.
Merci, donc, à Sara, qui connait tout son Amélie Nothomb sur le bout des doigts, d'avoir choisi ce roman pour ma première initiation.

Lu en à peine deux heures, ce livre m'a réellement épatée.
Dès les premières lignes on se demande bien où l'on va... mais on y va. Et avec enthousiasme, en plus ! L'écriture est rythmée, les dialogues sont stupéfiants de cynisme et l'intrigue nous embarque et ne cesse de nous surprendre.

Comme quoi, les a priori.... et ben, c'est nul !
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Personne sur le quai. Esprit zen, visage serein, je profite de la quiétude du moment.

La journée démarre sous les meilleurs auspices, les oiseaux pépient dehors. Manque plus que le soleil printanier et les minijupes des passantes pour combler mon bonheur. Assis sur un banc isolé, en plastique rouge clinquant si esthétiquement laid et inconfortable, j'attends la prochaine rame de métro. Elle ne devrait plus tarder maintenant que quelques congénères de mon espèce sont venus occupés de façon éparse quelques bribes du quai, encore désert il y a cinq minutes. le remède à ces attentes qui peuvent parfois s'avérer interminablement longues : un bon bouquin, petit format, passe-partout. Je décide alors de le sortir de ma besace, léger regard autour de moi juste pour m'assurer que le métro n'est pas sur le point d'arriver à quai. Commence alors ma lecture, tranquille, isolé du monde, seul dans mon monde. Un livre sur la cosmétique. Je sens déjà ces odeurs de parfum et de transpiration qui vont naviguer autour de mes récepteurs olfactifs, et émulent quelques étranges sensations entre rêverie et dégoût. Cela sent le musc frais, cela pue la vieillesse aigre, les effluves passent du doux à l'acide, du fruité à l'alcoolisé…

« La cosmétique est la science de l'ordre universel, la morale suprême qui détermine le monde. Ce n'est guère ma faute si les esthéticiennes ont récupéré ce mot, ayant pour unique but de m'induire en erreur… »

Par conséquent, aucun rapport avec la parfumerie, les crèmes de soins pour les mains, pour le visage, pour les pieds, pour le jour ou la nuit, ni avec la cire épilatoire… L'oeil en coin, regard bref à ma gauche, puis sur ma droite. Un type s'est installé sur le fauteuil voisin. Il me regarde, me guette, m'observe, avec insistance même. Je n'ai pas l'impression de le connaître. Il semble vouloir entrer en communication avec moi. Surtout ne pas relever ma tête. Les yeux toujours rivés sur mon bouquin. Qu'est-ce qu'il me veut ?

« - Qui êtes-vous donc ?
- Mon nom est Texel. Textor Texel. »

Et voilà qu'il se met à débiter sa litanie. Avec un accent hollandais, en plus. A part planter des tulipes, fabriquer du gouda ou boire de la Trappe de Koenigshoven sur une musique de Dave… A quoi peut bien servir un hollandais. Tout juste savent-ils jouer au football dans leur uniforme orange. Bon, il s'appelle Textor, et alors ? Est-ce que j'ai une tête à m'appeler Saturnin et à écouter les déboires d'un hollandais en tongs ? Non, moi tout ce que je veux, c'est lire mon bouquin, tranquille, pépère peinard. Et lui qu'il continue à m'emmerder avec ses histoires à dormir debout.

« - Que me demandez-vous, au juste ?
- de m'écouter.
- Il y a des psy, pour ça.
- Pourquoi irais-je chez un psy quand il y a des aéroports pleins de gens désoeuvrés tout disposés à m'écouter ? »

Un discours en forme d'aveu. Il a des remords, ce pauvre type. Et moi qu'est-ce que je dois faire dans ces conditions. L'écouter avec compassion, lui apporter du réconfort, comprendre ses actes ? Mais, ce gars, il pense à moi, un peu, assis sur mon banc ? Je suis en train de lire mon roman, et il s'incruste dans mon univers. Il s'appelle comment, déjà ? J'ai oublié… ah oui, Textor Texel… et pourquoi pas Tyrannosaurus rex… Je ne sais même plus où j'en suis, moi, dans mon bouquin, avec l'autre abruti qui me cause sans cesse. Et pourquoi moi, d'ailleurs ? Voilà une bonne question. Pourquoi est-ce moi qu'il a choisi pour déclarer ses remords, comme si j'avais le pouvoir d'absoudre le moindre de ses péchés, comme si mon visage, si zen et serein du début, lui ouvrait le droit de venir m'importuner impunément. Je ne suis pas seul, ici, dans ce bas monde, sur ce quai de métro, de plus en plus bondé. Tout ça pour l'entendre discutailler sur des histoires de viol et de meurtre. Mais je vais appeler la Police, et qu'on en finisse ainsi ! Les autres passants me regardent maintenant, d'un air louche et méfiant. Ils ne se rendent pas compte de ce qu'il se passe. Ils ne voient pas les gouttes de sueur perlées sur mon front. Ils ne font rien contre cet importun malpoli et mal autrui. Mais, s'il vous plait, aidez-moi, ai-je envie de hurler ! Au risque d‘être pris pour un fou, ou pire un ivrogne aviné de bon matin.

« - Oui, la vie est pleine de ces petits désagréments qui la rendent insane. Bien plus que les problèmes métaphysiques, ce sont les infimes contrariétés qui signalent l'absurdité de l'existence.
- Monsieur, votre philosophie à deux francs cinquante, vous pouvez vous la… »

Bon, OK, j'ai compris le message. Je ne vais pas m'énerver. Aujourd'hui n'est pas un jour pour lire. Je n'ai plus qu'à refermer mon bouquin, que je pressens captivant bien que prévisible. Je regarde une dernière fois la couverture, avant de le refourguer dans ma besace : Amélie Nothomb, « Cosmétique de l'ennemi » ! Je ne vais quand même pas me fracasser la tête contre le mur à cause d'un banlieusard venu emmerder son monde, juste pour le plaisir d'assouvir ses besoins de confessions impudiques.
Lien : http://leranchsansnom.free.f..
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Amélie Nothomb | Cosmétique de l'ennemi | 2003 | le Livre de Poche |120pages | 3.65/5 (2276 notes!!).
Sentiment en deux parties 1) C'est violent, la sensation dérangeante d'être acculé, ne pas pouvoir fuir, stress, violence psychologique, jeu sur les figures bibliques... Cela peut choquer ! ; ) Bref, je laisse une chance au Livre 2) En effet c'est le genre d'ouvrage qu'il faut mieux lire en pleine journée!!... Je trouve qu'il est très court, en fait, il n'y a guère de pluralité aux péripéties de l'histoire, c'est juste un gars qui vient en faire c* un autre à l'aéroport... Jusqu'au dénouement; Vers la page 45 je suis allé zyeuté la fin pour voir si cela valait le coup de souffrir ou pas! Ca m'a plutôt convaincu... le fait de savoir la fin m'a aidé à tenir les 120 pages.
Ce que j'en penses?! C'est difficile de dire sans spoiler! Vous le trouverez neuf à 7€ chez toutes les bonnes librairies ; )... Si vous aimez le style Nothomb, alors celui là n'est pas différent... C'est quand même un exploit de faire une telle scène de dialogues! Presque une petite pièce de théâtre.
Et puis franchement c'est bien écrit...
En vous souhaitant un agréable lecture ; ) ... En journée ; p...
Lien : https://www.instagram.com/ch..
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Jérôme Angust, homme d'affaires, est bloqué dans un aéroport car son avion est retardé pour une durée indéterminée en raison de problèmes techniques.
Pour passer le temps, il se met à lire lorsqu'il est interrompu par un certain Textor Texel (eh oui, les fameux noms d'Amélie Nothomb ;-)), un hollandais qui le harcèle de sa conversation insensée.

Jérôme cherche à s'en débarrasser en lui demandant de le laisser tranquille, lui disant que sa conversation ne l'intéresse pas le moins du monde. Texel s'en moque, il affirme que "dans la vie, il ne fait que ce qu'il a envie".
Jérôme change de place, Texel le suit, il se bouche les oreilles mais ne peut rester longtemps dans cette position inconfortable. Et l'inconnu continue de lui raconter sa vie où il se prétend coupable de meurtres par exemple : avoir, enfant, prié pour qu'un de ses camarades de classe dont il était jaloux meure, le lendemain le camarade de 8 ans est décédé d'une crise cardiaque incompréhensible ... Les propos de Texel deviennent encore plus confus lorsqu'il s'accuse avoir mangé la nourriture des chats de ses grands-parents et autres absurdités du genre.

Jérôme, excédé, le prend pour un fou jusqu'au moment où ... Texel lui fait d'autres révélations qui vont cette fois atteindre Jérôme le menant de l'indécision au doute puis à la révélation concernant les explications de cet inconnu.

Un roman court de 120 pages qui se lit en en peu plus d'une heure et qui sans être exceptionnel sait pourtant captiver l'intérêt progressif du lecteur.


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Le gros quiproquo, et double qui plus est. le premier, en empruntant cet ouvrage, j'ai cru lire "Cosmétique de l'ennui" et non pas cosmétique de l'ennemi" (bon, là, c'est entièrement de ma faute car après plusieurs nuits sans sommeil réparateur, on peut mettre cela sur ma fatigue et mon état de stress actuel) mais le deuxième est tout simplement du au génie de l'auteure et je ne m'entends pas à vous le dévoiler.

Un homme , Jérôme August, patiente non sans une pointe de nervosité sur les banc d'un aéroport et est fortement contrarié car son avion est annoncé avec plusieurs heures de retard. La débarque un homme qu'il ne connaît pas, un certain Textor Texel qui ne va que faire qu'accroître sa nervosité. Alors qu'il patientait dans ce qu'il espérait être le calme, ce dernier va lui bouffer son énergie vitale en s'incrustant dans la conversation si conversation réelle il y a car il s'agit plutôt d'un monologue. Alors que notre protagoniste n'a absolument pas envie de parler et surtout pas avec cet inconnu qui le révulse dès le premier abord, l'autre ne va pourtant par, comme tout homme respectable, le laisser tranquille avec lui-même mais va pousser le bouchon beaucoup plus loin en lui parlant de lui et des actes les plus répréhensibles qu'il a accompli tout au long de sa vie. Même si ces derniers sont atroces, au-delà du supportables même, pour Texel, ils sont normaux puisqu'il assure les avoir tous accompli par amour. Mais peut-on réellement bouffer de la pâté pou chien, violer et voire même tuer par amour et de surcroît, y prendre un certain plaisir ? Il affirme que oui bien que son interlocuteur d'un jour et forcé, ne soit absolument pas d'accord avec lui sur ce point, tout comme le lecteur d'ailleurs. Cependant, dans son discours, Jérôme August va découvrir une vérité insupportable pour tout esprit humain, à la limite de la folie voire de la schizophrénie (si vous trouvez ce mot trop poussé, je ne peux que vous inviter à découvrir cet ouvrage par vous-mêmes pour découvrir de quoi il retourne et surtout à à quoi il fait réellement allusion).

Un roman pervers, mais très bien manigancé et avec un retournement de situation auquel le lecteur ne s'attend absolument pas ! Si cette lecture m'a perturbée voire même dérangée, c'est que une fois encore, Amélie Nothomb a encore une fois admirablement réussi son coup de théâtre...L'homme est-il Un, soit tout noir soit tout blanc ou se pourrait-il qu'il y ait une part refoulée de cruauté en chacun d'entre nous ? Je le crois tout comme je suis persuadée du contraire ! A découvrir !
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C'est le titre qui m'a attiré vers ce livre et je me disais là c'est le grand conflit qui m'attend où les antagonistes semblent être les plus rusés de la cosmétique. Je m'attendais à avoir de l'action sur action, du nouement au dénouement, du bondissement au rebondissement, le mouvement perpétuel des personnages et de leurs pensées face au danger… Mais non, c'est autre chose…Mes yeux sont restés bloqués sur les pages du livre sans qu'ils se reportent sur autre chose...puis au fond de moi je me demande quand finit cette scène pour laisser place à une scène…Beuh non, là c'est autre chose…Puis j'arrive à la page 138…Noir c'est fini… beuh moi je veux continuer…Puis je lève mes yeux et mon âme dit superrrrrrrrrr !!!!!!!!!!! C'est à ce moment que je me suis rendue compte que je venais de passer court moment de lecture avec ce livre plutôt une pièce de théâtre !
C'est quand même conflictuel de s'en prendre à un conflit intérieur, mais la route de Amélie Northomb a été la plus simple et la plus limpide. Bravo !!!
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Jubilatoire cette fois encore. Indécence, provocation, cynisme et tous leurs synonymes pour ce roman, 10e du nom. Une overdose de mots pesés - on en redemande - pour une histoire incroyable : dans un hall d'aéroport, un homme vient sciemment, lourdement, en importuner un autre en attendant un avion qui prend du retard. Au fil de cette discussion que l'un refuse, on comprend pourquoi l'autre insiste. Chapeau (!). Est-on forcément un monstre lorsqu'on est sans empathie ? En tout cas, l'ennemi n'est pas toujours celui qu'on croit.
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Cosmétique de l'ennemi est le sixième titre de l'auteure que je lis, mais j'ai toujours la même appréhension lorsque je commence un livre d'Amélie Nothomb. Avec la demoiselle, c'est soit ça passe, soit ça casse et le juste milieu n'est pas de mise. D'ailleurs, je dis toujours la même chose dans l'introduction de mes chroniques « Nothombiennes », mais c'est vraiment le cas…
Le pitch me tentait bien - comme souvent avec ses titres - mais, comme d'habitude, je me méfiais. J'ai trouvé la première partie intéressante bien qu'un peu… « mais où veut-elle en venir ? » « qu'est-ce que c'est encore que cette situation improbable ? »… mais tout s'éclaircit vers les deux tiers du texte et ça m'a plu ! Ce n'est peut-être pas mon Nothomb préféré mais c'est sans doute un de ceux qui me marqueront le plus !

120 pages en police 14 (si ce n'est pas plus !), ça se dévore d'un coup, en une heure environ. le mieux c'est vraiment de l'avaler en une seule fois pour ne pas avoir de coupure dans le dialogue. de toute façon, le texte est conçu pour être lu d'une traite puisqu'il n'y a aucun chapitre ni saut de ligne, juste un gros bloc formé par le dialogue des deux protagonistes…

Tout se déroule en quelques heures, dans le hall d'un aéroport, entre deux hommes qui semblent coupés du reste du monde. On assiste donc au dialogue entre les deux protagonistes, alors qu'ils sont bloqués au sol, en attendant leur vol retardé de quelques heures. L'un des deux, Jérôme August, homme d'affaire, tente tant bien que mal de poursuivre la lecture du livre qu'il a dans les mains alors que l'autre homme, Textor Texel, s'impose et lui tient la grappe, lui racontant son passé et ses premiers pas de meurtrier.
Au début, autant agacé par cet énergumène louche que Jérôme August, le lecteur finit, comme ce dernier, par prendre goût aux propose de Textor Texel et attend la suite de l'histoire avec impatience ! Plus les pages défilent, plus le dialogue se complexifie et le postulat de base s'inverse petit à petit jusqu'à la révélation, finalement pas si extraordinaire que ça, mais bien amenée et qui entraîne une chute qui m'a plu.

Amélie Nothomb place deux hommes dans un aéroport et parvient, avec si peu de choses, à mener un dialogue sur 120 pages sans temps morts et c'est plutôt réussi ! Peu d'éléments au départ mais finalement un texte plus « riche » qu'on aurait pu le penser…

Si j'ai un petit reproche à faire à ce titre (et aux cinq autres que j'ai pu lire de l'auteure), c'est qu'Amélie Nothomb… se contente de faire du Amélie Nothomb ! Même format ou quasiment (entre 100 et 180 pages, en tout cas jamais plus de 200), même intrigue et personnages barrés… ça fonctionne bien, mais un jour, j'aimerais bien croiser l'auteure dans autre chose.
Parce qu'au bout d'un moment, ça sent un peu la solution de facilité… les histoires qu'elle nous propose sont originales, certes, mais c'est du pur Nothomb ! A quand un peu de renouveau chez la Dame au chapeau ?
Lien : http://bazar-de-la-litteratu..
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