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3,68

sur 2687 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Peut-être n'étais-je pas dans des conditions idéales, ni dans de bonnes dispositions, lorsque j'ai lu ce roman, toujours est-il que je l'ai détesté d'un couvert à l'autre. L'emmerdeur du livre m'a emmerdé, l'emmerdé du livre m'a semblé con au cube, la pirouette du récit ne m'a pas convaincu et la fin on la voit venir à des milles à la ronde. Oui madame sait écrire, pas de doute. Elle a aussi du vocabulaire et même de la culture. Encore faudrait-il qu'elle ait quelque chose à dire... Son charabia sur la culpabilité, le refoulement, l'artifice psychologique à la gomme rien de crédible là-dedans. Pourtant elle m'avait bien fait rire avec ses aventures japonaises, Mais là il y avait un propos, ce n'était pas qu'un exercice de style...
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Cosmétique de l'ennemi est le roman qui m'a permis de découvrir Amélie Nothomb.
Problème, j'ai détesté ce livre, rebaptisé par mes soins : Cosmétique de l'ennui !
C'est dire s'il m'a plu.
Depuis, j'ai lu d'autres romans de cette romancière, qui m'ont plus intéressé et du coup j'ai décidé de relire celui-ci.
Bon ben malheureusement, je vais continuer à le baptiser "Cosmétique de l'ennui" car j'ai vraiment détesté ce livre ! C'est long, c'est pas terrible du tout à lire, bref je n'accroche absolument pas et rien ne m'a plu dans ce livre.
Il m'arrive de temps en temps de lire cette romancière, avec quelque fois de bonnes surprises, mais il est évident que ce ne sera jamais mon auteure préférée.
Vu comme ce livre m'a gonflé je ne mets que une étoile, et c'est cher payé !
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L' obligation de le lire pour mon mémoire reste l'épreuve romanesque la plus difficile que j'ai connue.

L'obligation doit surement accentuer ma haine mais Nothomb restera toujours à la littérature ce que Reagan est au Etats-Unis, une terrible erreur de casting.

Elle déjoue tous les critères en réussissant à écrire un livre qui peut se lire dans le même état intellectuel qu'un téléspectateur scotché depuis des lunes devant TF1, absorbé par la pub entre deux émissions de télé réalité.

Elle est capable d'écrire des tonnes, rien qu'en n'utilisant que les mots destinés à un cours du soir de français, première année, pour primo-arrivants.

Elle est la Chuck Norris de la littérature.


Le meilleur étant que même avec un livre d'une taille ridicule, plus de la moitié est du remplissage. J'ai du passer beaucoup de pages, l'intrigue puérile était connue, les dialogues poussifs étaient pénibles.

Et elle arrive encore à pousser le vice jusqu'au bout en écrivant un prologue destiné au lecteurs n'ayant pas compris. Elle doit savoir que ces lecteurs les plus fidèles ne sont pas des génies mais de là à les prendre pour des idiots ...


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Arfff, cachez moi ce livre que je ne saurais lire !!
Nothomb est blacklistée chez moi.
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L'autrice m'avait amusée avec Stupeurs et tremblements lorsque j'avais une vingtaine d'années, mais j'étais restée avec un sentiment de malaise que je n'avais partagé avec personne, la grande autrice étant encensée partout où elle passait.
A bien y réfléchir, je dirais maintenant que je n'avais pas aimé cette revendication de la part de l'autrice (qui se disait plus japonaise que belge) et ce sentiment d'appartenance à une culture dont elle ne fait finalement que se moquer pendant tout son récit.
A l'instar des bourgeois si fiers d'aller faire un safari et logent dans des hôtels climatisés parce que « la nature c'est sympa, mais faut pas déconner quand même ».
J'en viens plus de 20 ans plus tard avec « Cosmétique de l'ennemi » que j'avais complètement boudé de peur d'être déçue…et j'ai été déçue (en fait non car c'est ce à quoi je m'attendais).
Cette fois le mépris et la méconnaissance ne visent pas un peuple ou une culture, mais 2 thèmes : le trouble psychotique qu'est la schizophrénie, et le mécanisme du violeur (le violeur de l'autrice est « amoureux »…). Je ne suis pas spécialiste en la matière, mais quand j'ignore quelque chose, où je me tais, ou je me documente… et le site de l'INSERM me confirme bien que ce roman ne tient pas debout un instant. Pour le viol, c'est NO COMMENT tellement on sait que c'est « un argument de violeur » !
Et à l'argument « oui mais c'est un roman », je répondrais : « et ? ».

A mon sens, c'est l'exemple typique d'une autrice qui a été mise sur un pied d'estale et qui n'en redescendra plus, quoi qu'elle écrive.
Les évènements ne sont pas crédibles, le récit n'est pas crédible, en plus d'être extrêmement répétitif. La fin n'est pas crédible non plus. Et ça n'est pas non plus du « fantastique », c'est juste mauvais-mauvais.
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Ce petit livre est un seul dialogue, sur 120 pages en gros caractères, entre deux hommes qui attendent un avion dans un aéroport, où l'un des hommes impose à l'autre le récit de ses crimes, dont il se sent coupable. La chute n'est pas mauvaise, mais le sujet est complètement survolé, à tel point qu'on a l'impression d'assister à une sorte d'exercice de style complètement abstrait, et d'ailleurs sans aucun humour, de l'auteur, qui une fois encore cherche à écrire un livre le plus vite possible sans se donner la peine d'approfondir son sujet. La preuve (en p. 56 de mon édition) : « quoi de plus agaçant, dans les romans, que ces descriptions obligatoires de l'héroïne, ou l'on ne nous épargne aucun coloris, comme si cela changeait quelque chose ? ». Si justement, cela nous changerait de ces exercices de style superficiels.
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Et bien comment dire, je viens de refermer ce livre et je dois me triturer l'esprit pour me souvenir de quoi il parle !!

Ha oui un blabla autour d'un meurtre d'un viol et un retard d'avion ...


Lien : http://keskonfe.eklablog.com..
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e n'ai pas du tout aimé. Je trouve l'histoire vraiment sans intérêt. Ce livre est vraiment une perte de temps.
Lien : http://leschroniquesdemilie...
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Lu sur les conseils d'une personne qui m'est chère et qui le restera malgré tout ! Heureusement que ce livre ne comporte que 120 pages car la fin est si rapidement prévisible que c'en est vite exaspérant. Bref, un livre blablateux, sans surprise et un brin prétentieux. Faut-il le préciser, je n'ai pas aimé...
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