pour imaginer son trépas
point n'est besoin d'être devin
la pendule sonne l'heure du repas
coq au vin
Dans une ferme du Poitou
Un coq aimait une pendule
C'est sérieux, j'ai balancé mon dictionnaire de rimes
Je n'écris plus de chansons, non, j'travaille pour de bon
Tu m'aimes vraiment dis-moi ?
Tu m'aimes,
Tu m'aimes, tu m'aimes ?
C'est tout ce qu'elle sait dire !
En bouffant, en m'rasant,
Quand je voudrais dormir,
Faut lui dire que je l'aime !
Avec elle je m'embarque
En rivière de diamants
J'la suis dans les cloaques
Où elle claque son argent
Je la suis sur la vitre
D'un poète endormi
La tempe sur le titre
Du poème ennemi
mais au matin c'est moi qui rougirai
devant tes yeux plus clairs que jamais
Il y a de l'orage dans l'air
il y a de l'eau dans le gaz
entre le jazz et la java
Ici, si tu cognes, tu gagnes
Ici, même les mémés aiment la castagne
Ô mon païs
Ô Toulouse...
Armstrong, je ne suis pas noir,
Je suis blanc de peau
Quand on veut chanter l'espoir.
Quel manque de pot.
je roule un vaporeux voyage
prisonnier des nuages de fumée
La joue sur le tapis
j'aperçois les chaussettes, de l'arbitre, là-haut
enfant je m'endormais
sur des KO de rêve
et c'est moi qu'on soutient
et c'est moi qu'on soulève.