Comme une lente descente aux enfers, la jalousie quotidienne, plus forte que tout sentiment, un poison surbversif distille a chaque instant jusqu'a tuer le couple.
Ecrit tout en nuances, en sensibilite, mais monotone dans sa lecture par la forme du monologue employe. Dommage que je n'ai pas pu voir le film, pour etre a meme de comparer le scenario et l'ecrit, et surtout pour apprecier le travail du metteur en scene pour echapper au sentiment d'ennui que j'ai parfois ressenti a la lecture de ce livre.
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ce livre m'est littéralement tombé des mains, et c'est rare, l'auteur s'est donné la peine d'écrire, moi je dois lire, mais là non pas possible. Je suis tombée sur ce vieux livre par hasard, et ce n'est sûrement pas un bon cho
ix
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Vous voilà complice de tous les assassins qui ont usé pour leur forfait du calorifère, de la chaux vive, des rivières aux poissons gourmands.
Comme vous comprenez bien leur soulagement, et leur surprise lorsqu'on les accuse un jour, et qu'on les condamne. C'est si facile sans doute, si tentant de poursuivre jusqu'au bout ce rêve de la main à tuer, de la main qui sera toujours entre le corps que vous aimez et votre propre corps, et qu'il faut tuer pour que survive votre amour.
Albert Cohen ; 5 et dernier
Albert COHEN :
entretien avec
François NOURISSIER,
Jean Didier WOLFROMM,
Françoise XENAKIS,
Robert SABATIER et le Révérend Père Lucien GUISSARD à propos de ses livres testaments : sa
passionjuive, ses occupations entre la composition de deux livres ; ses goûts littéraires. Pense que les femmes sont inférieures dans le domaine de l'
action littéraire (tient des propos désagréables sur...