Toute la lumière tire l'épingle du je.
Gouttelettes squelettiques. Miasmes figuratifs qui exhalent le parfum sombre d'une balade nocturne. C'est un arbre. Il marche, planté dans notre regard. C'est un visage qui arbore la dictée de ses roches sur les entrelacs d'une architecture souveraine. Prassinos, multiple et constant à la fois. Fouineur, brousailleur, jamais brouilleur . Passant, passeur.
Tissage d'encre à travers le négatif primitif du monde. Géologie faciale.
Épineuse réponse minérale à la résonance végétale de l'ombre. La plaine marche devant nous, l'arbre s'étend, et la montagne ouvre profond l'écorce du ciel. Prassinos peint.
Ce n'est plus une question , c'est un point précis qui vagabonde et qui féconde.
Astrid Shriqui Garain
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Albert COHEN :
entretien avec
François NOURISSIER,
Jean Didier WOLFROMM,
Françoise XENAKIS,
Robert SABATIER et le Révérend Père Lucien GUISSARD à propos de ses livres testaments : sa
passionjuive, ses occupations entre la composition de deux livres ; ses goûts littéraires. Pense que les femmes sont inférieures dans le domaine de l'
action littéraire (tient des propos désagréables sur...